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Pourquoi les Institutions européennes ne font-elles pas confiance aux consommateurs ?

I consumatori di beaucoup d'exigences à l'égard desstitutions européennes, mais une question clé doit vraiment être posée à ceux qui continuent d'avancer l'idée de la nécessité d'un paternalisme étatique de l'Union européenne. Di Bill Wirtz, analista politico del Consumer Choice Center.

Il ya ce truisme qui dit que vous ne remarquez ce qui vous manque que lorsque vous ne l'avez plus à votre disposition. C'est l'impressione che si ottiene quand vous remarquez l'immenso choix qui se présente dans nos supermercati. Le progrès n'est pas seulement visible dans le fait qu'il ya des oranges, des épices ou du vin espagnol, mais aussi dans le fait qu'il ya plusieurs choix pour chaque produit. Comparé à la triste réalité des pays où le libre-échange et la concurrence sont des mots éstrangers, nos étagères sont colorées et ont un rapport qualité-prix dont nos nonni-parents ne pouvaient que rêver.

Mais tout le monde ne partage pas cet entusiasme pour le progrès de l'économie de marché. Pour les “défenseurs de la santé publique” e les critiques de la mondialisation, notre liberté de choix est problématique, car ceux qui font a libre choix choisiront inévitablement des choses que les autres n'aiment pas. Au fil des années, lesstitutions de l'Union européenne (UE) ont montré le même niveau de méfiance à l'égard de l'individu.

À la fin du XXe siècle, il semblait évident que nos modes de vie n'étaient pas nécessairement les plus sains: nous buvions, fumions et mangions trop. Per cette raison, les autorités et les politiciens se sont fiés au concept d'un consommateur éclairé: un consommateur informé est libre de prendre ses propres décisions, mais il doit être informé des dommages qu'il s'inflige par ses choix de consommation.

A lungo termine, il consenso sembra essere che questo punto di partenza sia razionale. Mais parce qu'une minority de personnes ont continué à maltraiter leur propre corps, quelles qu'en soient les conséquences, l'éducation s'est transformée en impositions paternalistes.

Le paternalisme a remlacé l'information

Les nouveaux règlements sur le tabac montrent bien comment le paternalisme a remlacé l'information. Nel 2015, prima dell'entrata in vigore del regolamento dell'Unione europea sul tabacco, il pacchetto di sigarette indicava la quantità di nicotina e il contenuto di goudron in ciascuna sigaretta. I consumatori che vogliono ridurre il loro consumo di nicotina e di goudron possono trovare nella confezione le informazioni essenziali.

La direttiva del 2015 sul tabacco ha cambiato le donne: i politici acconsentono che le sigarette à plus faible degré de nicotine ou de goudron possano essere considerate come “plus saines” e non aboliscano il contenuto per sostituire le avversità ancora più visibili. Les politiciens semblent penser que tout ce qui est inhalé sous forme de fumée, doit être nuisible de façon paragonabile. Le fait que cela ne repose sur aucune base scientifique ne semble déranger personne à Bruxelles.

Mais avec une consumation de tabac de l'ordre de 15 à 20% della popolazione, è probabile che la maggior parte dei lettori di questo articolo non sembri necessariamente preoccupata per questo esempio. Avec des produits comme l'alcool ou le sucre, c'est différent. Anche se una maggioranza écrasante della popolazione è consapevole che l'on doit traiter les deux questions de manière rationnelle, l'État nounou punit par des price minimums, des tax plus élevées ou una disponibilité réduite.

Méfiance à l'égard du consommateur

Le ultime proposte sulla limitazione della capacità delle imprese a commercializzare i loro prodotti ricordano questo tipo di méfiance allo sguardo del consumatore: i ministeri della sanità pubblica presso il consiglio dell'UE propongono il regolatore di façon très stricte toute publicité qui peut être vue par un enfant, ce qui comprend toutes les publicités à la radio, sur internet, à la télé, à l'extérieur, dans les bus, métros ou trams ou même des stands dans la rue.

Si nous limitons le marketing, ce ne peut être que parce que nous croyons que les consommateurs sont soumis à un lavage de cerveau et qu'ils sont incapables de fare la loro propria opinione. Dans le cas des enfants il s'agit en plus d'une déresponsabilisation desparents qui sont mis sous tutelle de l'Etat.

La questione à laquelle la Commission européenne, qui est à l'origine de la plupart des règlements et propositions de ce type, doit répondre est la suivante : faites-vous confiance au consommateur ? Faites-vous confiance aux citoyens dans sa capacité à faire des choix rationnels pour lui-même ? Et si ce n'est pas le cas, qui fait les meilleurs choix pour eux?

Ne vous méprenez pas: qu'il s'agisse de sucre, d'alcool ou de tabac, tout doit être consommé avec moderation et prudence. I consumatori devraient s'informer des conséquences de leurs actes, mas devraient rester libres de faire leurs propres choix. Sinon, nous serons les victimes d'un État condescendant qui transforme nos supermarchés colorés en terres stériles.

Ne pas se perdre in une surenchère législative

Al posto di nous perdre in une surenchère législative qui place le consommateur sous la tutelle de l'Etat, c'est aux individus de trouver les solutions au défis de santé publique. Prenons l'exmple de la cigarette électronique: tant que les Etats provant avec beaucoup d'efforts de faire disparaître le marché du tabac, le marché libre proponent une alternative réaliste aux fumeurs. Gli esperti di "Public Health England" riconoscono che il vapoter è 95% poco nocivo rispetto alla sigaretta classica, e propongono ai fumatori di s'arrêter con la sigaretta elettronica. En France par contre, l'Etat préfère classer tous les produits qui emettent de la fumée – y inclus les produits qui réduisent considérablement les risques – sous la même catégorie.

Là encore, nous voyons l'énorme mépris du législateur pour le libre choix du consommateur. J'ajouterai même une supplémentaire: à quando la ricognizione che l'Etat-nounou non funziona?

Originariamente pubblicato a https://www.latribune.fr/opinions/tribunes/pourquoi-les-institutions-europeennes-ne-font-elles-pas-confiance-aux-consommateurs-791702.html

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