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Day: November 28, 2022

Orban’s food price controls are more about control than about inflation

When Hungarian Prime Minister Viktor Orban announced that yet more products would be price capped in grocery stores by government decree, it was clear from the start that this was more about power and control than about combatting inflation.

Following a nationalistic playbook, it looks like Orban is using price caps to make business untenable for foreign-owned grocery chains, hoping they will decamp the country and leave his connected friends with their own monopolies. This has been a decade-long plan, chasing every corporate chain not owned by a Hungarian outside their borders.

That he would pursue this specific policy, which will lead to severe shortages for grocery customers and fuel the over 20% inflation rate, making consumers worse off, reveals how much he’s willing to sacrifice the livelihood of Hungarian households for his delusions.

Cronyism

The Orban playbook has now been played out for quite a while. It begins, as always, with a boastful policy to “help” his countrymen. But it always ends with a friend, colleague, or crony of Orban gaining a monopoly to enrich themselves at the expense of everyone else.

It all began over a decade ago when Hungary introduced a moratorium on opening supermarkets larger than 400 square meters. This was widely seen as helping the domestic chains. Any other chain could only open by following a tedious administrative process in which the government would approve (but usually deny) larger grocery stores.

Amid the pandemic, further burdens were put on larger retailers to mount the pressure. For example, businesses with over 1 million EUR net revenue were obliged to pay higher taxes progressively, in addition to paying corporate taxes. As most Hungarian-owned stores are organized as franchises, only a few were affected by this extra tax burden. The foreign chains, however, were the prime target.

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UBER FILES : POURQUOI UN SCANDALE ?

Les révélations sur l’entreprise de VTC sont-elles vraiment si graves ? Pour Bill Wirtz, elles rappellent surtout des problèmes dans le modèle des taxis qu’Uber et les autres applications de VTC essayent de remplacer.

Cet été, un consortium de journaux internationaux a publié les « Uber Files », une collection de documents ayant fait l’objet de fuites qui prétendent montrer les activités illégales et le lobbying douteux auxquels s’est livrée l’entreprise.

Il y a quelques semaines, le Parlement européen a organisé une audition parlementaire spéciale avec le lanceur d’alerte qui est devenu célèbre pour avoir rendu ces documents publics. Mais les « Uber Files » sont-ils vraiment le révélateur d’un scandale, et qu’est-ce que cela signifie pour l’entreprise ?

Uber contre les taxis

Voici déjà le résumé de l’ampleur de la fuite, décrite par le Guardian britannique en juillet dernier :

« La fuite sans précédent de plus de 124 000 documents – connus sous le nom de « Uber Files » – met à nu les pratiques éthiquement douteuses qui ont alimenté la transformation de l’entreprise en l’une des exportations les plus célèbres de la Silicon Valley. […]

La masse de fichiers, qui s’étend de 2013 à 2017, comprend plus de 83 000 courriels, iMessages et messages WhatsApp, y compris des communications souvent franches et sans fard entre Kalanick [le cofondateur d’Uber] et son équipe de cadres supérieurs. »

Il y a beaucoup de documents à lire dans cette fuite, de sorte que chaque lecteur peut se faire une opinion sur la question. Ce qui est clair pour moi, c’est que toutes les accusations ne sont que vaguement liées, et s’effondrent lorsqu’on les analyse de plus près.

L’article du Guardian suggère que la société se livre à des activités illégales, en s’appuyant souvent sur des procès intentés aux Etats-Unis par des passagers qui auraient été blessés par des chauffeurs Uber. Je ne peux pas parler de ces cas individuels, mais je trouve étrange de déclarer une entreprise criminelle sur la base du comportement de chauffeurs qui utilisent simplement la plateforme pour trouver du travail.

En comparaison, les chauffeurs de taxi ont un lien beaucoup plus linéaire avec la compagnie de taxi pour laquelle ils travaillent, et pourtant nous ne qualifions pas les compagnies de taxi de criminelles lorsque leurs chauffeurs commettent des actes illégaux.

Un autre aspect de la criminalité supposée d’Uber est la révélation qu’Uber avait « exploité » les manifestations de taxis dans le passé, au cours desquelles des chauffeurs de taxi avaient violemment agressé des chauffeurs Uber. Un cadre d’Uber aurait déclaré que ces actions des chauffeurs de taxi feraient le jeu d’Uber d’un point de vue réglementaire.

Même si je suis sûr que certaines des blagues et déclarations des messages privés étaient de mauvais goût, on ne peut s’empêcher de remarquer que les journaux qui critiquent Uber pour cela, ont très peu à dire sur les chauffeurs de taxi qui ont agressé des passagers et des chauffeurs Uber. L’article du Guardian montre même une photo de chauffeurs de taxi mettant le feu à des pneus à Paris. Comment quelqu’un peut conclure qu’Uber est l’acteur criminel dans cette affaire me dépasse.

Une question de relations

Ensuite, il y a la question du lobbying – avec cette désormais célèbre citation tirée des fuites : lorsqu’en 2015, un fonctionnaire de police français a semblé interdire l’un des services d’Uber à Marseille, Mark MacGann, alors lobbyiste en chef d’Uber en Europe, au Moyen-Orient et en Afrique (et aujourd’hui lanceur d’alerte derrière les révélations), s’est tourné vers l’allié d’Uber au sein du conseil des ministres français. « Je vais examiner cette question personnellement », a répondu Emmanuel Macron, alors ministre de l’Economie, par texto. « À ce stade, restons calmes. »

Il apparaît que les lobbyistes d’Uber avaient de très bonnes relations avec des personnes occupant des postes politiques élevés. Des relations qui ont permis à l’entreprise d’avoir des régimes réglementaires favorables dans certains pays européens. On peut arguer qu’étant donné les réglementations très strictes auxquelles l’entreprise a été confrontée, ses tentatives de lobbying n’ont pas été particulièrement fructueuses, mais en lobbying comme en marketing, les effets sont difficiles à mesurer.

Ce qui me frappe, c’est de savoir dans quelle mesure le lobbying d’Uber est offensant pour les gens. Toute personne ayant fréquenté les halls des parlements des Etats membres de l’UE, ou du Parlement européen, sait que des poignées de main sont échangées pratiquement chaque minute entre l’industrie et les représentants élus. Certaines de ces réunions sont enregistrées, mais d’autres se déroulent de manière informelle lors de fêtes ou d’autres rassemblements, ce qui est normal pour les centres de pouvoirs réglementaires.

En ce sens, Uber n’agit pas de manière particulièrement différente des autres industries, y compris les entreprises de taxi existantes, qui bénéficient depuis des décennies de protections spéciales en matière de licences de la part de nombreux gouvernements. Dans beaucoup de pays européens, dont la France, Uber a démocratisé le transport en taxi et l’a ouvert aux personnes à faibles revenus ou aux étudiants, qui n’avaient auparavant pas les moyens de payer une course.

Le système de prise en charge d’Uber a également rendu beaucoup plus difficile pour les chauffeurs la discrimination fondée sur l’origine ethnique – un facteur qui jouait souvent un rôle lorsqu’on appelle un taxi.

Les « Uber Files » sont-ils un scandale ? A mon avis, pas vraiment. Il y a des accusations de corruption, et celles-ci doivent faire l’objet d’une enquête. Cependant, la tentative de regrouper un grand nombre de SMS en une grande conspiration relève d’un journalisme paresseux. Cela ne tient pas la route face aux pratiques existantes dans les affaires publiques, et ne justifie pas une commission parlementaire.

Puisque le Parlement européen tient à enquêter, où est l’enquête sur la façon dont il a été possible de laisser pendant des décennies le monopole du transport par taxi à certaines personnes et sociétés ?

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Georgia could generate millions through sports betting

Georgia is one of the largest markets without legalized sports betting, and the state could rival others that have already legalized such wagering.

While the state does not have sports wagering, it does have a lottery. Last week, the Georgia Lottery Corp. reported its most profitable first quarter since its start in 1993.

The analysis found that Georgia, one of 15 states without legalized sports betting, could generate $600 million of revenue annually. The Empire State of the South could rival states like Michigan or Virginia if it legalized sports betting.

The Peach State’s “population rivals Ohio’s, and officials in Georgia have shown some recent interest in legalization, too,” PlayUSA said in a report. “The strength and positioning of the state lottery could complicate the proposed implementation, but we’ll choose to be optimistic for now.”

PlayUSA, a content and resource center for the legal gambling industry that focuses on the United States, predicted that at least two states will legalize sports betting next year. Georgia lawmakers have considered legalizing sports betting and casino gambling in the past.

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Orban’s Populism Is Limiting Access for Consumers

From the beginning of this week, the Hungarian Oil Company (MOL) has been unable to provide around 500 independent petrol stations with price-capped fuel. Entire municipalities will be without fuel due to this decision. Another worrying sign is that Shell has already announced a limit on petrol at the stations, where a complete fuel shortage has already become standard. Commenting on the latest developments of Hungarian price caps, Consumer Choice Center’s Government Affairs Manager, Zoltán Kész:

“Consumer Choice Center has already given out warnings regarding the possible effects of the price caps introduced by the Hungarian government. We are now experiencing these effects when we go to fill up our car and find that either there is a limit or, in the worst scenario, we find that you can’t even buy the fuel you want.”

“Not only is it disadvantageous for consumers, but it also has a backlash on distributors forced to take action to limit their losses. Some are closing down, some limit the amount consumers can buy, and some run out of fuel, and you realize it at the pump,” says Kész.

“A year ago, when this measure was introduced, it was clear that the motive behind it was purely political, as the country was about to elect the next government. However, Hungary has seen record-high inflation and rising prices in the past months. For the same political reasons, the government is not changing its price-cap policies, even if the results are clearly seen now. As we predicted at the Consumer Choice Center, shortages and the lack of available services are already happening,” concludes Kész.

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