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Day: June 5, 2023

Anti-alcohol extremists should not determine alcohol policy

It is increasingly clear that the temperance lobby is increasing its influence both globally and domestically

Since last August, when the Canadian Centre for Substance Use and Abuse (CSSA) published its updated alcohol guidelines, telling Canadians that having more than two drinks per week is a problem, alcohol policy has been placed back under the microscope. It’s certainly important to discuss what Canada’s alcohol guidelines should be, and what is or is not considered low-risk drinking, but it would be wise to first put anti-alcohol lobby groups under the microscope before proceeding with any type of policy change.

It is increasingly clear that the temperance lobby, those who think drinking any amount of alcohol is unsafe, is increasing its influence both globally and domestically.

Internationally, the World Health Organization has moved from declaring the COVID-19 pandemic over to narrowing its sights on alcohol. The latest example of the WHO’s mission creep is its alcohol “guide for journalists,” which Christopher Snowden of the Institute for Economic Affairs has describedas “a catalogue of anti-drinking tropes, half-truths, and brazen lies.”

The guide starts off by stating that “no amount of alcohol is safe to drink.” But this “no safe amount” claim has been repeatedly debunked by peer-reviewed research that finds a “J-Curve” relationship between moderate drinking and all-cause mortality. Those who consume moderately, usually one to two drinks per day depending on the study, actually have a lower mortality rate than those who abstain entirely, with the risk then increasing after that one-to-two drink threshold. The J-curve has been found in peer-reviewed studies going back as far as 1986, and has been confirmed since in at least eight different studies. The J-curve is not reason to drink if you don’t, but it does undermine the premise of the WHO’s policy on alcohol consumption.

The WHO’s departure from evidence-based policy wouldn’t matter much to Canadians if those half-truths weren’t making their way into our politics, but they are. The CCSA’s new guidelines, built on many of the same false premises as the WHO’s, are gradually becoming what is considered the gold standard for alcohol policy.

Take, for example, B.C. Cancer’s new campaign in partnership with the province’s ministry of health. Focused on how drinking causes cancer, it cites the CCSA’s report, stating that it “provides evidence-based advice on alcohol.” But it doesn’t, so much so that the International Scientific Forum on Alcohol Research (ISFAR) called it “a pseudo-scientific amalgamation of selected studies of low scientific validity that fit their preconceived notions.”

And what are those preconceived notions? In sum: temperance, the idea that no one should ever drink, under any circumstances. In fact, the WHO officially partners with temperance lobby groups like Movendi, an international temperance group that preaches a zero-consumption approach to alcohol. Movendi was founded in the 1800s under the name “The Order of Good Templars,” but rebranded itself in 2020, likely because the old name sounded too fusty to be taken seriously. But fusty is what temperance is.

Unfortunately for those who drink responsibly, these groups are being taken more seriously both here and abroad. There is no question that alcohol, when misused, is dangerous. Alcohol policy should therefore always be on the table (as it were). But serious discussion about it should be based on accurate information.

Originally published here

QUAND LES ÉCOLOS BLOQUENT LES ROUTES EUROPÉENNES

L’écologisme moderne n’est pas pro-humain, il est anti-impact. Sauf pour le coût des politiques qui s’en inspirent…

La tendance des écologistes à bloquer les routes européennes pour plaider en faveur d’une isolation financée par le gouvernement, de l’interdiction des voitures ou de l’interdiction des jets privés – selon ce qui les intéresse ce jour-là – a commencé l’année dernière et n’a pas encore pris fin.

Dans l’UE, l’Allemagne, l’Autriche et la France sont les pays les plus touchés par ces écologistes qui pensent que leurs priorités politiques l’emportent sur les trajets domicile-travail, les trajets domicile-école ou même les trajets des véhicules d’urgence. En Allemagne, un certain nombre d’ambulances ont été bloquées dans les embouteillages lorsque des militants se sont collés sur les autoroutes.

Les statistiques ne font pas état du nombre d’ambulances arrivées en retard à l’hôpital en raison de blocages, et de l’impact que cela a eu sur la santé des patients. Dans six des huit cas signalés, le bilan fait état d’une arrivée tardive, dans deux cas – parce que les véhicules étaient bloqués dans un embouteillage – d’autres ambulances ont dû être alertées. Dans tous les cas, la police allemande examine l’opportunité d’ouvrir une enquête.

« On n’a plus d’autre choix que d’embêter les gens », expliquent des activistes français, même s’ils risquent deux ans d’emprisonnement (qu’ils ne vont probablement pas recevoir).

Les conséquences de l’activisme

Qu’il s’agisse de se coller à une route ou de jeter de la peinture sur un tableau célèbre, l’écologisme n’est plus ce qu’il était. On pourrait dire que les écologistes de la fin du XXe siècle avaient une vision plus large. Oui, ils s’opposaient au nucléaire autant que leurs successeurs le font aujourd’hui, mais ils s’opposaient également aux guerres étrangères, à la corruption et aux intrusions dans nos libertés civiles.

Aujourd’hui, les écologistes portent toujours les mêmes vêtements, mais la différence essentielle est qu’une grande partie des militants écologistes sont de classe supérieure, et que leurs points de vue sont en train de devenir des politiques courantes au sein de l’Union européenne. Il fut un temps où ils étaient considérés comme des hippies, des représentants d’une certaine contre-culture opposés aux autorités. Aujourd’hui, ils se soucient très peu des libertés civiles, et leurs efforts pour interdire toute tentative d’instaurer une société moderne qui recherche l’abondance sont soutenus par les gouvernements européens.

L’état d’esprit d’un enfant de la classe supérieure qui se colle à une route, pour défendre l’idée qu’il faut augmenter le prix de l’essence, est tellement déconnecté de la réalité que même les auteurs de satires les plus drôles n’auraient pas pu l’inventer.

Tout cela se produit à un moment où les effets de l’écologisme sont clairement visibles. La tentative de transition énergétique de l’Allemagne a été un désastre : avec les prix de l’électricité les plus élevés de toute l’Europe, la puissance industrielle qu’est l’Allemagne s’est remise à brûler du charbon.

Il s’avère que l’énergie éolienne et l’énergie solaire ne garantissent en rien la sécurité énergétique de la construction automobile ou de la production de puces, mais permettent au contraire à l’Allemagne de rester dépendante du gaz naturel. L’énergie nucléaire a été complètement abandonnée par le gouvernement allemand, au détriment de sa stabilité économique.

Où en est la surpopulation ?

L’ironie de la chose, c’est que bon nombre des innovations technologiques contre lesquelles les écologistes s’insurgent sont en fait le moyen de vaincre et d’augmenter les émissions au fil du temps. L’énergie nucléaire n’émet pratiquement pas de CO2 et les technologies agricoles modernes, grâce au génie génétique, réduisent les besoins en eau, en pesticides ou en engrais.

Tout cela montre bien que pour les écologistes, il ne s’agit pas d’environnement, mais d’une soif primitive de contrôle et d’une possession idéologique. L’idéologie qui anime les écologistes n’est pas « comment faire pour que les 10 milliards de futurs habitants de cette planète vivent mieux ? », mais plutôt « comment oser avoir un impact sur le rocher flottant qu’est cette planète et sur son écosystème ? ».

L’écologisme moderne n’est pas pro-humain, il est anti-impact. Son approche de la nature glorifie les arbres et autres plantes comme des divinités de leur propre volonté, qui ne peuvent être blessées pour le bien de l’humanité. À l’instar de certains écologistes qui affirmaient lors de Covid-19 que « nous sommes le virus », l’humanité est considérée comme un fléau pour la planète, qui ferait mieux de disparaître.

C’est exactement la raison pour laquelle l’auteur Paul R. Ehrlich est encore populaire dans les milieux écologistes. Dès la fin des années 1960, Ehrlich affirmait que la population humaine était trop nombreuse et que, si l’ampleur des catastrophes pouvait être atténuée, l’humanité ne pouvait pas empêcher les famines graves, la propagation des maladies, les troubles sociaux et les autres conséquences négatives de la surpopulation. Ses théories sur la surpopulation ont été démenties depuis des décennies, mais depuis quand cela a-t-il arrêté un mouvement qui réclame davantage de contrôle de la part du gouvernement ?

Un prix inconnu

Le Green Deal européen est emblématique de ce phénomène politique : les politiciens qui le soutiennent tentent de faire croire que ces plans, qui réduisent notre bien-être, sont en fait nécessaires.

Ce Green Deal est ambitieux. Il vise à atteindre zéro émission nette d’ici 2050, avec une « croissance économique découplée de l’utilisation des ressources ». Pour ce faire, il prévoit des réformes structurelles dans le domaine de l’agriculture, la décarbonation du secteur de l’énergie et la mise en place de nouveaux régimes fiscaux afin d’éviter les importations non durables en Europe. Toutefois, la question qui se pose est la suivante : à quel prix ? Les dépenses supplémentaires annuelles pour l’Union européenne (entre 2020 et 2030) s’élèveront à 260 Mds$. Mais ce n’est pas tout.

Fin septembre 2021, la Commission européenne a publié une étude d’impact qui répond à cette question. Ce document n’a fait l’objet d’aucun commentaire de la part des fonctionnaires de la Commission ou des médias en général, ce qui est surprenant car il contient des données cruciales.

Dans la plupart des modèles présentés dans l’évaluation, on s’attend à ce que le Green Deal entraîne une contraction de l’économie. Ce phénomène est étroitement lié à la baisse de l’emploi, de la consommation et des exportations. Cette dernière sera particulièrement dévastatrice pour les pays qui dépendent fortement des industries d’exportation, lesquelles emploient des personnes dont les possibilités de réemploi sont limitées. Comme les industries de services – telles que le secteur financier – seront moins touchées, le fossé des opportunités sur le marché du travail s’élargira.

Les personnes collées à nos routes n’ont pas réfléchi à leurs politiques. Mais ce qui est encore plus effrayant, c’est que les personnes qui tentent de les mettre en œuvre ne l’ont pas fait non plus.

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