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Day: October 19, 2020

How Not to Respond to Alarming Social Media Censorship

Protecting a free and open internet means not using punitive regulations or policies to hamstring social networks because of the scandal of the day.

Call it election interference, censorship, or simple editorializing, but Twitter and Facebook’s throttling of several New York Post articles this week has drawn lots of criticism.

The stories allege that Hunter Biden, former Vice President Joe Biden’s son, introduced Ukrainian energy adviser Vadym Pozharskyi to his father after receiving a cushy $50,000 a month board seat at the company Burisma. (Other outlets have contested the report).

There is no question that the social networks in question made a bad call. Disabling the link on the various platforms made even more people seek it out, creating a “Streisand Effect” of mass proportions.

But the content of the articles isn’t what really matters.

The reaction to the New York Post report reveals just how much pressure is put on social networks to perform roles far beyond what they were intended for. We want them to simultaneously police speech online, keep the networks free for open discussion, and be mindful of “fake news” that spreads rapidly.

So, it is important to understand why Facebook and Twitter felt they had to censor the story in the first place—and why all of us are actually to blame. For the last several years, campaigners, activists, and politicians have primed us all to accept the byzantine expectations and regulations put on social networks.

From Netflix documentaries such as The Social Dilemma and The Great Hack to the criticisms of “surveillance capitalism,” many voices are calling for further regulation of social media networks.

Some on the Right smirk as Sen. Josh Hawley pens legislation to repeal Section 230 of the Communications Decency Act or to ban “infinite scrolling” on social media apps. Meanwhile, some on the Left cheer as technology CEOs are dragged before congressional committees and castigated for “allowing” Trump to win in 2016. 

This week, it was revealed that the New York State Department of Financial Services wants a “dedicated regulator” to oversee social media platforms. Other states will likely follow suit.

But what we’re all too loath to admit is that these firms do what any of us would do when under scrutiny: they pivot, they engage in damage control, and they aim to please those with pitchforks outside their doors. It’s the same whether it’s Black Lives Matter or President Trump.

Facebook has committed to ending all political advertising online (hurting non-profit advocacy groups like mine) and Twitter already implemented a similar policy last year, lauded by political figures such as Hillary Clinton and Andrew Yang.

Of course, when tech giants censor or delete stories that we perceive to advance or hurt our political “team,” we are all up in arms. But protecting a free and open internet means not using punitive regulations or policies to hamstring social networks because of the scandal of the day.

Internet policy remedies dreamed up in Washington, D.C. will almost always end up hurting those of us who don’t have power or deep pockets. It harms the small businesses that use social networks for advertising, and it sets up more roadblocks for ordinary users who simply want to check in with friends and family. 

Big Tech isn’t powerful because it has money, but because it has delivered superior products, those that have left platforms such as AOL, Myspace, and Yahoo in their wake.

Social networks have evolved from places to connect and share information across borders to intellectual and political battlefields where we wage digital wars.

Of course, there should be regulation in some respect. But it should be smart regulation that keeps platforms relatively free and open and provides incentives for future innovation. The powerful platforms of today can afford to comply with cumbersome rules, while new market entrants cannot. 

That means that with every new proposal to roll back Section 230 protections or require quasi-governmental fact-checking functions around Election Day, we’re depriving consumers of choice and entrepreneurs of the ability to innovate.

Of course, targeted censorship of certain accounts or stories on social media networks is bad. But policy “solutions” dreamed up by technologically illiterate bureaucrats and power-hungry politicians would no doubt be even worse. 

Originally published here.

Réglementation sur les créneaux horaires dans l’aviation: la concurrence doit primer

La Commission européenne a encore une fois prolongé la dérogation à la réglementation des créneaux horaires. Applaudie comme étant une aide au secteur, cette dérogation garantit encore une fois l’avantage aux entreprises établies leur permettant de contourner la concurrence. Comment est-ce que le secteur aérien peut s’améliorer si à chaque crise nous dépensons l’argent du contribuable pour le sauver.

Le secteur aérien distribue une partie des créneaux horaires commes des réservations de route. Ceci s’applique de façon générale aux aéroports les plus utilisés. Par exemple, la compagnie X réserve un aller-retour depuis un aéroport et sera contrainte par cette réservation. Cela veut dire que l’avion devra partir, même s’il n’y a pas de passagers, afin de garantir la place de la compagnie sur ce créneau horaire. Ceci provoque ce qu’on a nommé des “ghost flights” (vols fantômes), où les compagnies envoient des avions vides afin de ne pas perdre leur place. Cette réglementation avait été créée afin d’éviter une concentration dans le secteur aérien. A titre d’exemple, une compagnie pourrait réserver tous les créneaux disponibles dans un aéroport spécifique (si elle a le cashflow nécessaire), afin d’empêcher toute concurrence.

Au début de la crise du COVID-19, la Commission européenne avait décidé d’une dérogation à cette réglementation. A court terme, ceci fût une bonne décision. Par contre, une nouvelle extension de la dérogation est un non-sens, car la concurrence, même si amoindrie par la pandémie, existe tout de même. Les créneaux horaires des aéroports sont rares, et c’est pourquoi ils sont si précieux et doivent être utilisés de la manière la plus efficace possible. Bien que conçue  par de nobles objectifs, la politique de la Commission implique que les compagnies aériennes sont les seules propriétaires des créneaux horaires.

La dérogation actuelle à l’obligation de voler n’expirera qu’en mars 2021. De nombreuses associations ont demandé à la Commission de prolonger la dérogation “pour éviter que des avions vides ne volent” ainsi qu’afin que  “les vols soient effectués de la manière la plus optimale possible pour éviter de la pollution inutile”. Toutefois, la prolongation créerait une situation dans laquelle les plus grandes compagnies aériennes auraient la possibilité de monopoliser les créneaux horaires, rendant impossible l’entrée des plus petites. Cela explique pourquoi les compagnies à bas prix comme Wizz Air s’opposent à la prolongation à cette dérogation, la qualifiant d’anticoncurrentielle et que “cela entraverait plutôt que n’aiderait à la reprise de l’industrie aéronautique de l’UE et, par conséquent, des économies européennes”. 

Si la Commission n’a certainement pas l’intention de protéger les grandes compagnies aériennes en renonçant à l’obligation de détenir des créneaux horaires, c’est cependant une conséquence évidente de cette décision. La propriété des créneaux horaires dans les aéroports ne devrait pas être statique. Au contraire, elle devrait faire l’objet d’une rotation constante entre les compagnies aériennes afin de garantir l’attribution la plus efficace possible des installations et d’encourager une utilisation responsable des aéroports. La règle “use-it-or-leave-it” est, en ce sens, juste et équitable, et devrait être maintenue à tout moment.

L’aviation a changé notre vie à bien des égards. Maintenant que les consommateurs de toute l’Europe ont pu goûter à la vie sans voyager, ils souhaiteraient prendre l’avion davantage, et non moins, une fois la pandémie passée. La Commission européenne devrait veiller à ce que les consommateurs aient la possibilité de choisir entre plusieurs compagnies aériennes, en tenant compte de leurs contraintes budgétaires. Pour y parvenir, les grandes compagnies et les compagnies à bas prix doivent être traitées sur un pied d’égalité et se faire concurrence pour les créneaux horaires dans les aéroports.

Le secteur de l’aviation peut être soutenu par l’allégement des taxes locales sur les compagnies aériennes et par des mesures de déréglementation. Cependant, ce genre de mesures doit être équitable pour tous, afin de garantir un maximum de concurrence et par ce biais, de choix pour les consommateurs.

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