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Monat: 10J

[EU] Tabakbesteuerung – Verbrauchsteuern für Tabakwaren

Wen es angeht,

Die Bekämpfung von Krebs in der EU bleibt eine unserer größten Prioritäten als Gesellschaft, und deshalb müssen wir dieses Problem auf intelligente Weise mit einem wissenschaftlich fundierten Ansatz angehen, der die Wahlmöglichkeiten der Verbraucher verbessert.

Die Besteuerung soll die Verbraucher von bestimmten Produkten – in diesem Fall Zigaretten – abhalten. Was die Politik jedoch gerne übersieht, ist, dass die Nachfrage nach Zigaretten unelastisch ist und Steuern – zusammen mit anderen Beschränkungen und Verboten – das Verbraucherverhalten nicht wesentlich beeinflussen können. Verbraucher sollten als Personen angesehen werden, die für ihr Wohlbefinden verantwortlich sind und eine freiwillige, informierte Entscheidung zum Rauchen treffen. Die EU sollte bestrebt sein, die Wahlmöglichkeiten der Verbraucher zu erhalten, und die Förderung könnte ein ausgewogenerer Weg in die Zukunft sein.

Darüber hinaus fördern hohe Tabaksteuern den illegalen Handel mit Tabakprodukten. Laut dem Amt für Betrugsbekämpfung der Europäischen Union (OLAF) verursachen Zigarettenschmuggel und andere Formen des illegalen Handels mit Tabakerzeugnissen jedes Jahr einen geschätzten Verlust von 10 Mrd. EUR für die EU und die nationalen Haushalte. In der legalen Lieferkette sind Hersteller, Lieferanten, Händler, Einzelhändler und Verbraucher alle vom illegalen Handel betroffen. Der Schwarzmarkt für Tabak richtet sich an gefährdete Gruppen in der Gesellschaft und untergräbt Strategien für die Bemühungen um Produkte zur Schadensminderung.

Um diesen Risiken vorzubeugen, sollte die Europäische Union die Besteuerung von Tabakerzeugnissen begrenzen und nicht erhöhen. Steuererhöhungen schaffen Anreize für Verbraucher, illegale Produkte zu kaufen, und machen Schwarzmarktalternativen attraktiver. Eine übermäßige Regulierung und Besteuerung von Tabakprodukten verringert den Zugang zu und die Verfügbarkeit von Tabakprodukten, ohne die Nachfrage zu senken.

Die Wirksamkeit von E-Zigaretten als Mittel zur Raucherentwöhnung ist unbestreitbar, wenn man bedenkt, dass sie auf Raucher und nicht auf Nichtraucher abzielt. Dampfen ist ein lebensrettendes Werkzeug, und es hat sich als weniger schädlich erwiesen als das Rauchen. Internationale Gesundheitsbehörden, Public Health England, das neuseeländische Gesundheitsministerium und das kanadische Gesundheitsministerium haben das Dampfen ebenfalls befürwortet, um Raucher zum Wechsel zu ermutigen.

Die neue Tabaksteuerstrategie sollte diese Tatsachen berücksichtigen und einen separaten Regulierungsrahmen für das Dampfen entwickeln. Die Vereinigten Staaten liefern eine wertvolle Lektion über den Schaden, der durch Verbrauchssteuern auf E-Zigaretten verursacht werden kann. US-Forscher fanden heraus, dass „eine vorgeschlagene nationale E-Zigaretten-Steuer von $1,65 pro Milliliter Dampfflüssigkeit den Anteil der Erwachsenen, die täglich Zigaretten rauchen, um etwa 1 Prozentpunkt erhöhen würde, was 2,5 Millionen zusätzlichen erwachsenen täglichen Rauchern im Vergleich zum Kontrafakt entspricht die Steuer nicht haben.“ Wir sollten nicht vergessen, dass es unser Ziel ist, den Krebs in der EU zu besiegen, und um dies zu erreichen, dürfen wir nicht blind gegenüber ausländischen Erfahrungen und verfügbaren Beweisen sein.

Um die Krebsraten zu senken, ist es vor allem wichtig sicherzustellen, dass Dampfen nicht nur preislich zugänglich ist, sondern dass sich Raucher auch der Möglichkeit bewusst sind, auf eine sicherere Alternative umzusteigen, die verschiedene gesundheitliche Risiken verringern kann. Die EU muss die Vermarktung und das Branding von sicheren und legalen Dampfprodukten fördern. Verbraucherinformationen sind notwendig, um den Krebs in der EU durch Dampfen zu bekämpfen.

Angesichts der oben genannten Argumente empfehlen wir dringend, von weiteren Erhöhungen der Tabaksteuern abzusehen, um keine Anreize für den Schwarzmarkt zu schaffen. Wir fordern die Kommission auch auf, der Wissenschaft zu folgen und sich der Tatsache bewusst zu sein, dass Dampfen – als wirksames Mittel zur Raucherentwöhnung – anders behandelt werden sollte als herkömmliches Rauchen. Strengere Beschränkungen und höhere Steuern werden uns nicht helfen, den Krebs in der EU zu besiegen, aber die Schaffung eines wissenschaftlich fundierten und verbraucherfreundlichen Rahmens in Bezug auf das Rauchen und Dampfen wird es tun.

Mit freundlichen Grüßen,

Maria Chaplia
Mitarbeiterin für europäische Angelegenheiten
Verbraucherwahlzentrum

Ursprünglich veröffentlicht hier.

La publicité ciblée doit pouvoir Continuer à Exister

Lorsque nous entendons des cri tiques à propos des réseaux so ciaux, l'une des principales préoccupations est la publicité ci blee. On nous explique que cette pu blicité beute les consommateurs et les bombardent de publicités en ligne aus. Cependant, il faut reconnaître que les outils technologiques nous donnent la possibilité de contrôler nos publicités et que le ciblage nous expo moins à des publicités qui ne nous intéressent pas.

Chaque jour, les publicités ciblees sont utilisées par des petits acteurs comme un salon de coiffure à la recherche de nouveaux clients, un groupe environnemental qui demande des signatures sur une pétition, ou un candi
dat politique qui cherche à se faire connaître.

Tous ces éléments sont importants et meme vitaux pour nos sociétés civiles en Europe. Ces groupes paient pour attirer notre attention sur les réseaux sociaux parce qu'ils accollisent quelque choose d'essentiel : générer des affaires, défendre des cause sociales ou gagner des élections. Cette demarche est facilitée par les réseaux sociaux sur lesquels nous affichons et
partageons des informations.

Comme les sociaux sont généralement gratuits medias pour les utilisateurs, le fait d'accepter cette publicité permet aux plateformes de se développer et de s'étendre pour Continuer à offrir de la valeur aux utilisateurs. Ceci est un équilibre que la plupart d'entre nous comprennent. Certains sont légèrement ennuyés, mais la plupart préfèrent une
publicité qui répond à leurs intérêts.

Malheureusement, cette situation a donné des arguments à des militants anti-publicité et aux hommes politiques qui veulent l'interdire pour limiter la capacité à diffuser des informations sur les medias sociaux. En octobre, les députés européens ont voté à une écrasante majorité en faveur d'une reduction sévère et, à terme, d'une suppression progressive des publicités ciblées. La proposition était un amende ment au rapport annuel sur la concurrence, visant à remanier la loi sur les services numériques. Elle reste non contraignante tant que la Commission euro péenne n'aura pas publié de reglement.

Auf Twitter hat der niederländische Europäer Paul Tang die Qualifikation für die Wahl zum „Sieg“ gegen die großen technologischen Unternehmen erhalten, weil „nous voyons que les grandes entreprises technologiques Continuent à étendre leur pouvoir de marché en considérant les données staffles comme une marchandise“ sind. En plus d'interférer avec notre vie privée, un tel modèle de revenus est malsain et dégoûtant pour l'internet“.

Les politiciens de Bruxelles se trompent. Ces remèdes politiques finiraient par nuire aux consommateurs et aux petites entreprises, et par réduire à néant le secteur des technologies innovantes qui apporte de la valeur aux utilisateurs dans toute l'Europe. Les réseaux sociaux sont devenues populaires parce qu'elles per mettent aux utilisateurs de s'exprimer, et ils sont deve nus rentables parce qu'ils permettent aux petites entre prises et aux Organizations sans but lucratif de trouver des clients, volontaires, ou des donateurs . Toute la société y gagne!

Si la publicité ciblée est démantelée, comme Certains l'espèrent, cela limitera fortement les possibilités qu'ont les entrepreneurs et les groupes sociaux de trouver des partisans et des clients. Cela peut sembler bon en théorie, mais en pratique, cela signifie qu'il faut mettre fin à de nombreuses initiatives et entreprises, du recru tement pour les groupes environnementaux à la vente en ligne pourles restaurants pendant ces périodes de confinement, et bien plus encore .

Nous devons accepter le fait que les medias sociaux sont devenus le nouveau marché où nous recherchons des informations. Sinous légiférons et interdisons des Méthodes spécifiques de partage d'informations sur les produits et services en ligne, cela réduit le choix des consommateurs et étouffe des industries entières. Cela nuit à tout le monde. Plus que nuisible, elle repose également sur la fausse hypothèse selon laquelle les adultes ne sont pas assez intelligents pour comprendre ou interpreter la publicité. C'est à la fois paternaliste et erroné.

Bien sûr, les publicités sont ennuyeuses pour ceux qui n'en veulent pas. Et, heureusement, la meme technologie qui a créé la micro-publicité ciblée a également engdré des plugins de navigation qui permettent de bloquer les publicités. Il existe éga lement des réseaux privés virtuels et des modes de navigation privés qui sont faciles à utiliser pour ceux qui les veulent. Grâce à la technologie, tout ce que nous faisons en ligne est devenu plus efficace, plus performant et moins coûteux. Elle a permis à des organisations à but non lucratif de se faire entendre, à des millions d'entrepreneurs de s'exprimer et aux utilisateurs du monde entier de bénéfi cier d'une valeur inestimable.

En tant que défenseurs d'un internet libre et ouvert, nous devons Continuer à soutenir l'innovation et veil ler à ce qu'elle soit protégée contre ceux qui souhaitent en limiter le potentiel. L'Union européenne doit trou ver des moyens d'encourager, plutôt que d'étouffer, l'innovation que chaque citoyen du continent mérite.

Dampfen: Die nächstbeste Alternative

Israr Hasan für DOT: [2] Rauchen ist hier in Bangladesch eine weit verbreitete Gewohnheit, die jeden betrifft, vom Teenager bis zum Senioren. Um die durch Zigaretten verursachten Schäden zu verringern, steigen viele junge Menschen auf E-Zigaretten oder E-Zigaretten um, die als eines der effektivsten Hilfsmittel zur Raucherentwöhnung gelten, die wir je gesehen haben. E-Zigaretten sind überall in Bangladesch erhältlich, von kleinen Läden an der Straßenecke bis hin zu E-Commerce-Sites, da ihre Nachfrage immer größer wird.

[3] Allerdings hat die Regierung von Bangladesch kürzlich erklärt, dass sie daran arbeitet, die Produktion und den Konsum von E-Zigaretten im Land zu stoppen. Dieser Vorschlag wäre katastrophal für erwachsene Verbraucher, die eine weniger riskante Alternative wünschen. Damit wird Bangladesch dem Beispiel Indiens folgen, das letztes Jahr E-Zigaretten als Reaktion auf eine so genannte „Epidemie“ verboten hat. Dies deckt sich mit dem Ziel, das Land bis 2040 tabakfrei zu machen, was für den Außenstehenden eher ein Notfall als eine große Vision zu sein scheint.

[4] Auch hier sehen wir, wie sich die Regierung auf eine Weise einmischt, die den Verbrauchern schadet. Dampfen wird als die beste Alternative angesehen, da es im Allgemeinen als legitimes Mittel zum Aufhören fungiert und für den Verbraucher deutlich weniger schädlich ist als herkömmliche Zigaretten.

[5] Vapes benötigen kein Feuer, das angezündet werden muss, und daher findet keine Verbrennung statt. Dadurch entsteht kein Rauch, Teer, Kohlenmonoxid und es besteht keine Gefahr des Passivrauchens, wodurch es umweltfreundlich ist, da Dritte nicht beeinträchtigt werden.

[6] In Bangladesch scheint es einen großen Mangel an Informationen über das Dampfen zu geben, aber viele Fehlinformationen. Wie in vielen Fällen ist es besser, den Verbrauchern die Wahl ihrer eigenen Methode zur Tabakentwöhnung zu überlassen, als eine Top-Down-Entscheidung zu treffen.

[7] Die Verwendung von Vapes als weniger schädliche Alternative zuzulassen, kann einer großen Anzahl von Rauchern helfen, mit dem Rauchen aufzuhören. Dampfen kann Bangladesch helfen, seine Vision zu verwirklichen, bis 2040 tabakfrei zu werden, aber es sollte einen organischen Rahmen geben, in dem die Marktkräfte die Arbeit erledigen, anstatt ständige staatliche Anweisungen.

Israr Hassan ist Policy Fellow am Consumer Choice Center

Ursprünglich veröffentlicht hier.

Feds gehen den einfachen Weg

Anfang Oktober kündigte der Premierminister von Alberta, Jason Kenney, an, dass die Provinz führend im Kunststoffrecycling werden werde und dass die Kunststoffstrategie von Alberta eine Kernkomponente für die Schaffung von Arbeitsplätzen in der Zukunft sein werde. Für den flüchtigen Beobachter der Politik sieht das nach einer spannenden Entwicklung aus. Wem gefällt nicht die Aussicht, Kunststoffabfälle besser zu verwalten und gleichzeitig Arbeitsplätze zu schaffen? Das scheint eine Win-Win-Situation zu sein.

Leider erklärte die Bundesregierung nur einen Tag nach Kenneys Ankündigung, dass sie Plastik als giftigen Stoff der Liste 1 gemäß dem kanadischen Umweltschutzgesetz (CEPA) einstufen und die Verwendung von Einwegartikeln aus Plastik wie Plastikbesteck, Strohhalme, Rührstäbchen, Einkaufstüten, Sixpack-Ringe und Behälter zum Mitnehmen. Als Ontarier hat mich die Aussicht auf eine „westliche Entfremdung“ nie berührt, aber Trudeaus unmittelbare Plastikankündigung unmittelbar nach der von Alberta brachte mich zum Nachdenken.

Die Umbenennung und das Verbot der Bundesregierung wirkten auf Anhieb merkwürdig. Natürlich wissen wir alle, dass Plastikprodukte nicht giftig sind. Ob es sich um die PSA handelt, die wir tragen, um uns während der Pandemie zu schützen, oder um die Behälter, in denen unsere Bestellungen zum Mitnehmen eingehen, es ist klar, dass Kunststoffe keine Giftstoffe wie Asbest und Blei sind, die ebenfalls in Anhang 1 der CEPA aufgeführt sind.
Tatsächlich wirkt der Versuch, Kunststoffe über CEPA zu regulieren, als eine faule Art der Regulierung im Gegensatz zur Gesetzgebung. Anstatt eine ernsthafte Diskussion über die Abfallwirtschaft zu führen, hat sich die Bundesregierung für eine Umbenennung aller Kunststoffe entschieden, was bedeutet, dass jedes Kunststoffprodukt ohne Debatte oder Folgenabschätzung auf die Verbotsliste gesetzt werden könnte.

Abgesehen von der seltsamen Begründung für die Verwendung von CEPA scheint Trudeaus Schritt auch ein ernsthafter Eingriff in die Autorität und Autonomie der Provinz zu sein. Unabhängig davon, wie wir es ankreiden, sind unsere lokalen Gemeinschaften und unsere jeweiligen Provinzen die Regierungsebenen, die für das Sammeln und Bewirtschaften von Abfällen verantwortlich sind. Die Bundesregierung schickt nicht jede Woche jemanden, der Ihre Wertstofftonne abholt. Nun könnte man argumentieren, dass die Länder bei der Abfallentsorgung so schlechte Arbeit geleistet haben, dass der Bund eingreifen musste, aber stimmt das?

Ein Blick nach Alberta zeigt, dass die Provinz Plastikmüll ernst nimmt. Nehmen wir zum Beispiel das Thema Körnerfuttertüten aus Kunststoff. Diese Getreidesäcke machen die Hälfte aller Plastikabfälle aus, die von Farmen in Alberta erzeugt werden. In Bagshaw nimmt eine Recyclinganlage diese alten Taschen, 14.000 Stück pro Jahr, und verarbeitet sie zu Harzpellets. Diese Harzpellets werden dann im In- und Ausland verkauft und zu völlig neuen Kunststoffprodukten verarbeitet. Dieser Prozess erhöht den Lebenszyklus von Getreidesäcken erheblich und stellt sicher, dass sie nicht als unsachgemäß behandeltes Plastik enden.

Aber Getreidesäcke sind nicht das einzige Beispiel. Sturgeon County wird in Zusammenarbeit mit NAIT die Einwohner innerhalb des Jahres auf Straßen fahren lassen, die mit recyceltem Kunststoff gepflastert sind. Das Programm nimmt Einweg-Plastikartikel, wie die auf der Verbotsliste von Trudeau, verändert ihre chemischen Bindungen und bindet sie mit Bitumen. Das Endergebnis ist Asphalt aus recyceltem Kunststoff, der nicht in den Boden oder in Gewässer gelangt. Kunststoffabfällen auf diese Weise ein zweites Leben zu geben, schafft Arbeitsplätze und fördert Innovationen, aber was noch wichtiger ist, es stellt sicher, dass Kunststoffe in der Wirtschaft bleiben und nicht in der Umwelt landen.

Anstatt den Provinzen die Verwaltung und den Innovatoren die Innovation zu erlauben, hat die Bundesregierung den faulen Weg eingeschlagen, bestimmte Produkte direkt zu verbieten. Die Verwendung von CEPA macht dieses Verbot noch problematischer, da es echte Unsicherheit darüber schafft, was als nächstes zur Liste hinzugefügt werden könnte. Alberta hat sich als führend im Recycling von Kunststoff erwiesen und könnte dies auch weiterhin sein, wenn Ottawa dies zulässt.

Ursprünglich veröffentlicht hier.

Europas Widerstand gegen Genmanipulation und Pestizide bedeutet höhere Lebensmittelpreise für die Ärmsten der Welt

Blog mit vorgestellten Bildern

By 2070 wird die Welt von etwa 10,5 Milliarden Menschen bevölkert sein. Das bedeutet, dass wir jedes Jahr 3 Milliarden zusätzliche Menschen ernähren müssen. Glücklicherweise haben uns technologische Fortschritte in Landwirtschaft und Technologie geholfen, im letzten Jahrhundert 5,5 Milliarden Menschen zusätzlich mit Nahrung zu versorgen, verglichen mit den 2 Milliarden Menschen, die 1920 die Erde bevölkerten Menschen in Ländern mit niedrigem mittlerem Einkommen ist um über 200 Millionen von 991 Millionen auf 790,7 Millionen zurückgegangen.

Die Stanford University schätzte, dass wir, wenn wir weiterhin die Landwirtschaftstechnologie von 1960 verwenden würden, zusätzliches Ackerland von der Größe Russlands, dem größten Land der Welt, benötigen würden, um die gleichen Erträge wie die aktuelle Technologie zu erzielen. Das ist ein großer Erfolg, stellt uns aber auch vor die Aufgabe, die Situation der verbliebenen Kinder und Erwachsenen zu verbessern, die täglich von Hunger betroffen sind.

Leider scheint das aktuelle politische Narrativ in einer der wohlhabendsten Regionen der Welt die vor uns liegenden Herausforderungen zu ignorieren und will, dass wir uns einer weniger effizienten Landwirtschaft zuwenden. Die „Farm to Fork“-Strategie (F2F) der Europäischen Union zielt darauf ab, bis zum Ende dieses Jahrzehnts ein nachhaltigeres Lebensmittelsystem zu schaffen. Angesichts der derzeit vorgeschlagenen Ideen ist es jedoch besorgniserregend, dass dieser neue politische Rahmen das Gegenteil einer nachhaltigen Landwirtschaft erreichen und nicht nur Europa, sondern die ganze Welt in eine potenzielle Ernährungskrise mit massiven geopolitischen Auswirkungen führen wird.

Die EU plant, den Anteil des ökologischen Landbaus an der gesamten landwirtschaftlichen Produktion von derzeit 7,51 TP2T auf 251 TP2T zu erhöhen. Außerdem planen sie eine Reduzierung von 50% in Pestiziden. Gleichzeitig umfasst die F2F-Strategie keine neuen Technologien, die es den Landwirten ermöglichen, die gleichen Erträge zu erzielen, die sie mit dem derzeitigen Pestizidniveau erzielen können.

Aus mehreren Gründen, einschließlich der geringen Erträge und der daraus resultierenden Notwendigkeit, mehr Land für die landwirtschaftliche Produktion bereitzustellen, ist der ökologische Landbau besonders schädlich für die Deckung des weltweiten Nahrungsmittelbedarfs.

Was bedeutet das für die Ernährung von 10,5 Milliarden Menschen im Jahr 2070?

Weltbevölkerung

Mehr ökologischer Landbau in Europa bedeutet niedrigere Erträge der EU-Lebensmittelproduktion und höhere Preise für die Verbraucher. Der Mangel in Europa wird wahrscheinlich durch zusätzliche Nahrungsmittelimporte aus anderen Teilen der Welt kompensiert. Dies wird zu einem weltweiten Anstieg der Lebensmittelpreise führen. Für wohlhabende Regionen der Welt wie Europa wird dies eher ein Ärgernis für die Verbraucher sein. Dies wird sehr negative Folgen für Menschen haben, die bereits am Rande der Existenz leben und Hunger leiden.

Das Ernährungs- und Landwirtschaftsorganisation der Vereinten Nationen (FAO) schätzten, dass Landwirte weltweit 30%-40% ihrer Ernte durch Schädlinge und Krankheiten verlieren würden, wenn sie keine Pflanzenschutzmittel wie Insektizide oder Herbizide zur Hand hätten. Bis zu 281 TP2T aller Leberkrebserkrankungen weltweit sind auf Aflatoxine, einen Mykotoxintyp, zurückzuführen. Ohne den Landwirten zu erlauben, Fungizide anzuwenden, die die Exposition des Menschen gegenüber diesen Toxinen verringern, riskieren wir weiterhin Millionen von Menschenleben.

Lebensmittelproduktion

In den letzten 100 Jahren haben sich Pestizide als notwendiges Übel erwiesen, um höhere und vorhersehbarere Ernteerträge zu erzielen. In den letzten 60 Jahren haben wir eine Verringerung des Pestizideinsatzes pro Acre um 40% erlebt, und viele weniger sichere Substanzen wurden schrittweise abgeschafft. Das Aufkommen gentechnisch veränderter Pflanzen und die neuesten Durchbrüche in der Genbearbeitung ermöglichen eine weitere Reduzierung des Spritzens von Chemikalien auf den Feldern.

Etwa 20% der Weltbevölkerung lebt in Südasien. Aufgrund des indischen Kastensystems leben und bewirtschaften Bauern der niedrigsten Kasten auf Land, das eher regelmäßigen Überschwemmungen ausgesetzt ist, mit nachteiligen Folgen für ihre Reisernte. Gentechnisch veränderte Pflanzen lassen den Reis bis zu zwei Wochen unter Wasser und liefern dennoch hohe Erträge. Solche Technologien sind ein klarer Wendepunkt für die Armen und Hungrigen und sollten angenommen werden. Es gibt keinen humanitären Fall gegen sie, aber einen starken für sie.

Gene Editing Game Changer

Leider lehnen auch viele Kritiker von Pestiziden den Einsatz von Gen-Editing ab. Dies führt zu einem Dilemma, das uns letztendlich dazu bringt, dass weniger Lebensmittel produziert werden, während die globale Lebensmittelnachfrage weiter wachsen wird. Man muss kein Ökonom sein, um zu verstehen, dass dies zu höheren Lebensmittelpreisen führen wird.

Wir alle haben die dramatische Flüchtlingskrise im Jahr 2015 mit all dem schrecklichen Leiden und Ertrinken von Kindern und Frauen im Mittelmeer gesehen. Während die Politik der EU diese Krise nicht ausgelöst hat, könnte unsere künftige Agrarpolitik weit verbreitete Hungersnöte in Teilen Afrikas und Asiens verursachen. Sie könnten eine Migrationswelle auslösen, die wir seit der Migrationszeit im 5. und 6. Jahrhundert nicht mehr gesehen haben. Die Geschichte zeigt leider, dass solche massiven unkontrollierten Migrationsströme meist auch mit Krieg und Unruhen einhergehen.

Die „westliche“ Idee, die Landwirtschaft ökologischer zu gestalten, wird zu einer globalen Inflation der Lebensmittelpreise führen und denen schaden, die bereits kämpfen. Wir teilen in der Tat alle einen Planeten und brauchen daher eine vernünftige Ernährungspolitik, die anerkennt, dass Hunger immer noch ein Problem ist, mit dem 10% der Weltbevölkerung täglich konfrontiert ist. Niemand, egal ob man Befürworter der Massenmigration ist oder nicht, sollte sich einen massiven Zustrom hungernder Menschen wünschen. Es sind mehrere Anpassungen der künftigen EU-Politik erforderlich, um viele negative Ursachen von Armut und Hunger abzumildern.

Die EU-Strategie „Farm to Fork“ muss dies berücksichtigen und darf unsere Fähigkeit, eine ständig wachsende Bevölkerung zu ernähren, nicht gefährden.

Fred Roeder ist Verbraucherschützer und Gesundheitsökonom aus Deutschland und hat an der Gesundheitsreform in Nordamerika, Europa und mehreren ehemaligen Sowjetrepubliken gearbeitet. Seit 2012 ist er assoziierter Forscher am Montreal Economic Institute. Fred ist auf Twitter zu finden @FredCyrusRoeder

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Welche Aspekte der einfachen chinesischen Diktatur bewundert Trudeau am meisten?

In der dieswöchigen Folge von The Western Voice wird der staatliche Sender erstmals erwähnt, da kürzlich bekannt wurde, dass CBC-CEO Catherine Tait zwischen ihrem $5,4 Millionen teuren Haus in Brooklyn, New York, und Ottawa im Jetset war, während normale Kanadier in einer miserablen Pandemiesperre verharren .

Morgan sinniert darüber, dass Trudeaus Besessenheit, China zu unterstützen, Sinn macht, wenn man bedenkt, dass Justin Trudeau seine Bewunderung für Chinas „einfache Diktatur“ zum Ausdruck gebracht hat, indem sie ihnen hilft, Dinge zu erledigen.

Eine Reihe von Dingen, die China in letzter Zeit getan hat: Kanadier als Geiseln nehmen, Journalisten verhaften und Mitglieder religiöser Minderheiten zusammentreiben. Wirklich bewundernswert.

Das gebrochene Versprechen der Kohlenstoffsteuer wird die Kanadier auf allen Ebenen teuer zu stehen kommen. Ein Beispiel von nur einem landwirtschaftlichen Bewässerungskollektiv aus Saskatchewan zeigt, wie die vorgeschlagene Erhöhung der CO2-Steuer um 467 Prozent wahrscheinlich viele Landwirte direkt aus der Industrie treiben wird, während die kanadischen Verbraucher einen Anstieg der Grundnahrungsmittelkosten erleben werden.

Morgan interviewt den North American Affairs Manager des Consumer Choice Center, David Clement, zu seinem jüngsten Artikel über Kanadas Versorgungsmanagementsystem und eine internationale Handelsinitiative namens „CANZUK“.

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ABBIAMO IL VACCINO: GRAZIE DIRITTI DI PROPRIETÀ INTELLETTUALE!

L'attuale quadro normativo per tutelare i diritti di proprietà nell'Unione Europea ha garantito la produzione rapida di unvaccino per la Covid-19. La nuova strategia per i farmaci della Commissione UE rischia però di penalizzare un sistema funzionante e limitare l'innovazione.

Il rapido sviluppo di vaccini altamente efficaci control la Covid-19 ist ein großer Nachfolger für die Menschheit. Il Regno Unito ist stato il primo paese al mondo ad approvare e somministrare una delle versioni del vaccino, es si spera che presto le agenzie farmaceutiche europee e statunitensi seguiranno l'esempio del Regno Unito.

PERCHÉ È IMPORTANTE

Grazie al solido quadro normativo che tutela la proprietà intellettuale (IP) dell'Unione Europea (UE), siamo stati in grado di avere il primo vaccino per la Covid-19 efficace sviluppato nell'UE (in Germania) da una società europea sostenuta da Venture Capitalist Europei. Il lavoro di ricerca e sviluppo portato avanti da molte aziende farmaceutiche e biotecnologiche innovative ha dimostrato quanto sia importante per l'umanità rispondere rapidamente alle nuove sfide.

Aziende kommen von BioNTech, Moderna und AstraZeneca mit schnellen Schritten, neuen und innovativen Impfstoffen, wahrscheinlichen Moltos, Renderanno il 2021 Migliore Rispetto Quest'ultimo anno. La prossima pandemia potrebbe essere dietro l'angolo. Considerando quanti esseri umani hanno sofferto e perso la vita e l'immenso tributo economico che grava sugli europei, dobbiamo far tutto il possibile per promuovere e non soffocare l'innovazione in Europa.

LA STRATEGIA FARMACEUTICA DELL'UE

La nostra resilienza può essere aumentata solo abbracciando l'innovazione (il permesso di use l'editing genico per i vaccini è un buon esempio) e garantendo agli investitori, come i risk capitalist e le aziende, incentivi e remunerazioni per gli investimenti. I diritti di proprietà intellettuale sono un fattore essenziale. La Neue Strategia Farmaceutica della Commissione riconosce i diritti di proprietà intellettuale come una salvaguardia per l'innovazione, ma parla anche in modo aggressivo di centralizzare le Decisioni sui prezzi e sui rimborsi lontano dagli Stati membri e verso un approccio europeo unificato. Questa potrebbe non essere una buona notizia per la nostra capacità di resistenza di fronte a future crisi sanitarie.

NON POSSIAMO TORNARE INDIETRO

La pandemia ha peggiorato le finanze pubbliche e individuali con il rischio di ridurre l'accessibilità dei pazienti a molti farmaci in tutte le aree europee. Per impedire che ciò accada e mantenere elevati incentivi all'innovazione dobbiamo concentrarci sulla creazione di maggiore prosperità e migliorare le prospettive di crescita economica. Fattori criti per migliorare anche i sistemi sanitari e l'accesso all cure e alle terapie avanzate. Una forte retorica volta a erodere i diritti brevettuali è una pericolosa sciabola che potrebbe ridurre la nostra capacità di innovare in futuro e trovare cure per molte malattie conosciute che non possiamo ancora curare.

UN VACCINO CONTRO LA BUROCRAZIA

Dobbiamo riconoscere che ci sono disparità nei livelli di ricchezza tra gli Stati membri dell'UE, e non possiamo avere un approccio unico per tutti. L'uniformazione dei prezzi dei farmaci in tutta l'UE potrebbe ritardarne l'introduzione con conseguenze gravi sul piano dell'accessibilità e della disponibilità. Invece di dichiarazioni forti per negoziare la riduzione dei prezzi dei farmaci, la Commissione dovrebbe abbracciare l'innovazione e lavorare anche sulla sulla reciprocità delle approvazioni dei farmaci in tutta l'area OCSE. Perché i cittadini dell'UE dovrebbero aspettare molto più tempo che l'EMA approvi i vaccini quando questi si sono già dimostrati sicuri e disponibili per i residenti nel Regno Unito?

La Commissione UE dovrebbe mantenere gli attuali eccellenti standard di proprietà intellettuale e non intervenire nelle regole nazionali per le Decisioni sui prezzi e sui rimborsi. Inoltre, è fondamentale che i governancei si astengano dal proclamare i vincitori nella selezione dei nuovi trattamenti così come dei vaccini, mantenendo il principio di neutralità tecnologica. Il Governoro tedesco, ad esempio, è stato rapido a investire in un produttore di vaccini. Tuttavia, nonostante una massiccia iniezione di denaro dei contribuenti, un'altra azienda tedesca ha vinto la corsa per essere la prima ad avere un vaccino efficace. L'Europa è la patria della metà delle prime dieci aziende farmaceutiche del mondo. Non dovremmo mettere a repentaglio questa posizione, ma puntare a crearne altre, favorire l'innovazione e la libera concorrenza nell'Unione Europea.

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US-Aufsichtsbehörden kämpfen mit Regeln für aromatisierte E-Liquids

Die Dampfindustrie steht weiterhin vor mehreren regulatorischen Herausforderungen. Eine der größten Herausforderungen dabei ist der scheinbar endlose Kampf gegen Geschmacksverbote für E-Liquids. Wie die meisten Dampfer Ihnen sagen werden, sind Aromen maßgeblich daran beteiligt, ehemalige Raucher davon abzuhalten, zu brennbaren Zigaretten zurückzukehren. Aromen sind jedoch auch das, was viele Branchenregulierer und Anti-Dampf-Befürworter sagen, die Jugend dazu verleiten, das Dampfen auszuprobieren.

Während Vape Live, einer dreitägigen virtuellen Messe und einem Seminar, das von einem in Irland ansässigen Unternehmen veranstaltet wird Dampfrunde waren Geschmacksrichtungen und Geschmacksverbote in den Vereinigten Staaten, dem größten Dampfmarkt der Welt, Trendthemen. Carlo Infurna Wangüemert, Dampfmarktanalyst bei ECigIntelligence, einer regulatorischen Forschungsressource für die E-Zigaretten- und Tabakalternativenindustrie, erörterte die jüngsten Markttrends und die Faktoren, die den US-Dampfmarkt beeinflussen.

Wangüemert sagte, dass mehrere Faktoren den US-Markt beeinflussen: die E-Zigaretten- oder Vaping-Use-assoziierte Lungenverletzung (EVALI), die Covid-19-Pandemie und die Premarket-Tabakproduktanwendungen (PMTAs) der US-amerikanischen Food and Drug Administration (FDA). Er sagte, dass Covid-19 das Marktwachstum nicht so sehr beeinflusst habe wie das Verbraucherverhalten.

„Wir haben [während der Covid-19-Krise] eine Verringerung der Kaufgelegenheiten und eine Zunahme der Korbgrößen festgestellt“, sagte er. „Wir haben auch beobachtet, dass die Verbraucher vor der Krise viel gekauft haben, um im Falle eines Lockdowns genügend Vorräte zu haben, und dies könnte auch die Angebotsseite beeinträchtigt haben, da viele unabhängige Geschäfte schließen mussten oder einen erheblichen Umsatzrückgang erlitten haben.“

In Bezug auf die Versorgung sieht Wangüemert, dass die PMTAs die Vielfalt auf dem Markt drastisch reduzieren, da viele Marken versuchen werden, ihre Angebote so einfach wie möglich zu halten. Vor dem Verbot der FDA für vorgefüllte aromatisierte Vape-Pods machten diese Produkte die Hälfte des US-Vape-Marktes aus. Jetzt gibt es laut Wangüemert einen Anstieg bei Einweg-E-Zigaretten und nachfüllbaren Pod-Systemen. Er sagte, dass dies zu mehreren Innovationen bei der Aromaausgabe geführt habe, wie beispielsweise besseren Spulen in offenen Pod-Systemen.

„Grundsätzlich versuchen Hardwarehersteller, neue Funktionen zu entwickeln und die Funktionalität ihrer Geräte zu verbessern, um sie klein, aber komplex genug zu machen, um die Bedürfnisse aller Dampfer abzudecken“, sagte Wangüemert und nannte Innovationen, die es Dampfern ermöglichen, die Temperatur zu ändern oder von Mund zu Mund zu wechseln -Lunge zu Direkt-zu-Lunge mit nur einer Taste als Beispiele.

Nachfüllbare Pod-Systeme sind laut ECigIntelligence-Daten der am schnellsten wachsende Trend in der Dampfindustrie. Dies liegt daran, dass sie eine größere Auswahl an aromatisierten E-Liquids anbieten. Vorgefüllte Kapseln gehen jedoch zurück, da die einzigen verfügbaren Aromen, Tabak und Menthol, weniger Komplexität erzeugen.

„Vorgefüllte Kapseln … zeigen ziemlich gut, wie sich Regulierung auf den Markt auswirken kann“, sagte er. „Dieses Verbot wird online vollständig durchgesetzt, da derzeit nur diese beiden Geschmacksrichtungen angeboten werden. Wir haben einen anhaltenden Rückgang der Komplexität ihrer Aromen beobachtet. Tabak ist [jetzt] wahrscheinlich der wichtigste Geschmack in vorgefüllten Pads.“

Der US-Markt hat auch einen Anstieg der Nikotinstärken erlebt, was hauptsächlich auf die wachsende Popularität von Nikotinsalzen zurückzuführen ist. Wangüemert sagte, dass E-Liquids auf Nikotinsalzbasis in den letzten drei Jahren zu Lasten von Freebase-Liquids kontinuierlich an Boden gewonnen haben. „Es ist jedoch auch interessant darauf hinzuweisen, dass die durchschnittliche Nikotinstärke von Nikotinsalzen langsam abnimmt“, sagte er.

Auch Fruchtaromen nehmen laut Wangüemert auf dem US-Markt stetig zu. Er sagte, dass Frucht-E-Liquids, Dessert- und Süßigkeitenaromen alle die Top-5-Positionen bei Aromen für den Verkauf von E-Liquids im Jahr 2020 einnehmen das Wachstum dieser Kategorie“, sagte er und fügte hinzu, dass Getränkearomen ebenfalls schnell wachsen, wobei Limonaden ein erhebliches Wachstum verzeichnen. „Dies könnte auch mit der Beliebtheit von Früchten zusammenhängen, da Limonaden diese wahrscheinlich enthalten“, erklärte er.

In Bezug auf Tabak- und Mentholaromen erklärte Wangüemert, dass tabakhaltige E-Liquids im Allgemeinen Tabak als Hauptaroma haben. Menthol ist jedoch viel beliebter als Ergänzung zu anderen Geschmacksrichtungen, wie z. B. Früchten.

„Nur 13 Prozent der Produkte, die Menthol enthalten, haben Menthol als Hauptgeschmack. Aber [für] die anderen 87 Prozent ist Menthol eine Ergänzung oder ein Kühlmittel, das besonders in der Kategorie Obst beliebt ist“, sagte er. „Natürlich sind diese 87 Prozent der E-Liquids, die Menthol enthalten, die es nicht als Hauptgeschmack haben, stärker potenziellen Verboten ausgesetzt als reine Mentholaromen, die bereits ausgeschlossen wurden. Unsere Vape-Shop-Umfrage 2019 weist jedoch darauf hin, dass Menthol und Tabak nur einen kleinen Prozentsatz der Einnahmen von Vape-Shops ausmachen, was bedeutet, dass Geschmacksverbote auf staatlicher Ebene oder sogar die Folgen des PMTA ihr Einkommen und den Vape-Markt im Allgemeinen stark schmälern könnten das Angebot und die Vielfalt an E-Liquids wurden stark reduziert.“

Yael Ossowski, stellvertretende Direktorin des Consumer Choice Center (CCC), einer Verbrauchervertretung, sagte ebenfalls während Vape Live, dass Geschmacksverbote in vielen US-Bundesstaaten einen großen Einfluss auf das Wachstum des Dampfmarktes gehabt hätten. Staaten mit strengen Geschmacksverboten haben große Rückgänge erlebt, wobei viele Dampfer in diesen Staaten zu brennbaren Produkten zurückgekehrt sind.

Dies veranlasste seine Organisation, Staaten nach Dampfvorschriften und den Auswirkungen, die diese Vorschriften auf den Dampfmarkt hatten, einzustufen. Die Gruppe untersuchte, wie alle 50 Staaten mit Geschmacksbeschränkungen und Steuern konfrontiert waren und ob der Staat Online-Verkäufe erlaubte. Der CCC gab jedem Bundesstaat eine Anzahl von Punkten, je nachdem, wie stark die Verbraucher den Kriterien unterworfen waren. Staaten, die zwischen 0 und 10 Punkten erzielten, erhielten ein F, 11 bis 20 Punkte ein C und 21 bis 30 Punkte ein A.

Die Staaten, die am besten zum Dampfen geeignet sind, wurden auf der entsprechenden Tabelle grün gefärbt, während die schlechtesten Staaten rot und Mittelgrundstaaten gelb gefärbt wurden. „Für grüne Staaten haben wir South Carolina, Georgia; wir haben Iowa, Virginia, Florida, Texas und Oregon. Sie werden natürlich die roten Staaten bemerken, die Orte, an denen wir es mit teilweisen Geschmacksverboten, hohen Steuern und Versandbeschränkungen zu tun haben, es gibt sechs davon.

Orte wie Kalifornien, New York. Sie haben New Jersey, Massachusetts, Rhode Island und Illinois“, sagte Ossowski. „Jetzt haben wir unsere Staaten in Gelb. Das sind Orte, die in der Vergangenheit ein Geschmacksverbot hatten, und vielleicht haben sie es abgeschafft, oder es ist noch nicht in Kraft getreten. Sie haben einige Steuern. Es ist wahrscheinlich ein bisschen gemäßigter als definitiv diese roten Zustände. Und es gibt weniger Versandbeschränkungen. Die Leute können ihre Vaping-Produkte online bestellen.“

Einer der schlimmsten Staaten, New York, hat einen Steuersatz von 20 Prozent des Einzelhandelspreises. Der Online-Verkauf ist verboten und alle aromatisierten Produkte, außer Tabak und Menthol, sind verboten. Diese Staaten mit niedrigen Rankings sind laut Ossowski auch anfällig für andere negative Auswirkungen auf den Dampfmarkt, wie z. B. einen wachsenden Schwarzmarkt.

Kalifornien hat auch ein landesweites Verbot, das am 1. Januar 2020 in Kraft treten soll. Kalifornien hat auch mehrere Städte, wie San Francisco, die Dampfprodukte vollständig verboten haben. Es sollte beachtet werden, dass sich Geschmacksverbote in Kalifornien typischerweise nur auf Nikotin-Dampfprodukte konzentrieren, nicht auf Marihuana-Dampfprodukte. Dies ist besonders verwirrend, da die US-amerikanischen Centers for Disease Control and Prevention (CDC) erklärt haben, dass die Angst vor der EVALI-Lungenkrankheit durch Schwarzmarkt-Marihuana-Dampfprodukte verursacht wurde, nicht durch Nikotinprodukte.

„Es gibt eine Menge Arbeit, die von einigen sehr unternehmungslustigen jungen Journalisten geleistet wurde, die alles über den Schwarzmarkt in Bezug auf aromatisierte Dampfprodukte detailliert beschreiben. Und das keimt gerade erst in New York auf“, erklärt Ossowski. „Darüber könnte noch viel mehr stehen. Wir werden sehen. Es gibt nicht die größte Mainstream-Berichterstattung darüber.“

Einer der Hauptgründe, warum der CCC die Daten zusammengestellt und die Bundesstaaten in eine Rangfolge gebracht hat, ist, dass die Verbrauchergruppe nicht möchte, dass andere Bundesstaaten Staaten wie Kalifornien und Illinois folgen, indem sie aromatisierte Dampfprodukte verbieten oder einschränken. Ossowski sagte, dass diese Verbote der öffentlichen Gesundheit abträglich seien.

"Es ist sehr gefährlich. Indem Sie es teurer machen und die Menschen oft auf den illegalen Markt drängen, sehen Sie nicht nur, dass Ihr Preis steigt, sondern Sie machen es den Menschen auch schwerer, die Produkte zu erwerben, die sie vom Tabak weggebracht haben benutzen. Und wir dachten, wir würden tatsächlich ihr Leben retten und ihr Leben verbessern. Aber was wir meistens sehen, ist, dass der Gesetzgeber es schwieriger macht“, sagte er. „Sie machen es schwieriger, und sie stellen tatsächlich viel umständlichere Barrieren in den Weg, damit Sie und ich nicht auf diese Produkte zugreifen können. Wir müssen uns wirklich auf Gesetze, Politiken, Studien konzentrieren, um herauszufinden, wer die gesetzgebenden Vorkämpfer sind, an die wir uns in den Gesetzgebern der Bundesstaaten oder in der Bundesbürokratie wenden können, um sicherzustellen, dass wir bessere Gesetze haben, die Schaden ermöglichen Reduzierung, die es uns ermöglichen wird, weiterhin Vaping-Produkte zum Verkauf anzubieten.“

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Seien wir realistisch in Bezug auf neue digitale Vorschriften

Die Europäische Kommission wird heute einen Regulierungsrahmen vorstellen, der die Zukunft der europäischen Digitalwirtschaft für die kommenden Jahre bestimmen wird.

Sowohl der Digital Services Act (DSA) als auch der Digital Markets Act zielen darauf ab, wettbewerbswidriges Verhalten auf digitalen Plattformen zu verhindern und zu bestrafen, insbesondere auf solchen mit mindestens 45 Millionen Nutzern. Obwohl dies in der Tat ein historischer Moment für die EU-Digitalpolitik ist, wird erwartet, dass die Natur dieser neuen Vorschriften strafend sein wird und ihre unbeabsichtigten Folgen Innovationen bremsen könnten, anstatt sie zu fördern.

Das Ziel der Europäischen Kommission, große Tech-Giganten in Schach zu halten, wurde schon vor langer Zeit offensichtlich, als sich die kartellrechtlichen Ermittlungen gegen Facebook und Amazon zu häufen begannen. Die Hexenjagd nach wettbewerbswidrigen Handlungen war das Ergebnis des Mangels an Wissen der Europäischen Union über diese neuen Plattformen und die Funktionsweise ihrer Lieferketten.

Der Digital Markets Act wird versuchen, dieses Problem durch eine Reihe von Ex-ante-Beschränkungen zu lösen, die großen Plattformen sagen, wie sie sich verhalten sollen, und durch die Einführung eines neuen Wettbewerbsinstruments.

Damit diese Entwicklungen gerecht und weniger schädlich sind, als es auf den ersten Blick scheint, müssen mehrere Faktoren berücksichtigt werden. Erstens sollten Ex-ante-Regulierungen auf große Online-Plattformen beschränkt werden, die als Gatekeeper gelten, und sie nicht diskriminieren. Bedenkt man jedoch, dass sich die Welt der Technologie ständig weiterentwickelt und die Wirtschaft als solche sich verändern wird, ist es von entscheidender Bedeutung, dass Ex-ante-Vorschriften präzise, unkompliziert und flexibel sind.

Ein kluger Ansatz wäre es, ein Gleichgewicht zu finden zwischen der Notwendigkeit, den Wettbewerb zu wahren, und der liberalen Haltung, Innovationen nicht zu blockieren. Ein Verhaltenskodex, der spezifische auf die schwarze Liste gesetzte Praktiken darlegt, ohne dass die Kosten für die Einhaltung für Gatekeeper übermäßig hoch werden, und der die Wahlmöglichkeiten der Verbraucher bewahrt, könnte einem Kompromiss so nahe wie möglich kommen.

Die digitale Verzögerung der Europäischen Union ist bekannt, und wenn wir unsere digitale Wirtschaft noch mehr bremsen, könnten wir uns in der Warteschlange für wirtschaftliches Wohlergehen wiederfinden. Das zentrale Narrativ der EU-Digitalreform sollte nicht „Lasst uns die Big Tech für ihren Erfolg bestrafen“, sondern „Lasst uns günstige Bedingungen für kleinere Unternehmen schaffen“ lauten. Der Kommission weitreichende Untersuchungsbefugnisse zu gewähren, wäre ein äußerst gefährlicher Schritt, der wahrscheinlich nur die Zahl kostspieliger Kartellverfahren erhöhen wird, ohne die Innovation anzukurbeln.

Entgegen der weit verbreiteten Meinung sind Lock-Ins allzu oft eine bewusste Entscheidung der Verbraucher in Ermangelung einer praktikablen Alternative. Daher sollten wir es kleinen Unternehmen erleichtern, ins Geschäft einzusteigen, und den bestehenden, gleichberechtigt mit den erfolgreicheren Unternehmen zu arbeiten. Wir brauchen einen digitalen Binnenmarkt, der die Bedürfnisse der
Europäische Verbraucher ohne externe Eingriffe.

Obwohl Transparenz ebenso wichtig ist, sollten ihre Bestrebungen uns nicht über den Tellerrand hinausführen und die Kommission in ein Ehrlichkeitstribunal verwandeln. Die bloße Tatsache, dass digitale Plattformen den Europäern einen Mehrwert bringen, ist ein klarer Hinweis darauf, dass sie etwas richtig machen, und das sollte der Kommission ausreichen, um sich ein Urteil zu bilden. Die unübertroffene Nachfrage nach digitalen Diensten, einschließlich derjenigen, die von großen Technologieunternehmen bereitgestellt werden, spricht für sich.

Der beste Weg, die heutige Präsentation des neuen digitalen Rahmens anzugehen, besteht darin, seine unbeabsichtigten Folgen realistisch einzuschätzen. Unser Ziel sollte Innovation sein, nicht Bestrafung.

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Der illegale Handel mit Pestiziden boomt: Warum?

Wenn der legale Markt nicht sicherstellen kann, dass Landwirte Pestizide kaufen können, um ihre Ernte vor verschiedenen Krankheiten zu schützen, dann füllt der Schwarzmarkt die Lücke.

Pestizide gehören zu den am stärksten regulierten Produkten der Welt. Wären illegale Pestizidhersteller ein einziges Unternehmen, wären sie das vierte größten Unternehmen mit Wert in der Welt. Eine Überregulierung von Pestiziden verringert nicht die Nachfrage nach ihnen. 2018 das Amt der Europäischen Union für geistiges Eigentum angegeben dass in Europa jährlich 1,3 Milliarden Euro durch gefälschte Pestizide verloren gehen. Dies entspricht 299 Millionen Euro und 500 verlorenen Arbeitsplätzen pro Jahr in Deutschland, 240 Millionen Euro und 500 verlorenen Arbeitsplätzen pro Jahr in Frankreich und 185 Millionen Euro und 270 verlorenen Arbeitsplätzen pro Jahr in Italien.

Im Zeitraum 2011-2018 wurde der Umsatz von Pestizide blieb in der EU stabil bei rund 360 Millionen Kilogramm pro Jahr. In Frankreich zum Beispiel ist die Nachfrage nach Pestiziden trotz des Bestrebens der Regierung, den Einsatz von Pestiziden zu senken, zurückgegangen auferstanden in den vergangenen Jahren erheblich. In Polen ist die Verkauf von Pestiziden in Polen im Jahr 2016 um 12,3 Prozent gegenüber 2011 gestiegen. Dies sagt uns, dass solange diese Überregulierung von Pestiziden nur den illegalen Handel ankurbelt.

Ein kurzer Blick auf die Rolle von Pestiziden in der Landwirtschaft erklärt, warum die Nachfrage nach ihnen anhält. Pestizide tragen entscheidend dazu bei, Landwirte bei der Vorbeugung und/oder Bekämpfung von Schädlingen wie Unkräutern, Insekten und Pflanzenpathogenen zu unterstützen. Die deutlichen Ertragssteigerungen der letzten 80 Jahre sind vor allem auf den Einsatz von Pestiziden zurückzuführen. Ohne Pestizide, Ernte Verluste zwischen 50 und 80 Prozent liegen. Zwischen 1950 und heute die Weltbevölkerung wuchs zwischen 1% und 2% pro Jahr, und um sicherzustellen, dass es gefüttert werden kann, müssen wir natürliche Ressourcen auf intelligente Weise nutzen, und genau das ermöglichen uns Pestizide.

Da die Gesundheit der Verbraucher jedoch von größter Bedeutung ist, müssen Pestizide den erforderlichen strengen Sicherheitsbewertungen durch Lebensmittelsicherheitsbehörden unterzogen werden. Die Hauptgefahr im Zusammenhang mit gefälschten Pestiziden – jetzt geschätzt vertreten 14% des europäischen Pflanzenschutzes – ist, dass sie ungeprüft bleiben und damit das Leben der europäischen Verbraucher gefährden. Ungeprüfte Produkte können auch zu erheblichen Ernteverlusten führen, was zu einer geringeren Ernährungssicherheit für die europäischen Verbraucher führt.

Wenn es um den illegalen Handel mit jeglichen Produkten geht, nicht nur um Pestizide, scheint eine Verschärfung der Zollkontrollen und Strafen für Fälschungsaktivitäten eine einfache Lösung zu sein. Keines von beiden kann das Problem vollständig lösen, was jedoch ihre Bedeutung als Instrument zur Bekämpfung des illegalen Handels nicht untergräbt. Obwohl wir uns als Gesellschaft alle darauf einigen können, dass die Bekämpfung illegaler Pestizide, die eine Bedrohung unserer Gesundheit darstellen, unsere Priorität sein sollte, werden nur sehr wenige Verbrechen vor Gericht gebracht. In Slowenien wurden beispielsweise 27,1 Tonnen illegale Pestizide eingesetzt erkannt und beschlagnahmt seit 2003 nach Angaben der Finanzverwaltung, und dennoch wurde kein einziges Gerichtsverfahren eingeleitet. In Belgien und Italien ist die Situation nicht besser. Das Justizsystem sollte illegalen Handel ernster nehmen.

Neben der Verschärfung der Strafen für illegalen Handel ist es auch notwendig, gemeinsam mit den Bauernverbänden die Zulassung dieser Stoffe neu zu bewerten. Wenn das Verbot eines chemischen Stoffes in einem Mitgliedsstaat oder auf EU-Ebene zu einem Anstieg des illegalen Handels führt, muss eine umfassende Diskussion stattfinden, um eine Lösung zu finden, die für Verbraucher und Hersteller funktioniert. Die Nachfrage nach Pestiziden wird nicht einfach verschwinden, und wir können das Problem des boomenden illegalen Handels nicht lösen, indem wir die Augen vor dieser Tatsache verschließen. Wir brauchen einen Kompromiss, um das Wohlergehen der europäischen Verbraucher zu schützen.

Ursprünglich veröffentlicht hier.

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