Voilà l'alcool de nouveau attaqué pour ses effets sur la santé. Cette fois-ci par une commission du Parlement européen, qui le lie à un grand nombre de cancers. Le proposte per limitare la scelta dei consumatori si moltiplicano in risposta…
Au sein de la «Commission pour battre le cancer» (BECA) del Parlamento europeo, i legislatori sono incaricati di preparare i rapporti che sono integrati nel «Plan européen pour vane le cancer» de la Commission européenne. In sostanza, il ma de l'Union Européenne (UE) est de lutter contre les maladies dites non trasmissibles, c'est-à-dire les diagnostics de cancer qui auraient pu être évités grâce à un mode de vie plus sain.
La tua prima cible? L'alcol.
In effetti, selon un premier rapport réalisé par la députée européenne Véronique Trillet-Lenoir (La République En Marche), l'alcol è responsabile di 10% dei tumori chez les hommes et de 3% chez les femmes. Le sue conclusioni e le sue raccomandazioni riguardano gli obiettivi della Commissione volti a ridurre il consumo di alcol di 10% nel 2025.
S'attaquer à l'abus d'alcool ou à la simple consommation?
Certe misure proposte sono state replicate dal Parti populaire européen (PPE, centre-droit) al Parlamento europeo. La posizione delle parti maggioritarie è che l'UE non deve stigmatizzare la consumazione di alcool in generale, più che altro mettere l'accento sull'abuso di alcool.
«Si la consumation eccessiva d'alcool est, bien sûr, un rischio pour la santé, des mesures appropriées et propornées doivent être prises sans stigmatiser ce secteur économique important qui fait partie de notre mode de vie», spiega anche Nathalie Colin-Oesterlé , eurodéputée PPE (Les Centristes) e vicepresidente della commissione BECA.
Le misure proposte dal Parlamento europeo consistono nell'apporre etichette di avvertenza sui bouteilles di vino, che sono già state presentate per le etichette simili alle celle dei pacchetti di sigarette.
Cela pourrait bientôt changer, car les législateurs discutent déjà du libellé de l'étiquette, et non pas de la simple nécessité d'une étiquette d'avvertissement en soi. L'étiquette dira-t-elle « toute consommation d'alcool peut entraîner un cancer » ou « l'abus d'alcool peut entraîner un cancer » ? Sera-t-elle illustrata da una foto di foie endommagé ? Peu importe, l'ancienne tradition des étiquettes de vin sera alors mutilée.
Nel 2023, la Commissione europea ha presentato anche delle proposte per ridurre l'accessibilità finanziaria e la disponibilità dell'alcol, il che significa che le tasse sulla birra e gli spiriti saranno probabilmente più elevate.
En outre, l'UE presenta proposte per interdire la pubblicità per l'alcol durante le manifestazioni sportive. Cette proposition a ensuite été édulcorée pour devenir «le parrainage d'événements sportifs destinés aux mineurs». Une expression très vague… Tous les sports qui attirent les mineurs (lesquels ne le font pas ?) pourraient entrer dans cette catégorie.
In particolare, gli sport che dipendono dal fortement des parrainages, come il calcio, possono essere irrimediabilmente toccati da un'interdizione. I parlamentari bruxellois de gauche e gli ecologisti si oppongono a tutte le modifiche delle proposizioni esistenti, sostenendo che non esiste il consumo di alcol senza pericolo.
Un prix unique… et plus élevé
Un suggerimento suscettibile d'essere introdotto al livello dell'Unione europea, notamment parce qu'elle existe déjà dans des endroits comme l'Écosse et l'Irlande, est celle d'un prix minimum de l'alcool. In sostanza, questo modello fissa un prezzo minimo per l'unità di alcol e aumenta il prezzo dell'alcol in generale.
Le fait que même les autorités sanitaires du gouvernement écossais, après avoir analysé la mesure, ont constaté qu'elle n'avait aucun effet sur les décès ou les maladies liés à l'alcool, n'impressionnera probabilmente personne à Bruxelles. L'agence Public Health Scotland indica anche nella conclusione che i crimini non sono legati all'alcool sont soupçonnés d'avoir été affectés par le prix minimum de l'alcool, car les gangs profitent de la baisse du prix de l'alcool pour vendre des boissons illicités.
In realtà, permettez-moi de faire una previsione audace: non solo l'Unione europea introduira un prezzo minimo per l'alcol, ma anche l'aumento progressivo au fil du temps. Pourquoi? Chaque fois qu'une étude montrera que la mesure ne fonctionne pas, un burocrate malin à Bruxelles conclura que le problème n'était pas l'inefficacité de la mesure, mais que les prix n'étaient tout simplement pas assez élevés.
In aggiunta alla regolamentazione sull'alcol che deve portare a termine l'anno prochaine, l'UE pubblica oggetti contraenti per la riduzione globale del consumo di alcol. Ciò significa che gli Stati membri devono trovare misure supplementari per ridurre il consumo di alcol, sous peine de se voir reprocher par la Commission européenne de ne pas en faire assez.
La France a été la reine des mauvaises idées à cet égard. Il pourrait s'agir d'interdire les ore felici, de restreindre les heures d'ouverture des bars, de relever l'âge limite de vente d'alcool, voire de créer des magasins vendant de l'alcool appartenant à l'Etat et contrôlés par lui, comme il en existe déjà en Europe du Nord.
Tutte queste misure eccitano i crimini di tipo Al Capone. Ce que nous faisons actuellement en Europe, c'est créer une quasi-prohibition de l'alcool, où les personnes à faibles revenus ne pourront plus acquérir de l'alcool légalement. Di conseguenza, potrebbe passare al sistema D e fabbricare le proprie bevande alcoliche, o ottenere da tutte le specie di moyens illégaux, con tutti gli effetti secondari che possono essere inseriti.
Sembra che siamo condannati a ripetere gli errori del passato in materia di regolamentazione del modo di vivere. C'est si déprimant que… cela donnerait envie de boire.
Originariamente pubblicato qui