Autor: Bill Wirtz

Farmers are struggling in Europe — don’t let RFK Jr. do the same to America 

President Trump took to Truth Social on Monday to announce April tariffs on all imported food, framing the move as a boon to U.S. farmers who will produce even more product for domestic consumption. But the MAGA movement is revealing a gap in its economic logic, and it will cost U.S. consumers and producers dearly.  

Consider the Video posted by Health and Human Services Secretary Robert Kennedy Jr., wherein the “Make America Healthy Again” leader pledged to work in coordination with the Department of Agriculture to ban all agricultural chemicals and pesticides used for farming if they’d been restricted overseas.  

Americans love to cite Europe for policy experiments, but not everything that happens on the old continent should be treated as secret knowledge which Americans lack.  

As a journalist covering European agriculture, I witnessed the sharp declineof farm profitability in the European Union. More than 5 million farmers have gone out of business there over the last two decades. Europe leads the world in restrictions on the use of herbicides such as atrazine, which was banned in 2004. Neonicotinoid insecticides were then limited in 2013.  

Wie new taxes on diesel were introduced atop fertilizers restrictions and the pesticide bans, farmer protests shut down roadways in London, Paris, Berlin and parts of Poland over the last two years. Manure was sprayed on government buildings and cities shut down, forcing regulators to reassess. It’s not hard to imagine how a U.S. copycat movement could spring up under similar conditions.  

Europe regulates using the “Vorsorgeprinzip” in all things, including agriculture. In practice, it means regulators don’t need to prove that a chemical is directly having adverse effects — mere suspicion is enough to justify a ban.  

To obscure the economic losses, Europe spends twice as much on farm subsidies per acre compared to the U.S., and associated programs make up over a third of the entire EU budget. 

Farmers in Europe are seriously struggling. Productivity is down, farmers are stuck relying on subsidies to make a profit and navigate the regulatory labyrinth.  

It didn’t used to be this way. A 2004 USDA report showed that the U.S. was underperforming Europe on crop productivity, but today this has flipped,with the exception of wheat.  

This fully coincides with Europe’s hesitancy to adopt modern technology, including crop protection chemicals and genetic engineering, which remains illegal in the EU.  

America has made itself great by basing its food production system on innovation and a light regulatory touch. We need to stay grounded in the basics, and that means recognizing that feeding millions of people is about scalability, accessibility and price.  

Americans aren’t just richer than the rest of the world because they make more nominal dollars; it’s also because their purchasing power is greater. Households in the U.S. spend less of their disposable income on food than Europeans, despite also spending less of their tax dollars on subsidizing farmers. 

Pesticides don’t have a good reputation, in no small part due to environmental lawyers such as RFK Jr. But they do go through rigorous safety testing in the U.S. and overseas. Glyphosate, for example, the weed killer most gezielt by Kennedy’s anti-modern farming narrative, remains legal even under the EU’s rigorous regulatory framework.

Secretary of Agriculture Brooke Rollins appeared on Fox Business in February to bemoan the former Biden administration’s inability to bring food prices under control, because of the increase in prices for inputs. Rollins was right — the increase in prices for synthetic pesticides and fertilizers inflates food prices.  

Now imagine the cost of banning those inputs. 

There is nothing wrong with scrutiny of any chemical solution we use to produce food, but after decades of scientists holistically reviewing these products, it is past time to realize RFK Jr.’s position is rooted more in nostalgia than science. And nostalgia will not feed the world.  

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Trump relance la guerre commerciale : l’Europe doit-elle riposter ?

Face à l’offensive américaine, l’Europe doit-elle réagir immédiatement ou privilégier une stratégie plus subtile ?

Quelques semaines seulement après avoir prêté serment pour son second mandat à la Maison-Blanche, Donald Trump reprend là où il s’était arrêté. Aggravant la guerre commerciale avec les pays alliés, le président républicain a également porté son attention sur l’Europe.

Il a récemment suggéré, depuis la Floride, d’imposer des droits de douane de 25% sur les voitures, les semi-conducteurs et les produits pharmaceutiques.

Son approche est d’autant plus surprenante en ce qui concerne les produits pharmaceutiques. Bien que les Etats-Unis affichent un déficit commercial avec l’UE dans ce secteur, l’instauration de droits de douane ne ferait en réalité qu’augmenter le prix des médicaments pour les patients américains. En quoi cela serait-il bénéfique pour les consommateurs américains ?

En outre, M. Trump souhaite instaurer des droits de douane réciproques sur les produits européens afin de compenser l’impact de la taxe sur la valeur ajoutée (TVA) appliquée dans l’UE. Une telle approche reviendrait à élargir considérablement la définition des barrières commerciales, avec des répercussions bien au-delà des relations entre les Etats-Unis et l’Europe.

Or, selon l’Organisation de coopération et de développement économiques (OCDE), basée à Paris, plus de 170 pays appliquent aujourd’hui une TVA, en faisant une source de revenus essentielle pour les gouvernements du monde entier.

Le président a laissé les experts commerciaux dans l’incertitude quant aux détails précis de ses projets de tarifs réciproques, mais le chef de cabinet adjoint de la Maison-Blanche, Stephen Miller, a laissé entendre au cours du week-end qu’il pourrait envisager des mesures non tarifaires, telles que les TVA européennes et les taxes européennes sur les services numériques.

Par ailleurs, M. Trump continuera très probablement à brandir la menace de droits de douane sur l’acier et l’aluminium européens, comme il l’avait déjà fait lors de son premier mandat.

Pendant ce temps, à Bruxelles, la Commission européenne s’est engagée à prendre des mesures de rétorsion « immédiates » contre les droits de douane américains sur les produits de consommation et les biens manufacturés européens.

Bruxelles a également rappelé son attachement à un commerce fondé sur des règles, accusant Washington de saper ses engagements existants. Les Etats-Unis ont effectivement paralysé l’Organisation mondiale du commerce, ayant bloqué la nomination de juges à sa plus haute cour d’appel depuis le premier mandat de Trump.

Si l’engagement en faveur d’un ordre international fondé sur le commerce est une bonne chose à entendre au Berlaymont, il est également très positif d’entendre que, dans le cadre des concessions que l’UE prépare cette semaine même, il y a une ouverture sur la réduction des droits de douane de 10% imposés par l’UE sur les véhicules américains. Bien sûr, cela permettra à Donald Trump de croire que ses tactiques d’intimidation fonctionnent, mais cela fait également progresser les objectifs du libre-échange.

En tant qu’Européens, nous devons admettre que nous imposons également des barrières tarifaires et non tarifaires à nos alliés, bien que de manière plus subtile et plus détournée que Donald Trump. Nous subventionnons massivement nos agriculteurs, avons mis en place des normes alimentaires strictes et appliquons des droits de douane sur une large gamme de produits importés, y compris en provenance de pays que nous avons auparavant soutenus dans leur développement économique.

En 2018, l’UE a instauré des droits de douane sur le riz en provenance du Cambodge et du Myanmar, sous la pression des producteurs de riz de certains Etats membres, comme l’Italie, qui dénonçaient une concurrence accrue. Pourtant, ces deux pays asiatiques bénéficiaient de notre soutien économique pour stimuler leur développement, notamment en facilitant leurs exportations vers des marchés plus riches afin de créer des emplois pour leur population.

Ainsi, d’un côté, nous apportons une aide financière aux pays en développement, et de l’autre, nous imposons des taxes qui rendent ces mêmes produits plus chers pour nos consommateurs lorsqu’ils les achètent en supermarché.

Mais face aux menaces tarifaires de Donald Trump, la meilleure approche, dans l’immédiat, est de ne rien faire. Il n’est pas nécessaire de répéter la riposte tarifaire de Jean-Claude Juncker sur les blue-jeans, le bourbon et les motos Harley-Davidson – nous ne sommes pas censés gérer notre économie comme une cour de récréation.

Au contraire, nous devrions privilégier des négociations intelligentes, en rappelant aux Américains que le commerce est mutuellement bénéfique et que nos économies respectives échangent des biens essentiels dont nous avons tous besoin.

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Agriculture: l’Europe se libère, le Québec doit en faire autant

L’Europe reconnaît enfin que sa sur-réglementation étouffe ses agriculteurs et amorce un virage vers plus de liberté. Englué dans la bureaucratie, le Québec doit s’en inspirer pour redonner aux producteurs le contrôle de leurs terres.

La Commission européenne a publié le 19 février dernier sa «Vision for Agriculture and Food», un document qui expose la manière dont l’exécutif de l’Union européenne entend réorienter ses pratiques après des années de manifestations des agriculteurs et de chaos politique sur la question des standards agricoles.

Une autocritique étonnante 

Ce document de 28 pages aborde tous les sujets, du soutien aux jeunes agriculteurs à la santé des sols et à l’innovation numérique. Cela dit, la partie la plus frappante de ce document de vision est l’autocritique: l’UE admet que trop de choses ont été négligées en matière de réglementation agricole. 

Les agriculteurs devraient être des entrepreneurs et des fournisseurs, et ne pas avoir à supporter des charges bureaucratiques ou réglementaires inutiles. 

Comme l’indique le rapport Draghi (un récent rapport sur la compétitivité rédigé par l’ancien premier ministre italien), «les exigences excessives et les obligations de déclaration entravent la compétitivité de l’économie de l’UE et l’innovation.»

Vers une déréglementation inédite?

Le rapport poursuit en expliquant que l’UE n’a pas besoin de réglementer la façon dont les agriculteurs font leur travail et qu’elle prévoit un effort de déréglementation sans précédent, qu’elle appelle diplomatiquement «simplification».

Il s’agit d’un changement significatif par rapport à il y a seulement cinq ans, lorsque l’Union européenne s’est lancée dans la réforme agricole la plus importante jamais vue. 

Dans le cadre du «Green Deal» européen, la Commission prévoyait de réduire l’utilisation des pesticides et des engrais, de diminuer l’exploitation des terres agricoles et de plus que doubler la production bio. 

Ces plans se sont retournés contre eux, notamment parce que les propres recherches de l’UE ont montré qu’ils allaient rendre les agriculteurs moins productifs, réduire leurs revenus, tout en manquant complètement les objectifs européens de réduction des émissions de gaz à effet de serre. 

La stratégie dite «Farm to Fork» semblait meilleure en théorie qu’elle n’aurait jamais pu l’être en pratique, comme en témoignent les mois de manifestations d’agriculteurs sur tout le continent. 

Aujourd’hui, l’Europe rompt avec ses tabous en autorisant les cultures génétiquement modifiées sur ses étals d’ici quelques années et en facilitant le respect de la réglementation par les agriculteurs. 

Même en ce qui concerne les pesticides, pour lesquels l’Europe fournit le cadre le plus strict, la Commission déclare aujourd’hui qu’elle souhaite s’éloigner d’une solution «one-size-fits-all». 

Le Québec doit d’inspirer de l’UE

J’ai récemment pris la parole devant les Producteurs de grains du Québec lors de leur assemblée annuelle à Drummondville. Il m’est alors apparu clairement que l’approche réglementaire du Québec allait dans le même sens que celle de l’Europe, avant son recentrage. 

Nos agriculteurs doivent composer avec beaucoup de règles liées aux subventions, de même qu’avec des interdictions performatives sur les pesticides (les villes de Montréal et de Québec ont toutes deux interdit l’utilisation du glyphosate), sans solutions viables pour les agriculteurs. 

Lorsque les producteurs déplorent leur perte de productivité, parfois en raison des conditions météorologiques, comme ce fut le cas l’année dernière, la réponse politique consiste généralement à débloquer des fonds supplémentaires. 

Ce ne sont que des solutions temporaires à un problème plus profond et structurel: plutôt que de transformer les agriculteurs en véritables employés de l’État, nous devrions leur laisser la liberté de cultiver leur terre selon leur savoir-faire, avec les outils qu’ils maîtrisent mieux que quiconque.

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Bruxelles peut-elle réellement relancer la compétitivité ?

Après des années d’emballement réglementaire, la Commission européenne semble amorcer un virage vers la simplification et la dérégulation. Mais cette évolution est-elle réelle et suffisante pour restaurer la compétitivité de l’Europe ?

Depuis que Ursula von der Leyen a réussi à décrocher un second mandat à la tête de la Commission européenne, la grande question qui se pose est la suivante : peut-elle passer du rôle de tsar de l’environnement à celui de reine de l’industrie ? J’avais déjà soulevé cette interrogation dans un article publié en juillet dernier ; un an plus tard, quel bilan peut-on en tirer ?

« Il y a eu de nombreux changements de contexte, mais il y a aussi eu une observation objective, faite dans les rapports Letta et Draghi, selon laquelle l’appétit de l’Europe pour la réglementation est devenu un obstacle à la compétitivité. » Ce n’est pas moi qui le dis, mais un diplomate français cité récemment par Politisch, alors qu’Emmanuel Macron essuie des critiques à Bruxelles pour avoir tenté de diluer les règles environnementales.

Il y a indéniablement un mouvement en cours, que j’observe de près dans le secteur agricole. On assiste à une simplification des contraintes réglementaires, à un accès facilité aux paiements directs pour les agriculteurs, et même à un engagement clair en faveur du maintien de l’élevage comme pilier de la chaîne agroalimentaire européenne.

C’est un changement de ton notable par rapport au passé, lorsque certains pays comme les Pays-Bas envisageaient d’éliminer progressivement un tiers de l’ensemble de l’élevage.

Au cours des prochains mois, des méthodes de simplification seront mises en place pour la directive sur les rapports de durabilité des entreprises (CSRD), les règles de diligence raisonnable (CSDDD) et la taxonomie de l’UE. Le programme de travail de la Commission européenne indique ceci :

« La Commission proposera notamment de rationaliser et de simplifier les rapports sur le développement durable, le devoir de diligence en matière de développement durable et la taxonomie, et de créer une nouvelle catégorie de petites entreprises de taille moyenne avec des exigences adaptées. D’autres mesures faciliteront la mise en œuvre du programme InvestEU et du Fonds européen pour les investissements stratégiques, notamment en simplifiant les rapports, et en stimulant l’investissement. Nous accélérerons la mise en place d’un environnement réglementaire numérique et proposerons de supprimer les exigences inefficaces relatives aux formats papier dans la législation sur les produits et de créer des synergies et une cohérence pour les règles relatives à la protection des données et à la cybersécurité. Les mesures de simplification concernant la politique agricole commune et d’autres domaines d’action touchant les agriculteurs permettront de s’attaquer aux sources de complexité et de charge administrative excessive pour les administrations nationales et les agriculteurs. »

En outre, le Parlement européen a également joué son rôle, en votant en faveur de la déréglementation des cultures génétiquement modifiées (à la fin de la législature précédente), et plus récemment, en votant en faveur du report des règles anti-déforestation, qui nuiraient aux entreprises européennes.

Ce qui se passe au sein de la Commission européenne est à la fois surprenant et porteur d’espoir. Les médias spécialisés sur l’UE rapportent que les décisions concernant la législation omnibus, destinée à simplifier et alléger la réglementation, sont prises directement au plus haut niveau, sans l’intervention des échelons intermédiaires. C’est une bonne nouvelle : pour une fois, on supprime réellement des règles sans les soumettre au filtre des jeunes diplômés du Collège d’Europe, âgés de 26 ans, souvent prompts à imposer leurs certitudes sur le fonctionnement des entreprises des autres.

Oserais-je dire que j’ai confiance dans ce processus ? Pas vraiment. La déréglementation était nécessaire depuis longtemps, mais je doute que Mme von der Leyen soit la mieux placée pour la mener à bien. Avait-elle une conviction profonde lorsqu’elle a porté le Green Deal européen ? Probablement pas. Elle s’est avant tout inscrite dans la dynamique Greta Thunberg après les élections de 2019. Pourtant, elle n’a toujours pas supprimé bon nombre des règles anticoncurrentielles du Green Deal, pourtant essentielles pour aller de l’avant. Entre son inclination verte et son virage vers la dérégulation, difficile de dire de quel côté elle penche réellement.

La compétitivité n’est pas une question de changements cosmétiques. Nous avons besoin de moins de règles, de moins d’argent pour les ONG qui plaident en faveur d’une réglementation plus stricte, et d’une Europe ouverte aux affaires. L’Europe peut y arriver, mais nous devons cesser de nous mettre des bâtons dans les roues.

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Sollten US-Milliardäre im Ausland die Gesundheitspolitik diktieren?

New Yorks ehemaliger Bürgermeister Michael Bloomberg, bekannt für seine Besessenheit mit paternalistischen Maßnahmen wie dem Verbot von Big Gulps oder auch nur dem arrogante Aussage dass die regressive Wirkung der Sündensteuer auf arme Menschen gut ist, da ihnen die richtige Bildung fehlt, ist über Bloomberg Philanthropies weiterhin im Bereich der öffentlichen Gesundheit aktiv. 

Bloombergs Wohltätigkeitszweig, dem er den Großteil seines auf über 1450 Milliarden Pesos geschätzten Vermögens vermacht hat, ist hochpolitisch.

Man könnte vernünftigerweise davon ausgehen, dass eine Stiftung, die sich auf die Verbesserung der öffentlichen Gesundheit konzentriert, die Forschung zur Heilung von Krebs, zur Erforschung seltener Krankheiten und seltener Medikamente oder zur Linderung von Schmerz und Leiden amerikanischer Patienten unterstützen würde. Wenn es schließlich das Ziel wäre, dem Land etwas zurückzugeben, in dem er seine Milliarden angehäuft hat, wäre dies eine lobenswerte Tat.

Bloomberg hat jedoch seine unsinnigen politischen Kämpfe in der Non-Profit-Welt einfach fortgesetzt und auf der ganzen Welt ausgeweitet. Seine neueste Obsession: (fehlgeleitete) Tabakkontrolle in Vietnam.

Ende November verabschiedete die Sozialistische Republik Vietnam ein Gesetz, das Nikotinalternativen wie E-Zigaretten und erhitzte Tabakprodukte verbietet. Gemeinsam mit der Weltgesundheitsorganisation (WHO) hat Bloomberg Philanthropies „unterstützt“ – höchstwahrscheinlich finanziell gemeint – Bemühungen, sicherere Nikotinprodukte zu verbieten. 

Kurioserweise sind herkömmliche Zigaretten mit all ihren gesundheitsschädlichen Auswirkungen, die wir alle seit Jahrzehnten kennen, weiterhin legal und werden von Vietnams eigenem milliardenschweren staatlichen Tabakmonopolisten Vinataba verkauft. Mit seinen über 12.000 Mitarbeitern und einem Umsatz von 148 Milliarden TP2, was etwa 1213 Milliarden TP2 der jährlichen Steuereinnahmen Vietnams entspricht, ist die Vietnam National Tobacco Company ein nicht ganz unwichtiger Geldeintreiber für den Staat. 

Während Bloomberg und die WHO dies als einen Sieg für die öffentliche Gesundheit verkaufen, betrachten die Verantwortlichen in Hanoi dies eher als ein Mittel zur Neutralisierung des Wettbewerbs in ihrem Monopol.

Die Frage ist: Der vietnamesische Staat könnte zwar von einer finanziellen Entscheidung profitieren, die als Förderung der öffentlichen Gesundheit getarnt ist. Warum unterstützt Bloomberg jedoch eine Maßnahme, die Menschen von Geräten abbringt, mit denen sie mit dem Rauchen aufhören können, und sie dazu bringt, wieder zu herkömmlichen Zigaretten zurückzukehren?

Wir müssen hier nicht nach einer bestimmten Verschwörung suchen; es ist nicht das Geld, das der New Yorker Milliardär mehr braucht. Seine wohltätige Stiftung ist nichts weiter als der verlängerte Arm seiner paternalistischen und ideologischen Besessenheit.

Egal ob es um Zucker, Fett oder Nikotin geht – die Gesundheitsbehörde schreckt vor nichts zurück, um Entscheidungen zu regulieren, die sie für ungesund hält.

Aber zumindest bei Zucker und Fett kann man argumentieren, dass sie von vornherein keine gesunde Wahl sind. Der öffentliche Nutzen eines Big Gulp liegt darin, dass ich ihn als Verbraucher haben möchte, nicht darin, dass ich ihn brauche, und ja, in einer freien Gesellschaft muss das Grund genug sein, ihn zu behalten. 

Zucker kann wie jedes andere Produkt in Maßen konsumiert werden. Der Substitutionseffekt von Nikotinalternativen wie Vapes und Heaters geht jedoch darüber hinaus, da sie Menschen dabei helfen, schädliche Zigaretten aufzugeben. E-Zigaretten sind etwa 95% weniger schädlichals herkömmliche Zigaretten, so Public Health England, und dienen somit einem Ziel der öffentlichen Gesundheit, anstatt es zu verschlechtern.

Das Problem besteht darin, dass es in den Industrieländern zwar Institutionen und Denkfabriken gibt, die in der Lage sind, dem Einfluss von Bloombergs breit angelegter ideologischer Lobbyarbeit für den Nanny-Staat etwas entgegenzusetzen, die Entwicklungsländer jedoch aufgrund mangelnder öffentlicher Debatten viel schlechter dazu gerüstet sind. Das macht sie zu einer leichten Beute für den ehemaligen New Yorker Bürgermeister.

Als Michelle Minton legt in einem Blogbeitrag darDie von Bloomberg finanzierte amerikanische Non-Profit-Organisation Campaign for Tobacco-Free Kids (CTFK) arbeitet derzeit aktiv an Gesetzesentwürfen oder setzt sich für ähnliche Beschränkungen von Nikotinalternativen auf den Philippinen, in der Ukraine, in Bosnien, in lateinamerikanischen Ländern und in Afrika ein.

Die Länder stehen vor unterschiedlichen Herausforderungen bei der Reduzierung der Raucherquote, weshalb sie alle unterschiedliche Strategien verfolgen. Wenn ein amerikanischer Milliardär ihre manchmal legitimen Bemühungen zur Verbesserung der öffentlichen Gesundheit mit einem ideologischen Ansatz, der nach hinten losgehen wird, durchkreuzt, ist das nicht nur kontraproduktiv, es könnte auch der ungesündeste Ansatz von allen sein.

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Einzigartig in Europa: das Emblem eines untergehenden Kontinents

Sie feiern die Ankunft eines einzigartigen Laders, aber was ist der Preis?

Im ersten Januar hat die EU die Verantwortung für die kommunalen Ladungsträger übernommen, was darauf hinweist, dass alle neuen Mobiltelefone, Tablets, numerischen Fotoapparate, Tastaturen, Tastaturen und viele andere elektronische Geräte verkauft werden In der EU ist ein USB-Typ-C-Ladeanschluss vorhanden.

Dieses neue Lieblingsargument, das in den letzten Jahren viel Arbeit geleistet hat, ist die Normalisierung der Aufladehäfen auf dem gesamten Kontinent und die Verhinderung von elektronischen Verlusten. Im Lebenslauf soll er das Leben der Konsumenten erleichtern und die Umwelt schützen.

Das sagte ich, ich stimme zu, dass es ein Problem darstellt.

Auch wenn der USB-C so aussieht, als ob er im Laufe der Zeit über eine höhere Wirksamkeit verfügt, können wir diese Technologieentwicklung nicht im Voraus kommentieren. Laut diesem Beispiel: Im Jahr 2009 schlug die Europäische Union für die Premiere ein gemeinsames Ladegerät vor, der Micro-USB galt als normal. Da dieses gemeinschaftliche Ladegerät in der Epoche eingeführt wurde, waren europäische Konsumenten vor Kurzem ein privates USB-C-Gerät, heute mehr als beliebt, was die neue Norm angeht?

Wir verbringen die Zeit damit, Ihnen die besten Technologien zu zeigen, die Sie auf dem Markt erreichen. Als Gläubiger der Gemeinschaft ist die EU für die Verzögerung von Innovationen verantwortlich, indem sie Konsumenten die Wahl lässt, jedoch nicht vor Ort, sondern vor Ort. Die Verabschiedung dieses Vorschlags durch das Europäische Parlament und den Rat sollte noch vor mehr als einem Monat erfolgen, und ich bin gerade dabei, mehrere Unternehmen zu finden, um die besten Lösungen zu finden, die den Zellen, die derzeit vorgeschlagen werden, zur Verfügung stehen.

Mit der rasanten Entwicklung der Technologie ist es nicht sicher, ob USB-C von allen als besonders wirksame Technologie angesehen wird. Darüber hinaus ist es sehr wahrscheinlich, dass die Ladekabel veraltet sind, da Unternehmen mehr als einmal mit Ladegeräten ohne Kabel experimentieren. Wenn dieser Vorschlag angenommen wird, müssen die Unternehmen diesen Preis vergeben.

Als Apple im Jahr 2016 beschloss, den Port für das iPhone aufzugeben, war er sehr skeptisch. Die meisten Konsumenten wissen nicht mehr, wie sie die Technologie ohne Kinder schätzen, und sie haben es nicht geschafft, sich an die Bewohner von Kindern zu wenden, die ihnen das Geheimnis auferlegen, das sie in ihrer Tasche haben. Wenn die EU oder alle anderen Regierungsorgane versuchen, einzugreifen und Abhilfe zu schaffen, ist es wahrscheinlich, dass wir ihnen bei der Beschaffung keine Vorteile verschaffen.

Die Freude mit der Quelle, mit der die Europäische Kommission den „Sieg“ gefeiert hat, als sie an den technologischen Unternehmen teilnahm, die von der Kommunalverwaltung für die Verantwortlichen regiert wurden, ist eine schreckliche Enthüllung des Staates, als sie tatsächlich die Europäische Union fand.

Ist Europa eine der größten Technologie-Genossenschaften mit Ausnahme von Spotify? Nein, Sie erheben keine Steuern. Ist Europa ein avantgardistisches und mit neuen Funktionen ausgestattetes Europa? Nicht, und tatsächlich, aus Gründen der europäischen Regulierung, sind die neuen Funktionen der iOS-Logik für europäische Verbraucher nicht nützlich. Was sind die Gründe für dieses Problem aufgrund einer günstigen Umgebung für Unternehmen? Nichtsdestotrotz waren sie schon vor ihrem Tod durch kleine und unnütze Vorschriften tätig.

Eine bürokratische Armee hat uns vor 16 Jahren auf die anderen unter Druck gesetzt, um diese Regeln zu übernehmen. Milliers de traducteurs l'ont traduite in allen amtlichen Sprachen der EU, die Parlamentarier überredeten die Milliers de burxelles zu debattieren, die Maschinen von Brüssel mussten noch einmal die Milliers d'hesures in die Lage versetzen, die Artikel der Fournisseures zu scannen Technologie nicht konform, rendant ainsi unmöglich la vente de Millionen von Artikeln, die den Verbrauchern noch mehr zur Verfügung standen, bis sie mit den vorhandenen Kabeln aufgeladen und aufgeladen wurden.

Unsere Besessenheit von der Regulierung ist das Debüt unserer Ungleichheit in Europa. Wir haben keine Gelegenheit, in die Technologie einzutauchen, nur weil unsere Lebensweise gefährlich ist. Ein Lebensmodus, der mehr und mehr ist.

Es reicht aus, sich in einer Reihe von Gemälden wie Corée oder Japan zu revanchieren, damit wir nicht wissen, ob ein Museum von Touristen geschätzt werden soll. Ja, unsere Produktion von Frischkäsen und fantastischen Weinen – und unsere Devons setzen sich bis zum Ende fort – aber es kann nicht passieren, dass es sich um die gleiche Essenz Europas handelt. Wir sind ein Kontinent der Innovation und des Unternehmergeists, und wir haben fast alles aufgegeben, um eine Chance zu bekommen, etwas zu unternehmen und die Umwelt zu respektieren, und das, was wir uns vorgenommen haben. Es dauerte eine Weile, bis wir unsere Freiheiten hatten, um die Innovation, die wir produzierten, nicht zu verlangsamen.

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Abkommen EU-Mercosur: Macron ist dagegen

Da dieses Abkommen wichtige wirtschaftliche Vorteile für die beiden Blöcke verspricht, wird es den politischen Widerständen zugute kommen.

Die Präsidentin der Kommission, Ursula von der Leyen, empfing Uruguay als Unterzeichnerin des Abkommens über den freien Austausch zwischen der EU und dem Mercosur und begann 1999 mit den Verhandlungen Douane entre les deux Blöcke (die EU und die Mitglieder des Mercosur, à la Brésil, la Bolivien, l'Argentinien, le Paraguay und l'Uruguay). Die Unterdrückung der Droits de douane auf landwirtschaftlichen Erzeugnissen bedeutet auch, dass auf industriellen Erzeugnissen die abgetrennten Automobilteile einen echten Wirtschaftsstoß erlitten haben.

Die Verhandlungen über die Verlängerung waren erst im Jahr 2019 abgeschlossen, und die Europäische Union beschleunigte den Rhythmus bei der baldigen Präsenz Chinas in den USA. Allerdings wurde die Wahl von Jair Bolsonaro in Brasilien zu einem Termin in Verhandlungen geführt, der der Europäischen Union im Hinblick auf die Reduzierung der Abholzung nicht mehr zur Verfügung stand. Nach der Rückkehr von Präsident Lula aus Frankreich und den erneuten Verhandlungen missachtete er die Skepsis des EU-Landes gegenüber Frankreich und Irland.

Die Bedeutung dieses Abkommens muss nicht zu hoch eingeschätzt werden. Es wurden nicht nur die Rechte unterdrückt, die tatsächlich zwischen 10% und 35% unterschieden wurden, sondern auch die politische Entschlossenheit zwischen den beiden Blöcken verstärkt. In Deutschland gibt es für dieses Abkommen eine große Anzahl von Automobilherstellern, und Frankreich muss für Autos mit Käse- und Weinerzeugnissen bis zu einem wichtigen Markt von 30 Jahren gelten Millionen Menschen.

Allerdings hat Emmanuel Macron aus politischen Gründen eine um 180 Grad versetzte Beziehung zu Brüssel betrieben. Als ich das Abkommen unterzeichnete, war es noch nicht so weit, dass die Kommission den Unterzeichner der gleichen Woche wie Frankreich für ein Renoncé an die Regierung Barnier auswählte, da der Rest Europas darauf warten musste, dass Frankreich sich entschließt ses querelles politiques.

Angesichts des Drucks extremistischer und extremer Drohungen in Frankreich schien Macron den Eindruck zu erwecken, er würde das Spiel spielen, ohne zu begreifen, dass die Wähler die Option nicht kommerziell bevorzugen würden, er würde sich darüber hinaus noch anfälliger fühlen. Opter pour l'original que pour la fausse kopieren.

Woher kommt die Suite des Abends?

Die politische Vereinbarung zwischen der Kommission und den Ländern des Mercosur ist geschlossen „Was für ein Premiere-Etape vor einem langen Prozess“, eine Bewährungserklärung der Kommission. In der Tat, ein übersetztes Abkommen, wurde dem Rat vorgelegt, eine Annahme ist nicht mit einer Unterschrift erforderlich. Das ist es, was ich vor einem Monat mit der Schlacht zu tun habe.

La Pologne ist ein Déjà-Experiment gegen Opposition. Die Abstimmung in Irland, im Baskenland und in Österreich bleibt ungewiss.

Mais für Frankreich, sein Verbündeter war mit Italien verbunden, da die Blockade-Minderheit vier Mitglieder der Europäischen Union vertrat. Derzeit ist Italien in Übereinstimmung mit der Bedingung, dass die Garantien für seine Landwirte bestehen, günstig. « L'Italie soutiendra l'accord, vor einem parlamentarischen Amt, Die von der deutschen Automobilindustrie abhängigen Automobilequipementiers in der Lombardei sind kein Autoexporteur nach Lateinamerika. »

Der Rêve von Macron, der Giorgia Meloni in ihrem Sohn, der den Landwirten verraten wurde, dazu brachte, ihr die Figur zu enthüllen.

Wenn Sie mir eine Meinung sagen, ist der letzte Aspekt positiv, dass der Rest in Brüssel sein Engagement und die Bevorzugung eines freien Wechsels ist. In Europa gibt es noch mehr Händler, die wichtige Verbrauchermärkte sind. Mit Ausnahme von Spotify hat Europa keinen großen Teil der Technologie verloren, und seine Rolle wurde im Automobilbereich nicht mehr verringert.

Unsere landwirtschaftlichen Produkte sind von höchster Qualität und wir haben uns für den Exporteur auf der ganzen Welt entschieden. Die Idee, „Spiegelklauseln“ zu erstellen, bedeutet, dass der Handel mit Europa für unsere Partner in Europa nicht unbedingt eine politische Fantasie ist.

Europa ist nicht dazu in der Lage, die Party auf einen kommerziellen Plan zu verzichten. Wir möchten, dass es wichtig und einfach ist. Das Abkommen zwischen der EU und dem Mercosur ist in die richtige Richtung gegangen, und es ist völlig unangemessen, dass ein französischer Präsident versucht hat, die Politik zu sabotieren und zu beenden.

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Die Farbe aus Lebensmitteln zu entfernen ist eine schlechte und ineffektive Idee

Robert F. Kennedy Jr., der für das Amt des Gesundheitsministers (HHS) nominiert wurde, war letzte Woche in Washington, D.C., um sich den Fragen von Abgeordneten zu stellen, die er davon zu überzeugen versucht, seine Nominierung nach dem Amtsantritt von Donald Trump zu bestätigen. 

Viele Skeptiker seiner Politik und Überzeugungen behaupten, er verfolge einen strengen Regulierungsansatz, um „Amerika wieder gesund zu machen“. Kennedy versuchte, das europäische Modell der Lebensmittelregulierung nachzuahmen, aber als Europäer, der Europas gescheiterte Erfahrungen mit Lebensmittelreformen, die zu weniger Auswahl und höheren Preisen führten, gut kennt, würde ich vor diesem Ansatz warnen.

RFK Jr. hat sich bereits zuvor mit Lebensmittelfarbstoffen befasst, Fox News gegenüberdass Lebensmittelfarbstoffe krebserregend sind und ADHS verursachen, was bedeutet, dass sie von der FDA verboten werden sollten. Die Food and Drug Administration vor kurzem begonnen, darüber nachzudenken ein Verbot des roten Farbstoffs Nr. 3, der nach Ansicht von Aktivisten mit Hyperaktivität „in Verbindung steht“.

Dabei ist folgender entscheidender Punkt zu berücksichtigen: Das Wort „verbunden“ ist in diesem Zusammenhang von großer Bedeutung, da dieser spezielle Farbstoff in wissenschaftlichen Studien nur bei Ratten eine Wirkung zeigte, denen ungewöhnlich hohe Dosen verabreicht wurden. 

Man könnte lange über die Zuverlässigkeit von Tierstudien und ihre Bedeutung für den Menschen schreiben, aber allein die Tatsache, dass die Dosen viel höher waren als das, was ein Mensch zu sich nehmen würde, zeigt uns, dass Umweltaktivisten das Konzept der Dosierung nicht verstehen. Zu viel von allem ist schädlich – tatsächlich beschreibt „zu viel“ ganz wörtlich genau die Menge, die übermäßig ist. 

Dies gilt beispielsweise auch für Glyphosatrückstände in Bier oder den Süßstoff Aspartam in Diet Coke. Sie müssten 264 Gallonen Bier trinken, damit das Glyphosat bei Ihnen schädlich wirkt, oder 36 Dosen zuckerfreie Cola hinunterschlucken, damit das Aspartam bei Ihnen schädlich ist. 

Landwirte wissen das ganz genau: Die richtige Düngermenge lässt die Pflanzen wachsen, eine zu große Menge bringt sie um. Genau deshalb verlassen wir uns auf wissenschaftliche Institutionen, die die Dosierung analysieren, die für den menschlichen Verzehr unbedenklich ist.

Als Europäer erinnert mich dieser Ansatz, alles mit so strenger Hand zu regulieren, an meine Heimat. Hier in Europa führt der vorsorgliche Ansatz bei der Lebensmittelregulierung dazu, dass wir mehr für Lebensmittel ausgeben und in unseren Supermärkten weniger Auswahl haben.

Jedes Mal, wenn ich in Amerika einen Supermarkt besuche, laufe ich voller Ehrfurcht durch die Gänge, wie ein Flüchtling aus der kommunistischen DDR, der nach dem Fall der Mauer den Kapitalismus im Westen entdeckt. In Europa verfolgen wir bei den meisten Dingen den vorsorglichen Ansatz: Wir verbieten oder kleben Etiketten auf Dinge, die sie nicht brauchen, ähnlich wie in Kalifornien, wo Kaffee mit einem Krebswarnschild versehen werden muss. 

Wenn ich amerikanische Lebensmittelgeschäfte besuche, sehe ich, dass Fanta eine leuchtende und ansprechende orange Farbe hat, während das europäische Äquivalent wie abgelaufener Zitronensaft aussieht. Warum ist das so? Der Lebensmittelfarbstoff, der in amerikanischen Fanta verwendet wird, ist nicht verboten, da die Regulierungsbehörden in Europa ebenfalls keine negativen Auswirkungen der Farbstoffe auf die Gesundheit nachweisen konnten, aber aus Vorsichtsgründen trotzdem einen Warnhinweis auf dem Etikett verlangen.

Um vermutlich eine Etikettierung zu vermeiden, die Verbraucher abschrecken würde, verzichtet Coca-Cola in Europa schlicht auf die Färbung des Getränks.

Eine Zukunft ohne Lebensmittelfarbe finde ich düster. Auch wenn wir erwachsen sind, haben wir immer noch Freude an Farbe. Sie inspiriert uns, andere Dinge als Grau zu sehen. 

Ein Supermarktgang soll ein farbenfrohes Erlebnis sein, egal ob es um die Verpackung oder das Essen selbst geht. Doch ein wichtigerer Punkt: Wie paternalistisch ist der Ansatz, Farbe überhaupt zu entfernen?

Mein Eindruck war, dass die letzte Präsidentschaftswahl auch eine Absage an den Staat war – dass der Staat einem nicht vorschreiben sollte, wie man zu leben hat, was man isst und was man tut. Mehr individuelle Freiheit statt staatlicher Vorgaben, durch die Bürokraten bestimmen, wie man am besten zu leben hat. 

Es ist ein lobenswertes Ziel, die Amerikaner gesünder zu machen, aber die Idee, Lebensmittelfarbstoffe zu verbieten, erreicht weder dieses Ziel noch ermutigt sie die Amerikaner, verantwortungsbewusstere Verbraucher zu werden. Wohin führt das, wenn wir uns von der Regierung auch nur vorschreiben lassen, welche Farbe unsere Lebensmittel haben sollen?

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Croire en la science et à la mondialisation, die „Mantras“ von Bill Wirtz

Bill Wirtz ist der politische Chefanalyst des Consumer Choice Center. Ich konzentriere mich speziell auf die Ausarbeitung politischer Überlegungen, auf Familienangehörige, auf landwirtschaftliche und kommerzielle Politik sowie auf die Wahl der Lebensweise. Ursprünglich aus Luxemburg, veröffentlicht in Deutsch, Französisch und Englisch. Es ist in Fox News, Sky News, Le Monde, Times of London, Le Figaro, Die Welt, The Hill und anderen großen Medien der Welt zu sehen. Als ich vor einigen Tagen nach Kanada reiste, wurde ich von Yannick Patelli, dem Chefredakteur von La Vie Agricole, empfangen.

Für Bill Wirtz ist es am wichtigsten, weiterhin geizig in der freien Wirtschaft und in der Wissenschaft zu bleiben, es ist wahrscheinlich, dass wir in dieser Zeit einen Lebenslauf schreiben.

Als ich nach Ottawa reiste, war ich bereit, einige Tage vor unserem Treffen in Montréal eine Konferenz für Getreideerzeuger aus Kanada zu absolvieren. Bei unserer Anwesenheit in Ottawa haben wir die Erlaubnis erhalten, sie mit bestimmten kanadischen Landwirtschaftsmitarbeitern auszutauschen, bevor sie die Bedeutung ihrer Produkte für die Produktion mithilfe der CRISPR-Technologie erkennen.

Was ist CRISPR?

CRISPR nicht La Vie agricole, mit dem Sie im Jahr 2012 über die „Ciseaux-Genetik-CRISPR-Cas9-Technik“ gesprochen haben, wurde von Emmanuelle Charpentier zu zweit erfunden. Il s'agit d'Eine fortgeschrittene Stiftung im Bereich der IngenieurwissenschaftenIch stelle mir tatsächlich vor, dass chemische Moleküle aus dem Körper und dem ADN-Modifikator bis zu den präzisen Genomgrenzen bestehen, da es sich um eine Revolution in mehr Bereichen wie der Medizin, aber auch der Landwirtschaft handelt.

Das pragmatischere Kanada

Wenn diese Wissenschaft auf die landwirtschaftliche Produktion in Brasilien und Japan angewendet wird, ist sie noch nicht einmal in Kanada und Europa zu finden. Bill Wirtz empfand Kanada als überwältigend und pragmatisch gegenüber Frankreich während der genomischen Revolution. Es wurde allen Rencontré-Funktionären empfohlen, „in der Lage zu sein, an einem Ort neuer Politik zu agieren, die der Wissenschaft nahesteht“, und zwar sofort.

Bill Wirtz sagte, er sei in der Lage, die Wissenschaft in größeren Organisationen zu behindern. Als Beispiel für einen Fall, den ich an die Europäische Kommission geschickt habe, habe ich einen Bericht über die Folgenabschätzung (künstlichen Geheimdienst) erstellt und anschließend eine Seite zurückgeschickt, auf der die Möglichkeiten erläutert und zwei Seiten über die mit der Folgenabschätzung verbundenen Risiken besprochen wurden.

In diesem Sinne denke ich, dass Europa ein kreatives Gesicht im Stil der Neuzeit hat, was genau das ist.

Die Produkte wurden von CRISPR im Jahr 2033 herausgegeben

Aber Bill Wirtz war für seine Zukunft vertraut, und er könnte an der dänischen Präsidentschaft bei der europäischen Kommission teilnehmen, um das CRISPR-Dossier vor ein paar Monaten zu bearbeiten, aber er sagte: „Die Welt liegt in dieser Phase.“ Das ist die größte Entdeckung des Jahrhunderts. Ich bin froh, dass Genießer Zugriff auf Lebensmittelprodukte mit Ursprung in der CRISPR-Methode von 2033 haben“, sagte er.

Wir haben erklärt, dass ich die Lösung finden muss, um den Planeten so gut wie möglich zu erreichen: „Es wurde mir nicht gesagt, dass die nachhaltige Landwirtschaft bereits in der Antike angekommen ist und der Verbraucher heute noch damit beschäftigt ist.“ Zahler plus Schatz.»

„Es ist wichtig, dass ich mich mit klimatischen Veränderungen oder Impfstoffen beschäftigt habe, die sich an die Wissenschaft wenden und nicht auf das Thema Glyphosat, OGM oder CRISPR verzichten müssen.“ „Les politiques suivent la science, mais de manière sélective“, nachdenklich.

„Wissen Sie, warum Sie Fungizide verwenden müssen, wenn Sie weniger Bauchspeicheldrüsenkrebs haben und Mykotoxine entstehen?“ Auf jeden Fall, wenn wir im Jahr 1960 den gleichen Anbau anbauen, wie wir das Äquivalent zur Gesamtheit der russischen Territorien und darüber hinaus auf der Erde für die Produktion dieses Produkts erwartet haben“, sagte er.

Über internationale Merkmale

Bill Wirtz croit encore à la mondialisation et aux bienfaits of traités international. Für den Mercosur ist es notwendig, dass ich ihn unterschreibe, denn er ist der amtierende Präsident der Europäischen und Deutschen Kommission, der Führer in Europa.

Wenn Frankreich tatsächlich davon ausgeht, dass die Politik der französischen Regierung nicht vor dem Hintergrund steht, dass alle politischen Parteien im Sechseck tatsächlich auf die populistische Tendenz des Freiheitsfriedens ausgerichtet sind Wirtschaft.

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Die europäische Kommission hat die Haushaltslobbyarbeit der ONG-Umweltorganisation abgeschlossen

Bei diesem Turnier hat sich eine Marke freiwillig dazu entschlossen, in der öffentlichen Debatte ein Gleichgewicht herzustellen und diese Finanzmittel auf die Suche und die Ausbildung zu verlagern.

Die Europäische Kommission empfing einen Brief an die ONG-Umweltorganisation, um den Haushalt des Umweltprogramms der EU zu informieren, der unter dem Namen LIFE fortgeführt wurde und nicht für Zwecke der Lobbyarbeit genutzt werden konnte.

Zwischen 2021 und 2027 wurden 5,4 Milliarden Euro als Gesandte an Umweltorganisationen vergeben, die jedoch nicht lukrativ waren, wie der WWF, die Freunde der Erde oder ClientEarth sagten – die Organisationen haben weiterhin Einspruch gegen restriktive Regierungspolitiken auf dem Plan eingelegt des libertés individuelles. Die Briefe der Gesandten wissen, dass die Subventionen möglicherweise nicht zur Beeinflussung der politischen Entscheidungen der Mitglieder der Europäischen Kommission genutzt werden können.

Auf der Website des Programms LIFE finden Sie möglicherweise weitere Informationen: „Die Ausarbeitung und das Schaffen der Umwelt- und Klimapolitik der EU erforderten einen offenen und dauerhaften Dialog mit allen anwesenden Parteien.“ Es ist wichtig, dass Organisationen an diesem Dialog teilnehmen können, da sie die Zivilgesellschaft vertreten und sich mit den Anliegen der Öffentlichkeit im Hinblick auf Umwelt und Klimaveränderung befassen. Ihre Präsenz ist wichtig, um einen soliden demokratischen Beitrag zu leisten, außerdem um die Interessen anderer Schauspieler im europäischen Raum auszugleichen. »

Als ONG eine Gegenfrage stellte, bekräftigte er, dass sein Budget für Lobbyarbeit das Ziel gefährde, den öffentlichen Diskurs zu verbessern. Sie haben eine unerlaubte Handlung begangen, weil sie sich auf ihre eigentliche Mission verlassen haben, und sie haben nicht das Recht, die Kosten für das Geld der Mitwirkenden zu senken.

Nach der Theorie, dass staatliche Organisationen nicht lukrativ sind, ist es wichtig, dass die Subventionen, die die Finanzierung betreffen, für mehr Recherchen, Investitionen und andere Aktivitäten anfällig sind, wenn die politischen Entscheidungsträger über ihre Entscheidung entscheiden. Stellen Sie sich zum Beispiel vor, ein Umweltverband habe die verschiedenen Aspekte untersucht, um den Verkehr von Fahrzeugen in einer Stadt zu organisieren. Wenn politische Entscheidungsträger die Stellungnahme dieser Organisation einholen möchten, verfügen sie über die erforderlichen Mittel, um diese Informationsressource an die Regierung zu richten.

Allerdings ist die Arbeitsweise dieser Organisationen nach der Recherche und der Unterstützung bei der Bildung bereits in Vergessenheit geraten: Die Europäische Kommission hat sich zu einer echten Lobbyarbeit mit den ihr zur Verfügung stehenden Ressourcen entwickelt.

Organisationen sagen, dass die Amis de la Terre Umweltideologen sind, die Wert auf Innovation in der Landwirtschaft legen und sich insbesondere für restriktive Politik einsetzen. Es gibt keine Möglichkeit, sich in die Politik zu begeben, aber die Tatsache, dass die Bürger nicht mit der Politik experimentieren, ist ein Wähler- oder Wettbewerbsvorteil für Freiwillige und Organisationen, aber nicht lukrativ.

Um die Ressourcen dieser Gruppen zu nutzen, um den politischen Entscheidungsträgern großen Druck zu verleihen, hat die Kommission das politische Gleichgewicht festgelegt. Ich habe keine Subventionen für Organisationen in Anspruch genommen, die davon überzeugt waren, dass sie nicht in die Lage versetzt wurden, das Klima zu verbessern, was bedeutet, dass das Gleichgewicht der Stimme immer wieder von den Gruppen, die die meisten Radikale bevorzugen, gefordert wird.

Sie sind sich sicher, dass die Fernsehdebatten und die Interviews, die Sie auf Bewährung erhalten haben, von den Analysten bestätigt wurden, dass die letzte Wiedervereinigung der COP nicht in der Lage war, die Lende zu verlieren, und dass wir von der Regierung mehr Engagements verlangen würden? Gewiss, die Organisationen sagen, dass Greenpeace eine stabile Spenderbasis verwaltet und sich möglicherweise um die Rechte privater Bürger kümmert Ich bin in den Medien allgegenwärtig und rennt Konstituierende politische Entscheidungsträger und schaffen einen echten Eindruck von der gesamten Öffentlichkeit auf großer Ebene, damit die Politiker ihnen sagen, was der europäische Green Deal ist.

Diese Situation befindet sich im Zuge der Veränderung. Ja, die Umweltorganisationen haben ihren Platz im öffentlichen Diskurs. Aber ich habe mich im Grunde genommen für einen Fehler entschieden, als ich feststellte, dass die Abgeordneten der Europäischen Kommission hinterherhinkten, und bedauerte, dass sie zum Beispiel die Autos schnell in den Wahnsinn getrieben und von dieser gleichen Europäischen Kommission vor der Quelle finanziert worden seien Die Schriftart der Lobbyarbeit.

Wir brauchen ein Gespräch über die öffentliche Politik und achten auf das Geld der Mitwirkenden, die während der letzten Tage der Radicaux arbeiten.

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Europäische Landwirtschaft: zwischen ökologischen Ambitionen und politischen Zielen

Christophe Hansen, designierter Kommissar, zuständig für Umweltinnovationen, Interessen von Landwirten und bürokratischen Beamten zur Vorbereitung einer neuen landwirtschaftlichen Gemeindepolitik 2027.

Die Kandidaten für die europäische Kommission passen tatsächlich durch den langen Genehmigungsprozess des europäischen Parlaments, während sie ihre Projekte dem Gesetzgeber vorlegen und die Parlamentäre von den Genehmigern überzeugen.

Sauf Unfallgrab, die Kommissare bestätigten für ein fünfjähriges Mandat vor Beginn ihres Aufenthalts, auch wenn die nationale Regierung ihnen vorschlug, zwischenzeitlich zu sterben. Dies bedeutet, dass die tatsächliche Bestätigungsvernehmung der einzige wirkliche Anlass für den Prüfer ist, dessen Ambitionen zu erfüllen und die Richtlinien und Vorschriften der EU für die nächsten Jahre zu überarbeiten.

Einige relevante Fragen des Portefeuille der Europäischen Kommission sind ausserdem umstritten, was die Landwirtschaft betrifft. Der größte Teil der Torte ist die politische Landwirtschaftsgemeinde (PAC).

Der zuständige Kommissar, Janusz Wojciechowski, wurde beauftragt, die endgültige Einigung mit dem aktuellen PAC zu erzielen und in die Praxis einzusteigen, während der irische Kommissar Phil Hogan ihn vorstellte Vorschläge werden auf diesem PAC en initialisiert 2018, mit allen Änderungen, die hier eingegangen sind (Konvergenz, Vorauszahlung, Ökoregime, strategische Pläne usw.).

Dieses PAC läuft im Jahr 2027 ab, das Ziel Europas besteht darin, dass ein neues PAC bereits vor einem Werk steht, das nach diesem Datum möglich sein wird.

Die Europäische Kommission, die kurz vor ihrem Amtsantritt steht – die Zweite unter der Leitung von Präsidentin Ursula von der Leyen – hat eine Aura eines fünfjährigen Mandats bis zum Ende des Jahres 2029. Dies bedeutet, dass der neue Mann fort ist l'agriculture, Christophe Hansen, tentera essentialment Ich habe eine Arbeit geleistet, die seine beiden Vorgänger als Teilhaber von Änderungen im PAC, Mitarbeiter mit den anderen Institutionen der EU und den Mitgliedern der Vereinigten Staaten durchgeführt haben, um eine Einigung über diese Vorschläge zu erzielen und schließlich ein Werk zu erstellen und anzuwenden Das neue PAC seit 2027 und Genauer gesagt, das Mandat der Kommission ist aktuell.

Während ihrer letzten Mandate waren die Ambitionen von Brüssel darauf ausgerichtet, die Umverteilung von Subventionen zu nutzen – die Zahlungen richten sich nach den drei Vierteln des Budgets des PAC – für die Umsetzung von Umweltzielen.

Diese Demarche wurde in das Recht der anderen Richtlinien aufgenommen, sie forderte die Reduzierung von Pestiziden, die materiellen Regeln für die Abholzung oder die Wiederherstellung der Natur. Allerdings sind die Grundsätze dieser Umweltambitionen deutlich geworden, weil sich die Landwirte vor mehr als einem Monat vor den Wahlen in Europa im Juni 2010 manifestiert haben, weil die politischen Parteien sich zu wichtigen und wichtigen Parteien der europäischen Volkspartei und der großen Mehrheit des Parlaments geäußert haben Europa und das politische Foyer von Ursula Von der Leyen und Christophe Hansen, die sich entschieden hatten, die „Partei der Landwirte“ zu ernennen und von den anfänglichen „Visionären“ abgelenkt wurden, als sie noch lange auf sich warten ließen.

Christophe Hansen war die Wahl der luxemburgischen Regierung und der ideale Kandidat für die Kommission von der Leyen. Allerdings muss ich mich mit einer politischen Gleichgewichtsübung befassen, um die ganze Welt zufrieden zu stellen: um die Umwelt zu verbessern, ganz im Einklang mit den für die Landwirte verantwortlichen Verwaltungsbehörden, um den freien Austausch zu ermöglichen, ohne die landwirtschaftlichen Sektoren zufrieden zu stellen Wichtige Staatsmitglieder wie Frankreich und alle wissen, dass die beiden wesentlichen Portefeuilles in der Tasche – der Handel und die Lebensmittelsicherheit – unter der Kontrolle zweier Kommissare stehen, die sich auf unterschiedliche Tagesordnungen beziehen.

Es ist möglich, Innovationen mit positiven Auswirkungen auf die Umwelt zu verbinden. Als wir uns mit der Ausgabe von Genen oder Produkten aus der Biokontrolle beschäftigten, kennen wir die Werkzeuge, die wir verwenden konnten, um die Wirksamkeit insgesamt zu verbessern und unsere Ressourcen für die Lebensmittelproduktion zu reduzieren.

Seit dem Debüt im Jahr 2000 nutzt die Weltagrarwirtschaft insgesamt mehr als 10000000000000000000000000000000000000000000 sein. Die „Grenzen des Fortschritts“ werden stets von der Einbildungskraft des menschlichen Geistes überwunden.

Die Einfallsreichtum des Menschengeistes übersteigt auch die Brüsseler Bürokratie, sie trainiert die Menschen, um gentechnisch veränderte Kulturen zu genehmigen, und benötigt lange Genehmigungsverfahren für die Produkte der Biokontrolle.

Landwirte sind Unternehmer und haben die alten Sprichwörter missachtet. Sie werden nie auf eine Änderung verzichten müssen, weil sie wissen, dass die Innovation zu den besten Leistungen und zu einer minimalen Abhängigkeit von der Zahlungsaufforderung führt.

Politische Männer schätzen den politischen Kredit, den sie möglicherweise ihren Ambitionen opfern und daraus resultierende Probleme lösen, so dass sie sich keine Sorgen mehr machen müssen, um langlebige Veränderungen zu erzielen. Christophe Hansen war ein und der andere, er war der Große in einer landwirtschaftlichen Familie und hatte ein von der Politik dominiertes Berufsleben. Es war schwierig, die beiden vor dem Gasthof in Brüssel zu treffen.

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VERBOT DES „INFINITE SCROLL“ AUF DEN SOZIALEN RÉSEAUX: DU PATERNALISME PUR ET DUR?

Angesichts der numerischen Sucht, die das Land erobert hat, sehen die europäischen Gesetzgeber das Verbot bestimmter „süchtig machender“ Funktionen in sozialen Netzwerken vor.

In Ihrer Umgebung ist das Europäische Parlament gerade erst auf die von der Sozialverwaltung abhängige Frage eingegangen und bestätigt, dass die Funktion es Ihnen mitteilt « Unendliches Scrollen » Die automatische Wiedergabe von Videos ist für die Ausstattung der Benutzer ihrer Anwendungen verantwortlich.

Im Oktober dieses Jahres wurde die Website Internet du Parlement angezeigt:

„Da die sozialen Ressourcen möglicherweise die Gesellschaft positiv beeinflussen (z. B. zur Steigerung der Wirksamkeit, der Zugänglichkeit, der Konnektivität), kann ihre süchtig machende Empfängnis zu Schäden an Körper, Psychologie und Material führen (zu Konzentrations- und kognitiven Fähigkeiten). , Berufsausübung, Stress, Depression, Einschränkung de l'activité physique). Die Abgeordneten fragen sich insbesondere nach den Auswirkungen der numerischen Abhängigkeit auf Kinder und Heranwachsende, die aufgrund dieser Symptome besonders gefährdet sind, und sie berufen sich auf den Vorteil der Recherche und Regulierung in diesem Bereich. »

Heute, die Präsidentin der Europäischen Kommission, Ursula Von der Leyen, sagte ihr Sohn „Herz Saignait“ Wegen jugendlicher Erwachsener, die aufgrund von Online-Missbrauch automatisch missbraucht werden, und aufgrund der Cyber-Einschüchterung und der süchtig machenden Konzeption von sozialen Netzwerken einen Angriff versprechen.

Soweit dies der Fall ist, sind die zahlreichen Fragen in einem einzigen Rechtsmittel gegen die gesetzliche Regelung gemischt.

Die Einschüchterung durch Cyberangriffe, eine weitere Form von Einschüchterungsversuchen, stammt aus einer Epoche vor der Existenz von Smartphones und sozialen Netzwerken. Alle Personen, die regelmäßig an der Schule arbeiten, sind zu dem Schluss gekommen, dass die Aufgabe der Schule eine wirksame Gegenmaßnahme gegen den in ihren eigenen vier Wänden begangenen Missbrauch darstellt. Da junge Erwachsene sofort auf die Nachricht zugreifen können, bevor Facebook existiert, werden sie nicht in der Lage sein, ihre Daten zu sammeln und ihre Kommentare zu lesen, sondern nur für Erwachsene, die sie auf ihrem Computer ausgewählt haben Au t travail par le biais du Per E-Mail oder Autor der Maschine an Ihr Büro-Café.

Wenn das Ziel der Kommission und des Parlaments auf dem Spiel steht, haben sie einen Plan und einen Ehrgeiz, den sie mit der Funktion zur automatischen Vorlesung von Videos auf Instagram erreichen wollen.

Für den Diskussionsbedarf legen Sie die Termine fest.

Die automatische Vorlesung bezieht sich darauf, dass Videos auf sozialen Netzwerkplatten automatisch in Bewegung sind, ohne dass der Benutzer die Initiative ergreifen muss. Diese Funktion existiert auf X und kann auf TikTok aktiv sein. Plattformen teilen mit, dass Instagram und YouTube nicht automatisch Videos vorlesen und von Nutzern verlangt werden, sie zu löschen oder auf das nächste Video zu klicken. Le « Unendliches Scrollen » – Es ist zwar mit Videos verbunden, aber nicht nur – es bedeutet, dass die Benutzer möglicherweise unendlich lange auf der Plattform bleiben, um neue Inhalte zu erhalten. In diesem Sinne ist es mir nicht gelungen, die Menge an Inhalten zu erreichen, die sie möglicherweise sehen (die Realität des Internets ist nicht darauf ausgelegt, zu denken, dass politische Entscheidungsträger nicht gewissenhaft sind).

Der für den Wettbewerb wichtige Faktor besteht darin, dass die Anforderungen an die Regelung dieser Funktionen im Wesentlichen durch die freiwillige Meta-Abfrage und die anderen von den Benutzern verlangt werden, wenn sie ihre Platte über eine bestimmte Anzahl an zugewiesenen Zeiträumen hinweg verwenden .

Es liegt in der Verantwortung eines Unternehmens, sich stark von der Existenz eines Unternehmens zu trennen. Stellen Sie sich die Szene vor, die auf Anfrage bei IKEA zu finden ist und den Gang durch sein Magazinstück treibt, der dazu dienen soll, die Leute zum Kauf von Möbeln anzuregen, oder auf Anfrage in einem kommerziellen Zentrum, in dem die Rolltreppen in Bewegung gesetzt werden Damit die Leute das Magazin nicht mehr verlassen, oder? Eine Woche vor der Nacht der Musik war mir gut, damit die Besucher alles daransetzen konnten.

Nach dem Erscheinen von Handelsstandorten haben die Unternehmen versucht, ihre Kunden an ihren Standorten und auf ihren Websites zu betreuen. Zahlreiche TV-Sender liegen über mehrere Jahrzehnte hinweg an der Antenne, einschließlich der Werbung, des automatischen Vortragsinhalts und der Filmankündigungen, die in der Nähe der Öffentlichkeit erscheinen. Der Nachfrager eines Unternehmens hat sich dafür entschieden, dass er nicht in die Nähe seines Wirtschaftsmodells gelangt ist, um ihn am wenigsten zu entfremden, und er ist nicht davon überzeugt, dass die Gesetzgeber eine Zeit lang warten müssen, bis er in der Lage ist, auf dem Weg dorthin zu gehen, c' Es ist möglich, dass es dystopisch ist.

Für Verbraucher liegt die Gesetzgebung auf der Hand « Unendliches Scrollen » Die automatische Vorlesung bedeutet eine Reduzierung der Auswahl. Es gibt keine Möglichkeit, automatisch Videos abzuspielen, und es besteht keine Gefahr, dass die Funktionen der Anwendungen aktiviert werden, damit sie problemlos funktionieren oder die betreffenden Anwendungen einfach nutzen können. Aus der gleichen Sicht können unsere Telefonisten keine Gespräche mit den Telefonisten führen, weil sie lange Zeit spielen müssen, und unsere Fernsehgeräte sind nicht dort angekommen, wo wir vor drei Tagen in der fünften Saison vorstellig wurden Dr. Haus, Wir waren nicht mehr auf der Suche nach Bevormundung, als wir uns während unserer Zeit auf Facebook bewegten.

Die Sorgen um die geistige Gesundheit erwachsener Jugendlicher sind ernst zu nehmen, aber die in Frage gestellten Regeln gehen nicht an dieses Problem heran und das Wesen lässt sich nicht ernüchtern. Bestimmte soziale Probleme sind schwierig zu lösen, und die Regelung der Merkmale sozialer Ressourcen bietet keine andere Möglichkeit, eine performative Lösung zu finden.

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