Les nouvelles désignations de cartels de la drogue comme terroristes augmentent les risques juridiques pour les banques canadiennes

Les institutions financières canadiennes pourraient être tenues pénalement responsables pour avoir facilité des transactions liées au trafic de drogue organisé par les cartels, selon un nouveau rapport. rapport par le journaliste David Clement.

Clément soutient que le Canada a récemment La désignation de sept organisations criminelles transnationales comme entités terroristes pourrait impliquer des banques, des sociétés de cartes de crédit et Interac en vertu du Code criminel, en raison de leur rôle dans le traitement des paiements liés à la vente de drogues illégales.

“ Au Canada, collaborer avec une organisation terroriste répertoriée constitue une infraction grave en vertu du Code criminel ”, écrit Clément dans le rapport.

“ Cela devrait les inciter — les banques et Interac — à agir ”, a déclaré Clément à Affaires canadiennes lors d'une entrevue.

Selon des experts juridiques, le Code pénal autorise la poursuite des institutions qui facilitent le terrorisme. Toutefois, la charge de la preuve est lourde et la probabilité de poursuites est faible.

“ Théoriquement, rien ne s'oppose à [poursuivre les institutions financières] ”, a déclaré Anil Kapoor, avocat spécialisé en droit pénal et en sécurité nationale.

“ La vraie question est de savoir comment on obtient les preuves, et… si ces preuves permettent de conclure à une facilitation consciente de transactions illégales ? ”

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