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Day: January 15, 2020

Ce Secteur a Réussi Là Où L’Etat a Toujours Échoué

Une bonne information et une réglementation équilibrée sont plus efficaces que l’interdiction pure et simple : du bon sens, et pourtant…

Les collégiens, les lycéens et les étudiants ont augmenté leur consommation de cigarettes électroniques, malgré les préoccupations croissantes.

Bien que la consommation de nicotine chez les mineurs et les décès dus à des maladies pulmonaires liées au tabagisme constituent un réel problème, les produits de vapotage légaux et une information précise auprès des consommateurs peuvent combattre ces effets au lieu de les aggraver.

Nous devrions nous réjouir de la présence d’alternatives au tabac et soutenir des produits sûrs et légaux.

Au début, il n’y avait que les étranges sosies de cigarettes qui s’allument lorsque vous preniez une bouffée. De nos jours, le marché de la cigarette électronique s’est élargi pour inclure beaucoup de variétés différentes, afin de donner un choix plus sûr au consommateur.

Cette dernière phrase étonnera sans doute de nombreux lecteurs – à juste titre. Si vous avez suivi l’actualité du vaping et les craintes qui entourent désormais ces produits, vous pourriez penser que la simple idée d’encourager les e-cigarettes devrait être une infraction criminelle.

L’exemple du Royaume-Uni

Aucun produit potentiellement nocif ne doit être encouragé. Cependant, dans le cas de l’e-cigarette, il faut reconnaître ses effets de réduction des méfaits. Public Health England (l’agence du département de la Santé au Royaume-Uni) a évalué en 2015 (et confirmé depuis) que le vaping est au moins 95% moins nocif que la cigarette conventionnelle.

Le Royaume-Uni, en particulier, montre qu’une politique permissive en la matière est meilleure pour aider ceux qui veulent arrêter de fumer. Entre 2011 et 2017, le nombre de fumeurs au Royaume-Uni est passé de 19,8% à 14,9%.

Dans le même temps, le nombre d’utilisateurs de cigarettes électroniques a augmenté : près de la moitié de ces consommateurs utilisent les cigarettes électroniques comme moyen d’arrêter de fumer.

Pendant ce temps, l’Agence américaine des produits alimentaires et médicamenteux (FDA), ainsi que la plupart des pays européens, publient des avertissements de santé publique concernant la vape. Une récente flambée de maladies pulmonaires « liées aux cigarettes électroniques » a augmenté le rejet de cette innovation.

Les symptômes des personnes affectées comprennent des difficultés respiratoires, des douleurs thoraciques, de la fatigue et des vomissements. Environ la moitié des patients sont des adolescents ou de jeunes adultes.

C’est ici qu’il est important de brosser un tableau complet de la situation.

Qu’y a-t-il dans une e-cigarette ?

Les deux principaux ingrédients utilisés dans les liquides de vape, le propylène glycol (PG) et la glycérine végétale (VG), sont utilisés pour former leur vapeur et ajouter du goût.

A ces deux ingrédients s’ajoute un troisième, habituellement un arôme alimentaire commun que l’on trouve dans les gâteaux, les huiles et d’autres produits alimentaires qui aident à donner au liquide son goût.

Tous ces composés sont des ingrédients alimentaires courants que les organismes de réglementation, dont la FDA, jugent sains et sûrs.

D’autres ingrédients variables incluent l’alcaloïde stimulant, la nicotine. Bien que tous les liquides de la cigarette électronique ne contiennent pas de la nicotine, le produit chimique qui crée une dépendance est le principal attrait pour les fumeurs qui veulent arrêter de fumer.

Comparée à d’autres alternatives, comme les timbres et les médicaments de la thérapie de remplacement de la nicotine, la vape s’est avérée plus efficace.

Le Center for Disease Control (CDC) a publié un rapport le 6 décembre qui a révélé qu’aucun d’entre eux ne contenait de nicotine. La plupart des consommateurs touchés avaient consommé des produits THC sur le marché noir – beaucoup dans des Etats qui n’ont pas légalisé le cannabis.

Dans la plupart de ces terribles cas de maladies pulmonaires liées à la fumée, de la vitamine E a été trouvée dans les liquides. La vitamine E est très nocive lorsqu’elle est inhalée.

En Europe, de plus en plus de pays abordent la question dans la bonne direction. La Direction générale de la santé du Portugal a publié une déclaration disant que les utilisateurs devraient s’abstenir de modifier leurs e-cigarettes liquides ou d’ajouter toute substance qui n’est pas légalement commercialisée et étiquetée.

Il s’agit certainement d’une approche davantage axée sur l’information des consommateurs que l’Etat du Michigan, qui a décidé d’interdire catégoriquement le vaping aromatisé (du moins à titre de mesure temporaire).

Le meilleur chemin pour arriver à la sécurité

Si nous voulons lutter contre les décès dus au marché noir, nous devons adopter des produits légaux sûrs. Un marché légal et réglementé est le meilleur moyen d’éradiquer les mauvais produits et acteurs.

L’interdiction des liquides aromatisés conduira au marché noir ou aux cigarettes ceux qui désirent des goûts différents. Des études récentes ont montré que si les produits de vapotage sont interdits, les utilisateurs de la cigarette électronique actuelles sont plus susceptibles de recommencer à fumer. Ce serait un pas en arrière considérable pour la santé publique.

Il reste encore beaucoup à faire pour briser les mythes sur la question des e-cigarettes. Au-delà de cette question, cependant, voyons ce que les produits ont réellement fait : depuis des décennies, l’Etat tente de convaincre les gens d’arrêter de fumer. Pour ce faire, il a eu recours à des politiques paternalistes, comme la fiscalité, les restrictions en matière d’emballage (le paquet neutre) et de vente, qui se sont toutes révélées inefficaces.

Toute baisse des ventes de cigarettes a été compensée par une hausse des ventes sur le marché noir. Dans cette économie souterraine, les consommateurs sont induits en erreur et ils en souffrent.

Nous devons encourager la commercialisation et l’image de marque de produits sûrs et légaux. L’information des consommateurs est nécessaire pour évincer les produits dangereux du marché noir.

La vape a réalisé ce que des décennies de politiques gouvernementales n’ont pas réussi à offrir aux consommateurs : une alternative viable. Ce type d’innovation doit être célébré, non réprimandé.

Originally published here.


The Consumer Choice Center is the consumer advocacy group supporting lifestyle freedom, innovation, privacy, science, and consumer choice. The main policy areas we focus on are digital, mobility, lifestyle & consumer goods, and health & science.

The CCC represents consumers in over 100 countries across the globe. We closely monitor regulatory trends in Ottawa, Washington, Brussels, Geneva and other hotspots of regulation and inform and activate consumers to fight for #ConsumerChoice. Learn more at 
consumerchoicecenter.org

Cannabis Conclave Returning To Davos: Meet Benzinga At The Event

The Cannabis Conclave is returning to Davos on Jan. 23, alongside the World Economic Forum.

The Conclave, which is hosted by the Consumer Choice Center and Prohibition Partners, is an industry event that seeks to connect industry leaders, investors and policy makers. The purpose of the event is to advance the legalization discussion internationally, for both medical and recreational cannabis.

The event consists of a networking luncheon at the mountainside Restaurant Höhenweg, where guests will be treated to a full Swiss three course lunch, along with thought provoking presentations.

“We are excited to be back in Davos for our second annual Cannabis Conclave. This year we will have industry leaders from 24 countries in attendance. Our event will ensure that cannabis policy remains front and center as the world’s most influential people descend on Davos for the week,” David Clement, North American Affairs Manager at Consumer Choice Center, told Benzinga.

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A new Pro-Science Citizens’ Initiative Deserves Support

A new student organized EU Citizens’ Initiative demands a streamlined process of authorising scientific innovations in the field of agriculture. They deserve to be heard and supported.

On 25th July, the European Commission registered the Citizens’ Initiative Grow scientific progress: crops matter! Two students are named as representatives, namely Martina Helmlinger and Lavinia Scudiero.

Helmlinger is about to finish her MSc in “Safety in the Food Chain” at the University of Natural Resources and Life Sciences Vienna. Scudiero is currently pursuing a Master’s in “Food Safety Law and Regulatory Affairs” at Wageningen University and Research.

The two students argue in the description of the initiative that EU Directive 2001/18/EC is outdated, and suggest an automatic mechanism to review it. The goal is to streamline the now lengthy and costly market authorisation process, and allow for more scientific progress in the EU. Individual evaluations, as opposed to broad definitions, should help to allow new technologies to enter the market.

As Marcel Kuntz, Director of Research at the Cell & Plant Physiology laboratory in Grenoble, explains: “Ag-biotech is not an agricultural production mode, it is a means to increase trait biodiversity. What is important is what is done with a product, not how the product was obtained.” Kuntz also complains about attacks on scientists and “political struggles” that define what is regarded as safe and what isn’t.

It often seems that the debate surrounding innovation in agriculture has been hijacked by professional communicators, doing everything to slander technological innovation without evidence.

The truth is that organisations such as Greenpeace have been attacking GMOs for decades. They say that GMOs represent “unacceptable risks”, without pointing to scientific evidence highlighting that risk.

“GM crops have no place in sustainable farming. They come with unacceptable risks created by the genetic engineering process and the traits they are engineered to express.”

The same NGOs that lobbied the EU against genetically-modified crops, have also been celebrating a European Court of Justice case which rules that gene-editing should be treated the same way as GMOs. Greenpeace calls gene-editing “GMOs through the back door”.

Dr Bernhard Url, Head of the European Food Safety Authority (EFSA), says that just because you don’t like the results, “don’t shoot science.” He adds that “if science becomes just one more opinion, which can be overlooked in favour of superstition, this carries an enormous risk for society.”

He is right. Gene-editing already offers multiple advantages to plant-breeding. For example, by creating allergen-free foods we could create immense change for people affected by potentially life-threatening allergies. However, these applications go beyond the realm of agriculture. Gene-editing can help fight the Zika virusprevent transmission of Malariacure leukaemia, and shows promising research in the areas of Alzheimers, Huntington’s disease, cervical and lung cancer.

Gene-editing is at risk of falling victim to the same unscientific fear-mongering as GMOs have been in the past. As a result other continents are innovating while Europe rides itself into a technological ditch, fantasising about the likes of “agroecology”, going so far as to ditch mechanisation.

The Grow scientific progress initiative deserves support. The European Union needs to open itself to innovation in order to keep up with the exciting opportunities of tomorrow.

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In your face: Planes are getting more efficient but passenger taxes drive airlines out of business

Range increases of new jetliners

The UK government has apparently just saved the regional carrier Flybe from bankruptcy by delaying over a hundred million pounds of passenger departure tax payments to the UK government and suggesting to lower this tax altogether in the future. Saving a local airline causes these days an outcry not because of government interventionism but the general anti-flying segment also known as flight shaming. Unfortunately the UK government did not move away from their plan to increase the APD for long haul flights by April 1st. 

Let’s look at what’s currently happening in the industry when it comes to long haul flights: Following aviation news regularly one can observe a real arms race in the last couple of years on which airline currently holds the record on the world’s longest flight. 

Just a few years ago Qatar Airways was the record holder with their Doha-Auckland flight on the newly delivered Airbus A350. 

Now Singapore to New York ranks as the world’s longest flight (and yes, there are different geeky ways to determine what “long” means but no need to dig into this here). 

Now one can just label these new ultra long haul routes as PR stunts of airlines or the manifestation of big egos of airline executives. But the actual marvel behind this is that flights are getting more and more efficient. This allows airlines to schedule longer flights and spare passengers hours of layovers at random airports on the way home. 

And while thousands of private jets will descend into Switzerland for some collective flight shaming at the World Economic Forum in Davos, it is important to point out that flying is getting more efficient. Consumers have more and more choices and additional direct flights allow them to travel faster.  

Those demanding less flying and higher taxation on flights are neglecting the fact of ongoing efficiency gains in the aviation industry and at the same time de-democratize flying by making it less affordable for the average consumer. 

Conventional jetliners becoming more fuel efficient is an ongoing development and does not need any policy input as it is in the intrinsic interest of airlines to offer more competitive routes and ticket prices. 

The next step would be to allow a regulatory framework for supersonic passenger flights. We wrote a paper on this last year. 

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