Au cours de la pandémie, le plastique est devenu un mal nécessaire pour répondre aux contraintes sanitaires.
Qu'il s'agisse de l'équipement de protection individual, des boîtes de repas à emporter ou encore des cloisons en plexiglas dressées afin de proteger les customers au restaurant, il est devenu omniprésent.
L'ubiquité de cette matière n'est pas nouvelle, mais son utilité dans l'ère de la COVID est marquante. Pourtant, cela ne change rien quant à son caractère polluant. Personne ne souhaite répandre cette matière dans la nature, surtout pas dans nos fleuves et autres cours d'eau.
C'est la raison pour laquelle le premier ministre du Québec François Legault a annoncé l'élargissement du système de consigne. Ce faisant, il cherche à mieux recycler les bouteilles de plastique. Le ministre de l'Environnement, Benoit Charrette, a aussi révélé des plans afin de réduire la consommation de plastique des entreprises dans l'espoir de mieux recycler leurs déchets.
Il ya aussi des centaines d'entrepreneurs québécois dans l'industrie du recyclage qui deviennent de plus en plus efficaces et grossissent à vue d'oeil. L'usine de Lavergne in Montréal ist ein schönes Beispiel, all comme Plastiques GPR de Saint-Félix-de-Valois. Ces deux entreprises comptent des clients partout à travers le monde et aident à faire rayonner le Québec.
La Popularité de ces initiatives ist die Frucht der Bemühungen der Industrie und der Regierung von Québec.
Le plastique n'est pas toxique
Il semble aujourd'hui qu'Ottawa cherche à all se chercher une part de cette gloire. Im Oktober hat die Regierung von Justin Trudeau erklärt, dass der Kunststoff über eine giftige Substanz im Anhang 1 der kanadischen Loi zum Schutz der Umwelt verfügt. Cela interdirait l'utilisation d'articles en plastique à use unique tels que les sacs en plastique, les pailles, les bâtonnets à mélanger, les ustensiles et les récipients de polystyrene.
Cette decision du gouvernement nous inquiète pour deux raisons. Tout d'abord, nous savons tous que les produits en plastique ne sont pas toxiques. Ce n'est pas comme l'amiante et le plomb, deux autres produits déjà identifiés par cette loi. Pourquoi reléguer une matière d'une si grande utilité au même statut que des drugs cancérigènes ? Cela ne fait aucun sens.
Ensuite, cela fait fi du travail des entrepreneurs et entreprises innovantes cherchant des solutions concrètes pour résoudre le problème de Verschmutzung, notamment en travaillant sur le cycle de vie de ces manières. Bannir ces matières ou les considérer „toxiques“ vient éliminer les solutions qui ont été développées par nos entrepreneurs et innovateurs locaux. Ce rejet des solutions innovantes est inquiétant.
Qui plus est, Ottawa vient empiéter une fois de plus sur les effort des Provinces pour lutter contre ces matières résiduelles. Le Québec und l'Alberta befinden sich an einem Ort, an dem die Pläne für den Verbrauch von Kunststoffen gefunden wurden. Ces plant conçus localement répondent mieux aux besoins de leurs citoyens que ceux imposés par Ottawa.
La reclassification du plastique est loin d'être une bonne solution. C'est plutôt une demarche cynique du gouvernement Trudeau visant à justifier son empiétement sur un domaine de compétence provinciale et répondre maladroitement aux demandes des groupes environnementaux.
Un bien unverzichtbar
S'il est nécessaire d'applaudir les effort pour réduire la consommation de plastiques, il est tout aussi important d'être réaliste : le plastique est un bien essential, et la pandémie nous l'a rappelé. L'important est de s'assurer qu'il ne se ramasse pas n'importe où et puisse être réutilisé ou bien recyclé.
C'est grâce au génie québécois que nous pourrons disposer de notre plastique de façon responsable, et non grâce à une prohibition du gouvernement fédéral. Au lieu de laisser les Provinces gérer leurs approachs et les innovateurs trouver des solutions efficaces, le gouvernement fédéral a choisi la voie paresseuse de l'interdiction pure et simple de Certain produits. Cela nuit à tout le monde, et particulièrement à nous tous, consommateur.
Cette reclassification vient aussi créer une réelle incertitude sur ce qui pourrait être ajouté à la list des produits toxiques dans un futur rapproché.
Le Québec ist ein Montrée qu'il führend im Recycling von Kunststoffen. Il est entscheidend qu'Ottawa lui permette de le demeurer.
Yaël Ossowski, Directeur adjoint à L’Agence pour le choix du consommateur, un groupe mondial de defense des consommateurs
Ursprünglich veröffentlicht hier.