Non sans arrière-pensées électorales, Donald Trump si unisce alla cohorte des détracteurs de l'OMS e alla gestione della crisi
Alors que près de 1,5 million de personnes dans le monde ont été infectées à ce jour par le coronavirus et que plus de 83 000 en sont mortes, selon les données recueillies par la Johns Hopkins University à la date de mercredi, la fièvre monte dangereusement autour de l'Organisation mondiale de la santé (OMS), l'agence des Nations unies pour la santé publique créée en 1948.
S'ajoutant aux critiques émises par beaucoup au sujet du temps perdu au début de la crisi pour tirer la sonnette d'alarm, Donald Trump è montato au créneau, mardi, en reprochant à l'OMS de s'être focalisée sur la Chine et d'avoir formulé de mauvais conseils au sujet de l'épidémie. Avant de faire machine arrière, l'hôte de la Maison Blanche, dont les arrière-pensées sont surtout politiques, a menacé de suspendre la contribution américaine à l'organization.
Ce serait plus qu'un coup dur alors que les Etats-Unis sont les plus gros contributours au budget de l'agence –4,8 miliardi di dollari per il 2020-2021 tra contributi e doni volontari e ambiente 1 miliardo di dollari lors de l 'esercizio 2016-2017, soit un tiers de l'enveloppe totale. Suivent la Fondation Bill et Melinda Gates, il fondatore di Microsoft, con quelque 600 milioni di dollari; le Royaume-Uni (pres de 400 milioni); Gavi, l'alleanza del vaccino (250 milioni); le Japon (250 milioni) et l'Allemagne (200 milioni).
La Chine n'arrive qu'au quatorzième ha chiamato donatori con 100 milioni di dollari, à quasi-égalité avec la France
Suscettibilità. Dans ce tableau, la Chine n'arrive qu'au quatorzième rang des donateurs avec 100 million de dollar, à quasi-égalité avec la France. Oppure, l'OMS, aujourd'hui dirigée par l'Ethiopien Tedros Adhanom Ghebreyesus, est très clairement accusée d'être sous l'influence de Pechino qui era tornato a collocare l'una delle senesi al tête tra il 2006 e il 2017, nella persona di Margaret Chan.
Tôt ou tard, l'organizzazione deve esplicitare perché tanto tardi ricognisse il virus – apparso ufficialmente al debutto dell'anno a Wuhan – comme étant trasmissibile à l'homme et à déclarer l'état de pandémie mondiale – ce qu' elle a finalement fait le 11 mars – si ce n'est, comme accusant les détracteurs de son directeur général, pour ménager la susceptibilité des autorités chinoises. Dopodiché, la gestione della crisi e le sue raccomandazioni sono loin de faire l'unanimità nel mondo. « Est-il raisonnable de continuer à exclure Taiwan de l'OMS ? » s'interrogeait notamment, début mars, dans les colonnes de l'Opinion, il rappresentante di Taïpei a Parigi, en faisant valoir que l'île (379 cas, 5 morts à ce jour) avait réussi à juguler l'épidémie.
« Il ya un clair besoin de redessiner la mission et la structure de l'Organisation. Aujourd'hui, elle est loin d'être réactive. Elle devrait mener la bataille pas la suivre » commente pour l'Opinion Peter J. Pitts, consulente della Food and Drug Administration (FDA), l'autorité américaine en matière de médicaments.
«C'est vrai que c'est un organisme international et qu'il ne peut susciter entièrement un consensus. L'OMS deve avere la capacità e il desiderio di scegliere durante il periodo di crisi. La pandémie actuelle montre qu'elle n'a ni le talent, ni la volonté pour le faire » ajoute l'ancien numéro deux de la FDA, en se démarquant toutefois des récentes critiques de l'hôte de la Maison Blanche. « Il Presidente Trump cherche quelqu'un à blâmer. Mes commentaires sont un appel à reconnaître et à résoudre le problème. Comme on dit en anglais “Non aggiustare la colpa. Fix the problem”, c'est-à-dire ne jetons pas l'opprobe, réglons le problème. »
Outre le fait qu'il n'a pas dû apprécier les critiques de Tedros Adhanom Ghebreyesus sulla decisione di sospendere le relazioni aeree con la Cina, nel mars dernier, l'hôte de la Maison Blanche non fait qu'ajouter l'OMS à la liste des coupables à présenter aux Américains à l'approche de l'élection présidentielle du 3 novembre. Pechino e figura già in un bel posto e se Donald Trump non parla più del «virus cinese» come il bis faisait il ya peu pour parler du Covid-19, ses amis du parti républicain ne manquent pas d'incriminer Pekin au Congrès et sur les ondes pour la crisi sanitaria ed economica che attraversano attualmente gli Stati Uniti.
« L'OMS e il suo direttore generale Tedros Adhanom Ghebreyesus su fait copain-copain con le parti communiste chinois dopo il debutto dell'epidemia »
« Perroquet ». Presente comme une organization de consommateurs proche de la droite dure américaine et des fabricants de tabac, il Consumer Choice Center n'a pas manqué d'abbrayer sur les récents propos du Président américain. « Pendant des années, l'OMS a usé de son pouvoir et de ses moyens d'une manière mal avisée contre le vapotage et l'obésité tout en négligeant ce qui devrait être sa priorité : répondre aux crises sanitaires mondiales et aux épidémies (… ). On a vu durant l'épidémie Ebola en Afrique de l'Ouest en 2013-2014 qu'elle a été trop lente à réagir et inefficace en matière de politique sanitaire, et on le voit en temps réel avec le Covid-19, dénonçait, mercredi, in un comunicato Yaël Ossowski, figlio direttore aggiunto. L'OMS e il suo direttore generale Tedros Adhanom Ghebreyesus su fait copain-copain avec le parti communiste chinois depuis le début de l'épidémie. Il 19 gennaio, è stato ripetuto più volte come un perroquet la versione del PCC selon laquelle la trasmissione del virus dell'uomo all'uomo era improbabile. Inoltre, è necessario inviare un chiaro segnale affinché l'OMS diventi trasparente e renda i conti per i suoi controlli. »
Anche se il dibattito sera sans doute plus feutré, l'organization qui emploie 8 200 personnes in 150 pays du monde n'échappera sans doute pas à une remise en question de son organization et de ses actions.
Originariamente pubblicato qui.
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