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Day: May 27, 2020

Et si on relançait le tourisme grâce à l’économie collaborative?

Les avantages de l’économie collaborative pour les consommateurs sont souvent sapés par une réglementation et une fiscalité excessives.

Alors que le plan tourisme est en passe d’être adopté en France dans le but de relancer l’économie, un questionnement s’impose quant à la fiscalité et aux réglementations imposées au domaine de l’économie collaborative, qui a transformé nos vies de diverses manières.

QU’EST-CE QUE L’ÉCONOMIE COLLABORATIVE ?

L’économie collaborative, ou économie de partage, regroupe les activités humaines qui reposent sur l’usage autant sur que la possession. Comment ? Par le partage ou la mutualisation des biens, savoirs, services, espaces et outils.

Réserver un logement de vacances via les plateformes de colocation et prendre son téléphone pour commander un covoiturage deviennent des habitudes de plus en plus répandues. Il est souvent question, par exemple, d’Uber, d’AirBnB, de Heetch ou encore de Blablacar. La nature innovante de l’économie collaborative a conduit à son indéniable succès.

DE RÉELS AVANTAGES POUR LES CONSOMMATEURS

Malheureusement, et comme c’est souvent le cas aujourd’hui, ces avantages pour les consommateurs sont souvent sapés par une réglementation et une fiscalité excessives. L’actuelle pandémie Covid-19 a montré à la fois combien l’économie collaborative a pu aider les citoyens à accéder à des biens et services essentiels, tout en révélant les restrictions et réglementations très réelles qui les minent, alors qu’ils devraient être approuvés et encouragés.

Le Consumer Choice Center l’a bien compris, et a publié un index de l’économie collaborative. Il fournit un aperçu précieux de nombreux services les plus appréciés des consommateurs, ainsi que de la manière d’y accéder.

LE CLASSEMENT DES 52 VILLES ÉTUDIÉES

économie collective

Tallinn est l’une des villes les plus favorables à l’économie de partage. C’est grâce à son faible niveau de réglementation des services de covoiturage et de partage d’appartements, ainsi que son ouverture aux scooters électroniques et ses innovations remarquables dans le domaine du numérique, qu’elle accède à la première place du classement. L’Estonie est effectivement bien connue pour son essor numérique.

Les dix premières villes sont toutes très bien notées en matière de covoiturage, ce qui signifie qu’elles ne surchargent pas cette partie importante de l’économie avec des taxes municipales ou des exigences de permis spéciaux. Selon le Consumer Choice Center, Tbilissi et Kiev pourraient toutes deux obtenir le meilleur score possible si des applications de partage de salles de sport étaient disponibles. Alors, si vous êtes tenté, voilà une excellente idée pour lancer une start-up !

L’observation la plus surprenante de cette étude est que sur les neuf villes européennes en tête de liste, huit partagent un passé communiste. La détresse du passé dominé par l’État totalitaire aurait donc rendu ces pays plus ouverts à l’économie collaborative.

En revanche, Prague, Dublin, Amsterdam, Bratislava, Ljubljana, Sofia, Tokyo, La Haye, Luxembourg-ville et Athènes se retrouvent tout en bas de la liste. Ces villes ont choisi une réglementation excessive au détriment de l’intérêt des consommateurs, limitant ainsi considérablement leur choix.

La ville de Paris quant à elle, arrive en vingt-deuxième position du classement, derrière les villes voisines telles que Bruxelles, Milan ou encore Berlin, mais devant Lisbonne et Rome.

économie collaborative

Vous pouvez accéder au classement complet des 52 villes étudiées par le Consumer Choice Center ici. Vous y retrouverez également la méthodologie utilisée pour calculer ces scores.

RÉGLEMENTATIONS ET ÉCONOMIE COLLABORATIVE

Au lieu de choisir eux-mêmes des perdants et des gagnants sur le marché, les gouvernements devraient créer et maintenir des règles égales et équitables, dans lesquelles les services traditionnels et les entreprises basées sur le principe d’économie collaborative peuvent se concurrencer.

Finalement, le choix du service à utiliser ne devrait dépendre que du consommateur.

Dans toutes les villes, à l’exception de Kiev (Ukraine), il est nécessaire d’obtenir une licence de chauffeur de taxi pour devenir chauffeur de taxi. Bien que les exigences diffèrent d’une ville à l’autre, il n’est pas beaucoup plus facile de devenir conducteur de covoiturage : sur les 52 villes analysées, seules dix n’ont pas d’exigence similaire en matière de licence de taxi.

En outre, des villes comme Prague, Milan, Dubaï, Tokyo et Shanghai réglementent les prix des taxis. La réglementation excessive des taxis a causé beaucoup de tort, et avec l’arrivée de divers services de covoiturage, le problème est devenu particulièrement clair. La crainte de la concurrence a poussé les chauffeurs de taxi à descendre dans la rue et, en fin de compte, a entraîné une réglementation encore plus stricte des services de covoiturage.

Les taxes et réglementations diverses pèsent beaucoup trop lourd sur les chauffeurs de taxi comme sur le covoiturage.

Mais le covoiturage n’est pas le seul à souffrir de la bureaucratie et de la fiscalité excessive. Tallinn, par exemple, envisage une taxe touristique Airbnb, tandis que Prague est sur le point de limiter le nombre de jours de location d’une propriété Airbnb.

LA RELANCE DU TOURISME ?

Pourquoi les gouvernements semblent-ils lutter indéfiniment contre la mise en  concurrence ? Pourquoi ce besoin de produire des normes, réglementer et taxer chaque activité, chaque bien, chaque service ? Ignorent-ils que pénaliser les entreprises basées sur l’économie de partage pénalise également les consommateurs, et donc les citoyens ? Redoutent-ils l’évolution numérique plus qu’ils ne la soutiennent ?

Cette hostilité à l’innovation, à l’investissement et à l’entrepreneuriat doit cesser, il est temps de prendre en compte les bénéfices non seulement économiques mais également sociaux que ces biens et services peuvent apporter.

Nous le savons, de nombreux secteurs souffrent de la crise actuelle. Celui du tourisme en fait partie. Plutôt que de proposer des primes, des subventions, des plans tourisme, qui seront in fine financés par le contribuable, pourquoi ne pas lâcher du lest sur ces entreprises basées sur l’économie de partage et redonner envie d’y investir, de voyager, de louer, de partager ?


The Consumer Choice Center is the consumer advocacy group supporting lifestyle freedom, innovation, privacy, science, and consumer choice. The main policy areas we focus on are digital, mobility, lifestyle & consumer goods, and health & science.

The CCC represents consumers in over 100 countries across the globe. We closely monitor regulatory trends in Ottawa, Washington, Brussels, Geneva and other hotspots of regulation and inform and activate consumers to fight for #ConsumerChoice. Learn more at consumerchoicecenter.org

Πόσο μοιράζεται η Αθήνα

Δημοσιεύθηκε αυτές τις μέρες από το Consumer Choice Center ένας νέος και εξαιρετικά ενδιαφέρον δείκτης, ο Sharing Economy Index που κατατάσσει 48 μεγάλες πόλεις βάσει του ποιες από αυτές ηγούνται, και ποιες έπονται, στην υιοθέτηση εφαρμογών της λεγόμενης «οικονομίας διαμοιρασμού». Μ’ αυτόν τον μάλλον άχαρο όρο, περιγράφονται οι εφαρμογές εκείνες όπως το Uber και το AirBnB που επιτρέπουν το άμεσο συνταίριασμα ανθρώπων αφενός που είναι πρόθυμοι να διαθέσουν προς χρήση κάποιο περιουσιακό τους στοιχείο, όπως το διαμέρισμά τους, το αυτοκίνητό τους ή και τον χρόνο τους, και αφετέρου ανθρώπων που θέλουν να τα χρησιμοποιήσουν.

Οι εφαρμογές αυτές συνιστούν ένα τεράστιο βήμα προς τα εμπρός τόσο για τις οικονομίες, όσο και για την ανθρώπινη ευημερία συνολικά. Άλλωστε, η οικονομία προχωρά και οι ανάγκες και οι επιθυμίες των ανθρώπων καλύπτονται αποτελεσματικότερα όταν η τεχνολογία κάθε εποχής μας δίνει την ευκαιρία να κάνουμε περισσότερα πράγματα με λιγότερο κόστος, λιγότερο κόπο, χρήμα και ενέργεια. Όπως ακριβώς η εφεύρεση του χρήματος έλυσε τα χέρια στους απώτερους προγόνους μας και επέτρεψε στις πρώιμες εκείνες κοινότητες να επενδύσουν σε μεγαλύτερη εξειδίκευση και παραγωγή κεφαλαιακών αγαθών – δηλαδή καλύτερων εργαλείων – έτσι και οι εφαρμογές της οικονομίας του διαμοιρασμού γλιτώνουν τους καταναλωτές από πολλούς μπελάδες δίνοντάς τους περισσότερες ευκαιρίες, και ταυτόχρονα δίνουν την ευκαιρία σε ανθρώπους που έχουν ένα διαμέρισμα, ένα αυτοκίνητο ή οτιδήποτε άλλο που μπορούν να διαθέσουν, να τα θέσουν σε παραγωγική χρήση ώστε να ενισχύσουν το εισόδημά τους εξυπηρετώντας τους συνανθρώπους τους.

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თბილისი გაზიარებითი ეკონომიკის მხრივ მსოფლიოს 10 ყველაზე მეგობრულ ქალაქს შორის მოხვდა

საერთაშორისო ორგანიზაცია „Consumer Choice Center“-მა გამოაქვეყნა ინდექსი, რომელშიც შეფასებულია მსოფლიოს 52 დინამიური ქალაქი მათი ღიაობის მიხედვით გაზიარებითი ეკონომიკისადმი.

ინდექსი თავის მხრივ პირველია და მას გამოიყენებენ მომხმარებელთა ინფორმირებისთვის, თუ რომელი ქალაქი უზრუნველყოფს უკეთ ეკონომიკის ამ მოდელზე აგებული სერვისების მრავალფეროვნებას და მხარს უჭერს მომხმარებელთა მიერ მათ ხელმისაწვდომობას.

ინდექსის მიხედვით, პირველ ათეულში შევიდნენ: ტალინი, ვილნიუსი, რიგა, მოსკოვი,
სანქტ-პეტერბურგი, ვარშავა, კიევი, სან-პაულუ, თბილისი და ჰელსინკი.

სიის ბოლოში მოექცნენ: პრაღა, დუბლინი, ამსტერდამი, ბრატისლავა, ლუბლიანა, სოფია, ტოკიო, ჰააგა, ლუქსემბურგი და ათენი. აღნიშნული ქალაქებისთვის დამახასიათებელია მთავრობათა მიერ გადაჭარბებული რეგულირება როგორც კომპანიების, ასევე მომხმარებელთა ინტერესების საწინააღმდეგოდ.

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EU countries to propose excise tax for e-cigarettes and heated tobacco products

EU member states will ask the European Commission this week to place novel tobacco products, electronic cigarettes and heated tobacco products under the EU Tobacco Excise Directive, meaning they would be taxed just like traditional tobacco products, according to draft Council conclusions seen by EURACTIV.com.

“The current provisions of Directive 2011/64/EU have become less effective, as they are either no longer sufficient or too narrow to address current and future challenges, concerning some products, such as liquids for e-cigarettes, heated tobacco products and other types of next-generation products, which are entering the market,” the draft conclusions read.

“It is therefore urgent and necessary to upgrade the EU regulatory framework, in order to tackle current and future challenges in respect of the functioning of the internal market by harmonising definitions and tax treatment of novel products (such as liquids for e-cigarettes and heated tobacco products), including products, whether or not containing nicotine, that substitute tobacco, in order to avoid legal uncertainty and regulatory disparities in the EU,” the conclusions add.

The Council Conclusions are expected to be endorsed tomorrow (27 May) at a COREPER II meeting.

EU member states also ask the EU executive to present a legislative proposal to the Council, with the objective of “resolving, as appropriate, the concerns set out in these conclusions”.

Although novel tobacco products are regulated under the Tobacco Product Directive focusing on the health aspect, there is currently no EU-wide excise framework as there is for traditional tobacco products.

The situation in the EU single market is quite fragmented, as some member states tax e-liquids and heated tobacco products at different rates while others do not tax them at all.

In January 2018, the lack of sufficient data prompted the European Commission not to propose a harmonised approach for excise taxation of e-cigarettes and other novel tobacco products until further information about these products was available.

However, in February 2020, the executive published a report suggesting that for recent and new products, the lack of harmonisation is a source of concern from the internal market perspective.

“On the market side, developments have accelerated within new e-cigarettes, heated tobacco products and a new generation of modern products are coming into the market (containing nicotine or cannabis),” the report read.

“The current lack of harmonisation of the tax regulatory framework for these products is also restricting the possibility to monitor their market development and control their movements,” it added.

The tobacco industry says novel tobacco products and electronic cigarettes have significantly reduced health risks compared to traditional smoking and should therefore be treated accordingly.

On the other hand, EU policymakers insist that they are still harmful, albeit, perhaps, a little less than cigarettes, and all these years have adopted a cautious approach.

The next challenge will now be the pressure that the tobacco industry is expected to put on national governments in order to get the lowest excise tax possible.

Originally published here.


The Consumer Choice Center is the consumer advocacy group supporting lifestyle freedom, innovation, privacy, science, and consumer choice. The main policy areas we focus on are digital, mobility, lifestyle & consumer goods, and health & science.

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[Marketing Medium] The EU should not introduce harmonised excise taxes for vaping

Brussels, BE – According to Euractiv.com, the European Council will ask the European Commission this week to place novel tobacco products under the Tobacco Excise Directive, thus harmonising its excise levels across the single market. Bill Wirtz, Senior Policy Analyst for the Consumer Choice Center, said that this would undermine the public health objectives of the European Union:

source http://meltwater.pressify.io/publication/5ece1e185d31b600040cb76e/5aa837df2542970e001981f6

[Marketing Medium] The EU should not introduce harmonised excise taxes for vaping

Brussels, BE – According to Euractiv.com, the European Council will ask the European Commission this week to place novel tobacco products under the Tobacco Excise Directive, thus harmonising its excise levels across the single market. Bill Wirtz, Senior Policy Analyst for the Consumer Choice Center, said that this would undermine the public health objectives of the European Union:

from Consumer Choice Center https://ift.tt/3d7RU2C

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