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À l’étranger, on caricature souvent la Suisse par sa seule neutralité. Cette description devrait nous interroger, car elle reflète sans doute plus qu’une simple philosophie de relations internationales.

Cette neutralité transparaît dans notre relation à la politique. La population suisse voit ses hommes politiques comme les garants d’un cadre général et non comme des sauveurs qui permettront de réorienter la nation dans la bonne direction. Vue de l’extérieur, la politique suisse est moins conflictuelle, plus tournée vers la discussion et la recherche de solutions. 

Toutefois, il y a des sujets qui semblent échapper à ce principe. C’est notamment le cas de la politique énergétique, qui est devenue un sujet passionnel. Il y a des pro et des antinucléaires, des pro et des antisolaires, sans parler des éoliennes, qui détruisent le paysage ou sauvent la planète. Choisis ton camp, camarade!

La neutralité énergétique devrait être la solution que nous devrions défendre collectivement au niveau politique. Ce principe repose sur la flexibilité et l’acceptation des différentes solutions possibles, afin de maintenir un approvisionnement en énergie fiable et durable tout en préservant l’environnement. La diversification des sources d’énergie est capitale pour garantir notre prospérité.

Cependant, ces dernières années, la politique énergétique suisse a pris un tournant controversé avec la mise en œuvre de la politique énergétique 2050, qui est en rupture avec l’histoire de notre pays.

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