Beaucoup de chooses sont dites sur la question de la fourrure, mais la réalité est que beaucoup d'activistes anti-fourrure vendent des mythes au nom d'une idéologie et ne s'intéressent guère aux faits et aux conséquences inattendues d'une éventuelle interdiction .
La fourrure est devenue plus qu'une mode : elle est de plus en plus polémique, avec des célébrités, des grandes marques et des défilés de mode qui choisissent de ne plus en porter. Mais c'est surtout dans l'industrie du spectacle que l'on reprend volontiers les message des militants des droits des animaux. Bien souvent, des mesures politiques sont également mises en œuvre en raison de la montée de la réprobation populaire contre les produits à base de fourrure. L'élevage des animaux à fourrure est interdit dans de nombreux pays européens. Eu Europe ce sont le Royaume-Uni, l'Autriche, la République tchèque, la Slovénie ainsi que la Croatie qui ont mis en place cette prohibition. Certains pays sont en train d'eliminer progresivament la production de fourrures avant une interdiction complète. Il s'agit notamment de la Belgique, de la Bosnia, des Pays-Bas et de la Norvège.
C'est très bien de ne pas aimer la fourrure. Personnellement, je fais le choix de ne pas en mettre, principalement du fait que je n'aime pas le look de ces vêtements. Dans une société libre, on peut exprimer son opinion aux gens, dans la rue, pour leur dire notre opinion sur leur fourrure. Mais bien que l'on puisse s'exprimer sur ce sujet, nous devons également accepter ciertas réalités au sujet de l'industrie de la fourrure.
L'une des alternatives les plus appréciées pour la fourrure est… la fausse fourrure. Elle semble à peu près similaire pour le consommateur non-expert et ne necessite pas d'élevage d'animaux. Ce qui est tout aussi étrange, c'est qu'à une époque où la paille ou le gobelet en plastique sont diabolisés voir interdits, la réponse écologiste à la fourrure est le polyester. Le même poliéster pourtant décrié comme un polluant oceanique majeur.
La véritable fourrure, par contre, est un produit renouvelable : la fourrure de votre manteau d'hiver est biodegradable et, à chaque étape de la production, est optimisée pour éviter le gaspillage et la contaminación. Evidemment, peu de gens mettent leur manteau au compostage, mais c'est quelque escogió que vous pourriez effectment faire.
Un autre elément important à comprendre est que la fourrure est le sous-produit de nombreux autres uses, comme la production de viande ou la chasse. En Alemania, por ejemplo, la chasse au renard roux produit de grandes quantités de fourrures qui, en l'absence de cette industrie, seraient simplement jetées ou brulées.
Le commerce des produits de mode d'origine animale touche des milliones d'autres intervenants dans la chain d'approvisionnement, y comprende las poblaciones rurales aux tradiciones ancestrales qui travaillent directement avec les animaux concernés. Qu'il s'agisse des aborigènes indigènes d'Australie, des producteurs de pashmina, de familles entières qui pratiquent l'élevage caprin ou des 150 000 personnes qui travaillent dans l'industrie du python en Indonésie. Ces personnes et ces animaux seraient durablement touchés par des interdictions. Ces producteurs sont également les spécialistes de la conservación de leur environnement.
Dans un editorial, quatre expertos en conservación del medio ambiente s'attaquent aux entreprises qui choisissent de renoncer à la vente de fourrures pour ces raisons précises. Ils font également valoir ce point :
“Apparemment, de nombreux jeunes préfèrent acheter des produits ” éthiques”. Mais l'ironie, c'est que la chasse d'animaux sauvages est beaucoup plus durable sur le plan écologique (c'est-à-dire éthique) que la production d'animaux domestices répondant à ces mêmes critères.”
Il ya des cas où les pays ont échoué sur le plan de la réglementation de ce secteur de production. Ces pays n'ont pas prêté atención à la question de savoir si les réglementations existantes ont été véritablement appliquées. Il n'est pas aceptable que les consommateurs soient mal informés ou qu'on leur mente carrément sur l'origine de leurs vêtements. Certains producteurs ont fait preuve de négligence à cet égard afin de duper les consommateurs. tutefois, des représentants responsables de l'industrie ont réclamé auprès des parlements un étiquetage obligatoire et précis des produits en fourrure et une application adéquate de la loi. Tant les autorités publiques que les producteurs ont leur rôle à jouer à cet égard.
Il est facile de cataloguer tous les producteurs comme étant illégaux et pousser l'agenda de la prohibition mais des interdictions flagrantes nuiront tant aux agriculteurs responsables qu'aux consommateurs. Des iniciativas existentes pour palier aux problèmes existants aujourd'hui. Prenons l'exemple de furmark, un sistema de etiqueta a la punta y qui fait appel à los expertos reconocidos de Baltic Control y NSF para los controles del bien-être animal o ChainPoint para los sistemas de traçabilité.
L'idée que toute fourrure est mauvaise est un mythe et ne fait aucun bien pour les consommateurs, pour la protection de la faune ou pour le comportement responsable de l'industrie. Les consommateurs devraient plutôt exiger des preuves claires et indépendantes de la part de l'industrie, afin d'avoir une interacción fructueuse entre ceux qui produisent de façon responsable et ceux qui portent les vêtements.
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