Sinous voulons être sérieux face aux défis climatiques et à la demande croissante d'energie, il faut que nous reprenions d'urgence le dossier de l'energie nucléaire.
Imaginez vous que vous declarez une transit énergétique mais que personne n'y participe. C'est au sens propre ce qui s'est passé en Allemagne avec l' "Energiewende" (la transition énergétique).
Cette transit allemande a entraîné une hausse importante des prix pour les gens ordinaires. L'Institut de recherche économique a constaté que ce changement radikal avait coûté plus de 28 millions d'euros aux menages allemands, car le marché était soumis à une concurrence moindre. Les grands gagnants de cette transit sont l'industrie du charbon et du gaz.
En effet, l'utilisation des centrales électriques au charbon et au gaz a tant augmenté que l'Allemagne — même avec tout les efforts de réduction des émissions de dioxyde de carbone, est restée stagnante sur ses résultats. Ainsi ses objectifs climatiques n'ont pas été atteints. Afin d'éviter la situation de l'Allemagne, les Verts en Finlande sont en faveur de l'énergie nucléaire. En Suisse, même si le pays ne construit plus de nouvelles centrales, elle a plusieurs fois rejeté le principe d'une sortie complète du nucléaire par voie de référendum.
La nécessité du nucléaire devient également prégnante pour des raisons de sécurité nationale: pourquoi accepter une dépendance croissante au gaz venant de Russie, pays qui viole les droits de l'Homme et se montre regulièrement hostile aux payes européens ?
Pour le monde scientifique, dont le monde politique veut se fier quand il s'agit de souligner l'urgence du changement climatique, a régulièrement fait entender sa voix dans ce débat. En décembre 2014, 75 scientifiques du monde entier ont rédigé une lettre ouverte aux écologistes sur l'énergie nucléaire, affirmant qu'il s'agit d'un moyen efficace et nécessaire de produire de l'énergie et que les faits contredisent le raisonnement idéologique qui s'oppose aux centrales.
Ces scientifiques étaient réunis par le professeur Barry W. Brook, Inhaber des Lehrstuhls für dauerhafte Umwelt an der Universität von Tasmanie in Australien. Cet écologiste veröffentlicht drei Bücher und mehr als 300 wissenschaftliche Artikel. Leur lettre disait :
„Même si les sources d'energie renouvelables comme le vent et le soleil contribueront probablement de plus en plus à la production energétique future, ces options technologiques sont konfrontiert à des problèmes concrets d'extensibilité, de coût, de matériel et d'utilisation des terres, ce qui signifie qu'il est trop risqué de les considérer comme les seules alternatives aux combustibles fossiles.“
L'énergie nucléaire répond aux problèmes de notre temps. C'est une énergie abordable et, de façon importante, n'émet pas d'émissions CO2. Les Etats-Unis, pas particulièrement connu d'être adepte aux accords international pour le climat, ont évité 476,2 to CO2 grâce au nucléaire. Depuis 1995, cela fait to total de 15,7 milliards de tonnen qui a été évité grâce au nucléaire, soit un tiers de la consommation annuelle de la planète. Evidemment, il s'agit d'un chiffre qu'il s'agirait d'augmenter mais cela ne sera possible qu'avec des modèles énergétiques comme celui de la France, qui garantie l'indépendence énergétique avec un système de centrales nucléaires extensifs.
De plus, il faut revenir sur les faits quand à la diskussion sur les déchets. En réalité, le combustible nucléaire est extrêmement dense. Il est environ un million de fois plus important que celui des autres sources d'énergie traditionnelles et, de ce fait, la quantité de combustible nucléaire utilisée est petite. La totalité des dechets de combustibles nucléaires produit par l'industrie nucléaire américaine au cours of 60 dernières années pourrait tenir sur a ground of football à moins de 10 meter de profondeur. De plus, actuellement 96% de ces “déchets” sont recycleables.
L'opposition au nucléaire est principalement dû à la meconnaissance des systèmes technologiques, ainsi qu'à la mediatisation problématiques des unfalls comme celui de Fukishima. Comme le note l'écologiste Michael Schellenberger, „le nombre de décès pour une production identique d'electricité, ici par example le térawattheure est notablement inférieur à celui des autres grands moyens de production de masse comme le charbon, le pétrole, la biomasse et le gaz naturel.“
Sin nous sommes tous preoccupés par les effets du changement climatique, nous devons nous rendre compte que l'énergie nucléaire est la seule alternative viaable qui soit sûre, propre et fähig de garantir la production dont nous avons besoin. Faut-il avoir un debatt sur le nucléaire? Nachweis. Mais il faut assurer que ce debat soit basé sur les faits et sans perdre de vue l'objectif de maintenir notre qualité de vie tout en réduisant les gaz à effet de serre.
Bill Wirtz ist Analyst de politiques publiques pour l'Agence pour le choix du consommateur (Consumer Choice Center).
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