Le problème
Le 13 août, le ministre des Finances de l'Ontario, Vic Fideli annoncé le plan du gouvernement pour la légalisation du cannabis. La clé de voûte de la politique des progressistes-conservateurs était un renversement du modèle de monopole public de vente au détail proposé par l'ancien gouvernement libéral, pour opter plutôt pour le commerce de détail privé à l'échelle de la province.
Parallèlement à l'annonce de vente au détail privée, le gouvernement a déclaré que les municipalités seraient en mesure de «se retirer» de l'activité de cannabis, ce qui signifie que les villes et villages auraient la possibilité d'interdire l'établissement de points de vente au détail de cannabis dans leurs limites municipales.
En plus de restrictions strictes sur l'âge d'achat et la conduite avec facultés affaiblies, les PC prévoyaient d'adopter une interdiction complète de consommation publique, similaire à la façon dont l'alcool est traité à l'échelle de la province.
La réponse du CCC
Afin de diffuser la position du Consumer Choice Center sur les raisons pour lesquelles l'interdiction de la consommation publique en Ontario aurait été préjudiciable au choix des consommateurs, le directeur des affaires nord-américaines du CCC David Clement a publié un éditorial dans Le Globe and Mail, qui est le plus grand journal imprimé au Canada. Dans son article, il a suggéré soit de revenir sur l'interdiction, soit de légaliser les salons de consommation réglementés.
De plus, David Clement a également parlé de 570 Nouvelles sur les inconvénients du Cannabis Plan de l'Ontario qui aurait pu toucher les pauvres.
L'impact
Le 26 septembre, l'Ontario est revenu sur sa décision d'interdire toute consommation publique de cannabis. Cette victoire contribuera à la création d'un marché du cannabis plus équitable, juste et convivial en Ontario.