Lors d'une conférence de presse organisée par le Consumer Choice Center, les implications économiques et sanitaires des politiques de lutte antitabac aux Philippines ont été examinées. Des experts ont discuté du fardeau financier des maladies liées au tabac et ont plaidé en faveur de stratégies de réduction des risques. Cette approche pourrait permettre d'économiser des milliards, d'améliorer les résultats sanitaires et d'adapter les politiques aux réalités vécues par les consommateurs.
Le Consumer Choice Center a récemment organisé une conférence de presse aux Philippines, axée sur les occasions manquées de réduire les risques liés au tabac dans le cadre de la Convention-cadre de l'OMS pour la lutte antitabac (CCLAT). Des experts de sept pays se sont réunis pour discuter du potentiel des approches de réduction des risques dans les politiques antitabac.
Christopher Cabuay, de l'Université De La Salle, a souligné le coût financier des maladies liées au tabac aux Philippines, estimé à environ 15 000 milliards de philippins par an. Il affirme que le passage, même partiel, des fumeurs à des méthodes de réduction des risques pourrait engendrer des économies substantielles.
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