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Month: August 2019

Les 10 aéroports les plus conviviaux d’Europe

Le classement a étudié les 30 plateformes les plus importantes du continent en nombre de passagers.

Dans quel aéroport est-il le plus agréable de voyager en Europe ? Le premier classement du genre a été publié par le Consumer Choice Center qui a établi son European Airport Index. Selon les résultats, relayés par le site Air Journal, le Top 3 des aéroports les plus conviviaux d’Europe comprend Bruxelles (Belgique), Zurich (Suisse) et Düsseldorf (Allemagne). Les trois aéroports devancent celui de Madrid en Espagne et de Manchester au Royaume-Uni. Les aéroports de Copenhague au Danemark, Amsterdam-Schipol aux Pays-Bas, Stockholm-Arlanda en Suède, Francfort et Munich en Allemagne complètent le Top 10. À noter qu’aucune plateforme située en Europe de l’Est ne figure dans le classement tout comme les sites français.

Pour se consoler, l’aéroport français de Paris-Orly pointe tout de même à la quatrième place au niveau de l’expérience client. Par ailleurs, selon le classement, les aéroports les mieux situés par rapport au centre-ville sont Dublin en Irlande et Lisbonne au Portugal tandis que l’aéroport d’Heathrow à Londres arrive en tête des plateformes avec le plus de salons : 44 en tout, soit 1,82 million de passagers par salon.

Classement par points

Pour établir son classement, le Consumer Choice Center a étudié les 30 aéroports les plus importants d’Europe en nombre de passagers et les a triés en fonction d’un ensemble de facteurs “allant de l’emplacement et des options de transport à l’expérience en aéroport et au réseau aérien”, précise à Air Journal Fred Roeder, directeur général du CCC. D’autres facteurs ont été pris en compte comme “les passerelles d’embarquement plutôt que l’embarquement par bus, la proximité du centre-ville, le nombre de salons, les temps d’attente et le respect des horaires par les compagnies aériennes”, précise le coauteur de l’étude.

En fonction de ces critères, les aéroports ont gagné un certain nombre de points, permettant au CCC d’établir son Top 10. Un système qui permet, selon Yaël Ossowski, directeur adjoint du Consumer Choice Center, de donner “un excellent aperçu des aéroports que vous devriez envisager d’utiliser lors de votre prochain voyage, que ce soit pour vos vacances ou pour votre travail”. Ce classement montre aussi que les plus gros aéroports ne sont pas forcément en tête du classement : ni Heathrow à Londres, ni Paris-Charles de Gaulle ne figurent dans le Top 10 alors qu’ils enregistrent une fréquentation trois fois supérieure aux deux gagnants que sont Bruxelles et Zurich.

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Les 10 aéroports les plus conviviaux d’Europe

Distance du centre-ville, nombre de destinations, accessibilité par un train ou un métro… Un classement liste les aéroports européens qui facilitent au mieux la vie des voyageurs jusqu’à leur embarquement.

Quels sont les aéroports les plus agréables en Europe? Le Consumer Choice Center, une organisation américaine de défense des consommateurs, vient de publier son premier classement des dix meilleurs sur les trente plus fréquentés du continent. Principal constat: neuf aéroports sur dix se situent au nord de l’Europe, à l’exception de Madrid-Barajas (4e). Le top 10 est ainsi dominé par Bruxelles, Zurich et Düsseldorf. À elle seule, l’Allemagne occupe trois places avec Düsseldorf, Francfort et Munich.

«L’expérience du voyageur» est au centre de l’étude. Elle comprend: l’offre de vol (le nombre de compagnies et de destinations), l’accessibilité à l’aéroport (sa distance depuis le centre-ville et l’existence d’une ligne de métro ou de train), la facilité à effectuer une correspondance, le nombre d’hôtels à proximité, ou encore le mode d’embarquement (par passerelle ou par bus).

Paris-Orly distingué pour ses restaurants et boutiques

Plus ils sont éloignés, moins les aéroports obtiennent de points. Sur ce critère, ceux de Dublin, Lisbonne, Düsseldorf, Copenhague et Palma de Majorque font bonne figure car ils sont situés à moins de huit kilomètres du centre-ville. Le ratio salons/nombre de passagers annuels joue aussi sur le score. Situés au plus près des portes d’embarquement, ces lounges constituent une bulle de tranquillité pour les voyageurs VIP avant le décollage. Avec 44 salons pour 1,82 million de passagers d’affaires annuels, Londres-Heathrow domine dans cette catégorie devant Zurich et Moscou-Vnukovo. Enfin, des points bonus sont attribués pour la ponctualité des vols et le temps d’attente aux contrôles de sécurité et aux douanes pour les vols vers les États-Unis.

«La taille d’un aéroport ne se traduit pas nécessairement par un meilleur confort et de meilleures infrastructures», rappellent les auteurs de l’étude. Pour preuve, les deux aéroports les plus fréquentés d’Europe, Londres-Heathrow et Paris-Charles de Gaulle, ne figurent pas dans ce palmarès. Si aucun aéroport français n‘occupe le classement général, celui de Paris-Orly se place en quatrième position dans la catégorie Restaurants et boutiques. Ce serait ainsi l’un des meilleurs d’Europe pour les gourmets et les accros au shopping. Belle consolation pour un aéroport souvent malmené dans les classements. Celui établi par AirHelp en mai dernier place Paris-Orly à la 126e place sur les 132 évalués dans le monde…

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Classement : les dix aéroports européens les plus conviviaux

Le Consumer Choice Center a lancé son European Airport Index, qui classe BruxellesZurich et Düsseldorfen tête des 10 premiers aéroports d’Europe en termes de convivialité pour les passagers.

Cet indice, le premier du genre en Europe, devrait être utilisé « pour informer à la fois les consommateurs et les administrateurs quant à savoir qui fait le meilleur travail pour accueillir les passagers », souligne dans son communiqué The Consumer Choice Center (CCC), dont le Top 5 est dominé par Bruxelles-Zaventem et Zurich-Kloten, devant les plateformes de Düsseldorf, Madrid-Barajas Adolfo Suarez et Manchester. Viennent ensuite CopenhagueAmsterdam-SchipholStockholm-ArlandaFrancfort et Munich.

Paris-Orly est cité comme 4eme au niveau de l’expérience client (en nombre de passagers par an par restaurants et magasins), tandis que Madrid est présenté comme « le seul aéroport du sud dans le palmarès » – où ne figure aucune plateforme d’Europe de l’est. Les meilleurs en termes de distance du centre ville sont Dublin et Lisbonne, tandis que Londres-Heathrow se distingue par le nombre de salons d’aéroport (44, soit 1,82 million de passagers par salon, moins que Zurich ou Moscou-Vnukovo respectivement deuxième et troisième). Ni Heathrow ni Paris-CDG, dont le trafic est triple de celui des deux gagnants, n’entre dans le Top 10, note le CCC.

Les 30 aéroports les plus importants d’Europe en nombre de passagers ont été étudiés selon un système de points établi par le centre, en fonction d’un ensemble de facteurs « allant de l’emplacement et des options de transport à l’expérience en aéroport et au réseau aérien », selon Fred Roeder, directeur général du CCC, coauteur de cette étude. D’autres facteurs ont été pris en compte dans le classement, notamment « les passerelles d’embarquement plutôt que l’embarquement par bus, la proximité du centre-ville, le nombre de salons, les temps d’attente et le respect des horaires par les compagnies aériennes ». Des points supplémentaires ont été attribués aux aéroports ayant obtenu une autorisation préalable pour les vols avec les Etats-Unis (TSA pre-clerance) ou leur capacité de diffuser les temps d’attente au passage de la sécurité.

Yaël Ossowski, directeur adjoint du Consumer Choice Center, a déclaré que ce classement « démontre le pouvoir d’offrir à la fois fonctionnalité et confort » dans les grands aéroports : Comme tout voyageur le sait pendant l’été, de nombreux aéroports « sont aux prises avec des pics de passagers en haute saison, et cette expérience se répercute sur tous ceux qui prennent un vol. Des points ont été attribués aux aéroports qui offraient d’excellentes destinations dans le monde entier, mais aussi un mélange sain de boutiques, de restaurants et de commodités » dans l’aéroport. Le système de points « vous donne un excellent aperçu des aéroports que vous devriez envisager d’utiliser lors de votre prochain voyage, que ce soit pour vos vacances ou pour votre travail », a-t-il conclu.

L’étude complète du CCC est disponible ici.

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Bruxelas tem o aeroporto com melhor experiência na Europa

Foi lançado ontem (quarta-feira, dia 28) o Índice Europeu de Aeroportos, levantamento do Consumer Choice Center com os principais aeroportos da Europa, classificados por facilidade de uso aos passageiros. Este é o primeiro índice do gênero no continente europeu e deve ser usado para informar viajantes e administradores sobre quais terminais estão fazendo o melhor trabalho para acomodar clientes.

Os cinco principais aeroportos, de acordo com o estudo, são os de Bruxelas (Bélgica), Zurique (Suíça), Düsseldorf (Alemanha), Madri (Espanha) e Manchester (Inglaterra).

“Como qualquer viajante sabe, durante o verão na Europa, muitos aeroportos lutam com os picos de passageiros na alta temporada. Os pontos altos foram concedidos aos terminais que ofereciam grandes destinos em todo o mundo, mas também uma mistura saudável de lojas, restaurantes e conveniências encontradas no local”, conta o diretor adjunto do Consumer Choice Center, Yaël Ossowski.

Os 30 maiores aeroportos da Europa (em volume de viajantes) foram examinados e classificados em termos de experiência do passageiro, de acordo com uma mistura de fatores, que variam de opções de localização e transporte a experiência no aeroporto e acesso à rede de voo.

“Outros fatores determinados no ranking incluíram proximidade ao centro da cidade, número de lounges, tempos de espera de segurança baixos e desempenho no horário das companhias aéreas”, afirma o diretor geral do CCC, Fred Roeder.

Veja abaixo o ranking dos dez aeroportos.

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Vaping Supporters Meet with California Lawmakers About Strict Regulations on Vaping Products

Henry I. Miller, M.S., M.D. and senior fellow at the Pacific Research Institute, and Jeff Stier, J.D., a Senior Fellow at the Consumer Choice Center, recently published an article at the Pacific Research Institute concluding the vaping hysteria and disinformation campaign will lead to more tobacco deaths.

Miller and Stier said:

According to a just-released report from the U.S. Preventive Services Task Force, 7.5 million people 12 years old and older in the U.S. have been diagnosed with dependence or abuse of illicit drugs in the past year. But that’s not stopping e-cigarette opponents from trying to score political points by mischaracterizing the problem by conflating e-cigarettes with street drugs. And health reporters have been all too eager to comply, rather than challenge their assertions. The same with regulators. The FDA calls its irresponsible, unscientific anti-vaping media blitz “The Real Cost Campaign.” We think evaluating the real costs is a good thing. But what are the real costs of misleading people about the risks of e-cigarettes, especially in cases like the Wisconsin cluster?

First, adult smokers will be less likely to switch from smoking to vaping because of an unfounded fear of contracting “serious lung disease.” This alone stinks worse than Wisconsin’s most pungent cheese.

Miller and Stier say the not-so-hidden agenda behind the scare is to fool lawmakers into thinking e-cigarettes are as dangerous or more dangerous than “combustible cigarettes,” causing them to regulate these lower-risk alternatives inappropriately. This, too, will prevent smokers from quitting.

Vaping proponents said the Center for Disease Control reported that the number of U.S. smokers dropped from 20.6 percent in 2009 to only 15.5 percent as of 2016.

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Korruptionsvorwurf frisst Fakten auf

Umweltaktivisten diskreditieren zunehmend unliebsame Wissenschaftler mit der Frage: „Wer finanziert Sie?“ Sie unterstellen, die Personen seien von der Wirtschaft gekauft. So werden Co-Finanzierungen kriminalisiert und dem Fortschritt Schaden zugefügt.

Dürren und Trockenheit führen bekanntermaßen zu Missernten. Da sich diese Wetterextreme häufen, setzt sich Landwirtschaftsministerin Klöckner für gentechnisch verändertes Saatgut ein. Es gibt aber auch Alternativen. 

Angenommen, ein Wissenschaftler würde Ihnen sagen, dass eine bestimmte mathematische Gleichung nachweislich korrekt ist. Die Gleichung könnte man auf jede erdenkliche Weise drehen und wenden, doch nichtsdestotrotz zum gleichen Resultat kommen.

Nehmen wir nun an, dieser Wissenschaftler hat in der Vergangenheit einmal auf einer von der Industrie finanzierten Konferenz gesprochen: Hotelzimmer und Anreise wurden von Unternehmen gezahlt, die an diesem Forschungsbereich ein ökonomisches Interesse haben. 

Für viele klingt das, besonders im heutigen Kontext, wie ein heikler Interessenkonflikt. Dessen ungeachtet kann kein Geld der Welt Fakten ändern. Eine Verzerrung der wissenschaftlichen Recherche kann nur dann stattfinden, wenn eine Gleichung nachweislich gefälscht wurde oder mit unklaren Daten gepfuscht wurde.

Die EFSA, die Europäische Behörde für Lebensmittelsicherheit, muss sich derzeit mit Vorwürfen dieser Art beschäftigen. Eine europäische NGO namens Corporate Europe Observatory (CEO) verurteilt die Arbeitsgruppe, die die Sicherheit von sogenannten Gene Drives bewertet. 

Mithilfe dieser Gene Drives kann man dafür sorgen, dass sich eine gentechnische Veränderung, z.B. eine gentechnisch erzeugte Resistenz von Stechmücken gegen den Malariaerreger, in einer Population schnell ausbreitet. CEO behauptet, dass zwei Drittel der Arbeitsgruppe der Europäischen Behörde „finanzielle Verbindungen“ zu Industrie und Organisationen haben, die ein besonderes ökonomisches Interesse an der Gentechnik haben.

In einem detaillierten Brief reagierte die EFSA im Juni auf die Anschuldigungen. Die Agentur sah keinen einzigen Fall, in dem die beschriebenen „Verbindungen“ von Bedeutung waren, und nennt klare Beispiele.  

Im Falle Michael Bonsalls, Professor für Mathematische Biologie an der Oxford University, habe es keine „direkten finanziellen Verbindungen“ zum britischen Biotech-Unternehmen Oxitec gegeben, da es sich um Forschungsaktivitäten handelte, die von der University of Oxford und Oxitec mitfinanziert wurden. 

Im spezifischen Fall handelte es sich um öffentlich-privat finanzierte Forschungsprojekte durch ein Unternehmen und EU-Forschungsgelder, was den besagten Wissenschaftler weder zum Mitarbeiter des genannten Unternehmens, noch finanziell von diesem abhängig macht. Öffentlich-privat finanzierte Projekte sind üblich, da die Expertise von Unternehmen nötig ist, um essenzielle Ziele zu erreichen.

Der Schaden bleibt, trotz widerlegter Vorwürfe 

Doch egal, wie viele Widerlegungen die EU-Agentur für Lebensmittelsicherheit vorbringt, ein Großteil des Schadens ist bereits entstanden. Schlagzeilen mit der Aufschrift „Wissenschaftler im Bereich Lebensmittelsicherheit wird Korruption vorgeworfen“ sind alles, was diese Aktivisten, die Feinde der industriellen Landwirtschaft sind, brauchen. Damit wird das Vertrauen in die Wissenschaft unterminiert.

Doch auch Journalisten erleben diese neue Diffamierung, etwa die Französin Emmanuelle Ducros. Die Mitarbeiterin von „L’Opinion“ ist bekannt für ihre Kolumnen, in denen sie Innovationen gegen Anti-Gentechnik, Anti-Freihandels- oder Anti-Pestizidaktivisten verteidigt. 

Ducros ist enormen Shitstorms ausgesetzt, seit die linke französische Zeitung „Liberation“ über sie schrieb. Ducros hatte als Moderatorin auf Branchenkonferenzen der Agrarwirtschaft gearbeitet – die Reisekosten und Unterkunft bezahlte die Industrie. Auch hier tauchten Vorwürfe einer unethischen Praxis auf. Aber journalistische Integrität ist doch nicht mit einer Hotelübernachtung zu kaufen! 

Die in der Wissenschaftsforschung traditionelle Frage: „Was sind Ihre Beweise?“ wird zusehends ersetzt durch „Wer finanziert Sie?“ Damit wird jede wissenschaftliche Debatte diskreditiert, im schlimmsten Falle beendet. Die Folgen davon sind auf lange Sicht verheerend.

Bill Wirtz arbeitet als Policy Analyst für das Consumer Choice Center in Brüssel

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Copenhagen Airport sixth best in Europe for passenger-friendliness

Brussels, Zurich, Dusseldorf, Madrid and Manchester take top five places in Consumer Choice Center’s index

Copenhagen Airport has been ranked number six in Europe for passenger-friendliness by the Consumer Choice Center – a survey of the continent’s biggest 30 airports in terms of passenger numbers.

Copenhagen’s index score of 150 was ten points ahead of the airport in seventh place, but only three points off third place.

Brussels and Zurich were streets ahead in the top two places, with Dusseldorf, Madrid and Manchester completing the top five.

READ ALSO: Taxis from Copenhagen Airport getting more affordable

Two places ahead of Stockholm
Its European Airport Index assessed a number of factors, including practicality, comfort, location, transport options, in-airport experience and on-time performance by airlines.

Among the sub-categories were flight network access, direct jet bridges, proximity to city centre, number of lounges, security waiting times, pre-clearance for US flights and security wait information.

Amsterdam, Stockholm, Frankfurt and Munich completed the top ten.

On top of being friendly, CPH Aiport also hit the news earlier this month for being more affordable to take a taxi from.

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The Consumer Choice Center dévoile son 1er classement des aéroports européens

The Consumer Choice Center, un groupe de défense des consommateurs, vient de publier son premier classement des aéroports européens basé sur le confort des passagers. Les aéroports parisiens ne figurent pas dans le top 10.

Lobby mondial de défense des consommateurs, The Consumer Choice Center vient de dévoiler son top 10 Européen des aéroports mettant en valeur l’expérience et le confort des passagers. 

Pour établir son classement, l’organe de représentation s’est basé sur différents facteurs comme le nombre de destinations, les liaisons ferroviaires directes, la concurrence aérienne, les hôtels, etc. 

En prenant en compte les 30 aéroports les plus importants du continent, The Consumer Choice Center a couronné l’aéroport de Bruxelles et celui de Zurich, même nombre de points, devant l’infrastructure de Düsseldorf. 

Aucun aéroport parisien ou français ne figure dans le classement.

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Transportation Europe’s Top 10 Most Passenger-Friendly Airports

The Consumer Choice Center has revealed the findings of its first annual edition of the European Consumer Airport Index, highlighting the top 10 airports in Europe ranked by passenger-friendliness.

The index is the first of its kind in Europe, and should be used to inform both consumers and administrators as to who is doing the best job accommodating passengers. The top 10 are as follows:

  1. Brussels Airport
  2. Zurich Airport
  3. Düsseldorf Airport
  4. Adolfo Suárez Madrid-Barajas Airport
  5. Manchester Airport
  6. Copenhagen Airport
  7. Amsterdam Airport Schiphol
  8. Stockholm Arlanda Airport
  9. Frankfurt am Main Airport
  10. Munich Airport

Interestingly, nine of the top 10 were in northern Europe, with Madrid-Barajas as the lone exception. There was also a lack of eastern European airports—although three Moscow airports were the only ones to crack the top 30 in terms of require passenger volume. The top three—Brussels, Zurich and Düsseldorf—are all roughly one-third the size of Europe’s larger airports.

Yaël Ossowski, deputy director of the Consumer Choice Center, said the ranking demonstrates the power of offering both practicality and comfort at major airports: “High points were awarded to the airports that offered great destinations around the world, but also a healthy mix of shops, restaurants and conveniences found at the airport.

Consumer Choice Center examined Europe’s 30 largest airports (by passenger volume) and ranked them in terms of passenger experience, location, transportation options, in-airport experience and flight network access. Other factors determined in the ranking included direct jet bridges (rather than bus boarding), proximity to the city center, the number of lounges, low security waiting times and on-time performance by airlines. Bonus points were awarded to airports with pre-clearance for U.S. flights and ability to broadcast security wait times.

Looking for the best choice of airport lounges? Heathrow Airport (London) came out on top with 44 lounges. Zurich, Vnukovo International Airport (Moscow), Frankfurt and Vienna International Airport round out the top five.

The best shopping and dining experiences can be found at Zurich, Malpensa Airport (Milan), Munich, Orly Airport (Paris) and Amsterdam.

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Ontario cannabis lottery was a disaster. It should be the last

Ontario’s second cannabis retail lottery on Aug. 20 was set up to license an additional 42 stores, which would bring the province’s retail market to the unreasonably low total of 75 stores. Compare that to Alberta, which has 277 licensed cannabis retailers to serve a population of 4.3 million (30 per cent of Ontario’s). The small number of legal stores is a huge problem for Ontario given the persistent nature of the black market. Consumers need retail access in order for the legal market to crowd out the illegal market, and Ontario is clearly behind.

The Ontario cannabis lottery system has been nothing short of a complete disaster. In the second round, there have been numerous issues and peculiarities that are concerning. For each lottery entry, a physical address was required. Once the lottery results were announced, it became quite clear that the system was gamed by those who wanted to submit numerous applications. In one instance, a specific location was entered into the lottery 173 times, with the average amount of entries per winning address a staggering 24 times. This gamesmanship has led some toaccuse the system of being stacked against small businesses, because larger entities could afford to submit hundreds of entries at $75 an entry.

While it is understandable that a prospective business would want to increase their odds of getting chosen, by submitting multiple applications, the mess that the lottery has created clearly shows that the lottery system was a mistake to begin with. On Oct. 1, 2018, then-Ontario Attorney-General Caroline Mulroney explained that Ontario’s cannabis retail market would be one that was uncapped. Specifically, she said: “To ensure we combat the illegal market effectively, the total number of retail store authorizations will be limited only by market demand. We believe this is the right approach.”

An uncapped retail licence system would significantly aid in consumer access, which would ultimately make the legal market more attractive than the black market. Premier Doug Ford’s Progressive Conservative government obviously knows this, which makes one wonder why they are waiting so long to move ahead with the plan.

At several points, the provincial government has stated that supply issues, caused by the federal government, is the justification for the slow approach. Specifically, the government worries that if too many storefronts are allowed, while supply issues exist, that many stores will go out of business. There are certainly supply issues that are created, or at least maintained, by the federal government. That said, the claim that those supply issues justify so few storefronts doesn’t add up.

Supply issues aren’t a proper justification for limiting licences because the Ontario government doesn’t act this way for other businesses that sell age-prohibited goods such as alcohol licences for restaurants, bars, or clubs even though the failure rate for these businesses is more than 60 per cent. The prospect of business failure isn’t a particularly convincing justification for the lottery once you factor in how the province handles alcohol licences.

Beyond the hypocrisy of how the government deals with different industries, the lottery is also misguided because there isn’t evidence that the shortages are really limiting profitability for storefronts. Again, looking at Alberta, it becomes clear that whatever the supply shortages may be, they aren’t bad enough to significantly damage the retail market. Despite being significantly smaller in size, the Alberta cannabis market actually outsold Ontario from Oct. 17, 2018, the day it was legalized, to June, 2019. In that time period, Alberta outlets sold $123-million worth of product, while Ontario sold $121-million. This is relevant because it clearly shows that the Alberta retailers can manage through supply issues, so much so that they can outsell a province that is three times larger. If Alberta can have profitable stores having one store for every 15,000 people, then Ontario can certainly do better than having one store for every 190,000 people.

The Ford government initially made the right decision to make Ontario’s retail system uncapped. The retail market should be whatever the market can bear, and the government should treat these retailers as they do restaurants. Having a lottery was a mistake and holding a second lottery was a disaster. In response, the Ford government should announce, as soon as possible, that August’s lottery was Ontario’s last, and that an uncapped market is in the near future.

David Clement is the North American affairs manager with the Consumer Choice Center

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