Cette semaine, le groupe de campagne Action on Sugar a appelé à interdiction des milk-shakes riches en sucre, comme les "freakshakes" instagrammables, mais cette approche n'empêchera pas l'obésité, déclare Maria Chaplia, Consumer Choice Center Media Associate.
"Au cas où l'interdiction des milkshakes proposée par l'Action sur le sucre recevrait le soutien du gouvernement, les consommateurs seraient soumis à une autre réglementation de style de vie futile", dit-elle. "Les preuves montrent que la navigation dirigée par le gouvernement des préférences des consommateurs n'améliore pas la santé publique.
« Il ne fait aucun doute que l'obésité est un problème urgent dans le monde entier. La plupart des programmes gouvernementaux de lutte contre l'obésité cherchent à réduire l'apport énergétique, mais cette approche n'a pas été couronnée de succès jusqu'à présent. De nombreuses preuves indiquent que l'excès de poids peut être guéri grâce à l'augmentation de la dépense énergétique, obtenue grâce à l'activité physique.
Elle a ajouté: "Selon Public Health England, l'activité physique au Royaume-Uni a diminué de 24% depuis les années 1960. La consommation moyenne d'énergie a suivi et a également récemment baissé.
« Si un milk-shake 'grotesquement sucré' de 300 calories n'est pas disponible sur le marché, les consommateurs opteront pour quelques barres de chocolat Cadbury's, 230 calories chacune. Le gouvernement est incapable d'empêcher les consommateurs de faire des choix préjudiciables par la coercition, mais il peut se concentrer sur l'encouragement d'attitudes saines.
«L'État britannique des nounou cible principalement la nourriture, le tabac et l'alcool et a été reconnu comme l'un des plus indiscrets d'Europe. Petit à petit, il s'est emparé de la liberté de choix et a imposé ses préférences de mode de vie aux consommateurs.
"Les directives du dîner de Noël du NHS, une taxe sur le sucre et maintenant une interdiction suggérée des milkshakes ne sont pas seulement des réglementations nutritionnelles inefficaces, elles sont des signes avant-coureurs d'interventions futures."
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