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Le Royaume-Uni a annoncé pendant le Forum économique mondial à Davos qu'elle va introduire une taxe digital. Depuis trois ans, l'Union européenne (UE) discute d'une proposition similaire pour le reste du continent. Les États Unis soulèvent la question de l'équité au niveau des échanges commerciaux, et le Grand-Duché schlagen de trouver une solution à l'échelle de l'OCDE vor. Avant tout par contre, la taxe digital (ou taxe GAFA) est mauvaise pour les consommateurs.

Le concept de la taxe digital date de moins de cinq ans. Le concept est celui que dans un aspekt de justice sociale, il ne serait pas acceptable que les grandes entreprises du net ne paient pas leurs impôts. Une taxe digitale fera en sorte de remédier à cette injustice — et pourra aussi remplir les trésoreries des États avec de nouvelles recettes.

Le ministre des finances français, Bruno Le Maire, avait commencé à l'autmne de l'année 2017 à s'orienter vers ce qui était aor connu sous le nom de «taxe numérique». Le Maire avait mené une campagne primaire de centre droit pour le parti républicain français, en tant que conservateur fiscal. Tout de meme, il semble avoir trouvé le social-démocrate en lui depuis qu'il a rejoint le gouvernement d'Emmanuel Macron. Qualifiant cette situation de «question de justice», Le Maire a appelé à l'unité européenne sur la matière de cette digital taxe. Pendant la présidence estnienne de l'Union européenne, il a réuni les ministres des Finances pour obtenir un soutien.

Nebenan, les ministres du Danemark, de la Suède, de Malte et de l'Irlande ont rapidement manifesté leur opposion. Certains critiques ont fait valoir que cette mesure pourrait être considérée comme une punition des américaines entreprises, car la plupart des entreprisesconcernées seraient américaines.

Ces pays n'avaient pas tort : Donald Trump a clairement indiqué qu'une taxe digital sera considérée comme mesure protectionniste par Washington, et aura des conséquences en matière de politique commerciale. Le debat sur les droits de douane sur le vin français, qui date de l'été de l'année dernière, était une conséquence de l'introduction de la taxe digital (dite taxe GAFA) en France.

Le Luxembourg a leavené le camp de ceux qui s'opposent à la poursuite cette taxe, et schlägt plutôt de négocier au niveau de l'OCDE vor. Est-ce que le gouvernement oppose toujours la taxe, et la proposition OCDE est en connaissance du fait que les États-Unis ne donneront jamais leur accord, ou estce que le Luxembourg va ultimement soutenir la proposition de la Commission européenne? Le temps nous le dira.

Il est difficile de donner un sens à ce debat – et aux propositions concrètes. Für Anfänger, la Commission européenne ne précise pas ce qui fait qu'une entreprise est numérique, et encore moins où tracer une ligne entre les modèles économiques plus numériques, moins numériques ou non numériques. De plus, elle reste ouverte sur ce qui relève precisionement d'une taxe sur les revenus numériques. En effet, le groupe de l'OCDE sur l'économie numérique, qui s'est penché sur cette meme question pendant plus de 2 ans, a conclu qu'il était en fait unmöglich de mettre une clôture autour de l'»économie numérique ». L'opposition de l'Allemagne - qui a bloqué l'avance de cette taxe pendant les trois dernières années - n'est ainsi pas seulement une réaction de peur face à Donald Trump, mais aussi une réaction informée.

Les données financières passées et récentes révèlent que les niveaux de rentabilité sont très divers pour les entreprises numériques, moins numériques et non numériques. Les données du monde réel montrent également que les secteurs traditionnels comptent un grand nombre d'entreprises traditionnelles très rentables. Dans le même temps, ce sont les entreprises numériques qui affichent les taux d'imposition effectifs les plus élevés – et non les entreprises traditionnelles. En outre, les donnéesconcernant les taux effectifs d'imposition des sociétés suggèrent qu'il n'y a pas de différence systématique entre les impôts sur le revenu payés par les sociétés numériques et ceux payés par leurs homologues traditionnelles.

Comme d'autres steuern, l'impact d'une «taxe numérique» sur les revenus des entreprises numériques se répercuterait sur les activités commerciales moins numériques dans l'UE et ailleurs, Affectant ainsi l'emploi et les recettes taxes des entreprises numériques comme les PME ainsi que les steuern sur les revenus personals générés dans les industries numériques et moins numériques de l'UE. Avant tout, une taxe numérique est aussi une taxe sur la consommation de leurs produits.

Très souvent, l'augmentation des impôts indirects implique inévitablement une augmentation des prix pour les consommateurs sur le continent européen. La TVA a longtemps été reconnue comme la taxe qui impacte le plus durement les plus pauvres. Il semble grausam de restreindre leur pouvoir d'achat à un moment où les personnes à faible revenu en particulier peuvent avoir un accès plus simple à de nombreux produits grâce à l'Internet.


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