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Tag: 4. Februar 2020

Großer Sieg für Cannabiskonsumenten in Ontario

Die Angelegenheit

Im Jahr 2017 schlug die liberale Regierung von Ontario vor, langsam staatseigene und von der Regierung betriebene Cannabisläden einzuführen. Nach diesem Plan würde es in Ontario überhaupt keinen privaten Einzelhandel für Cannabis geben, wodurch der Markt stark reguliert und unfair von den Bürgern finanziert würde.

Die Antwort des CCC

Bei der Bundestagswahl 2018 hat die Liberale wurden von der Macht gefegt. Das Consumer Choice Center nutzte diese Gelegenheit, um der neuen konservativen Regierung die Probleme und Risiken für die Verbraucher aufzuzeigen, wenn die Regierung nur staatseigene Cannabis-Einzelhandelsgeschäfte zulassen würde. David Clement, unser Nordamerika-Manager, schrieb einen Kommentar im Globe and Mail und trat in mehreren Medienauftritten auf, in denen er argumentierte, dass die Regierung ihren Kurs ändern und einen privaten, nicht begrenzten Einzelhandelsmarkt für den Cannabisverkauf einführen sollte.

Der Aufprall

Infolgedessen wurde David Clement von der Regierung eingeladen, vor dem Sozialausschuss der Legislative zu den Vorschriften auszusagen. In dieser Aussage setzte er sich leidenschaftlich für den privaten Einzelhandel ohne Deckelung und seine Vorteile für die Verbraucher ein.

Infolgedessen wurde David Clement von der Regierung eingeladen, vor dem Sozialausschuss der Legislative zu den Vorschriften auszusagen. In dieser Aussage setzte er sich leidenschaftlich für den privaten Einzelhandel ohne Deckelung und seine Vorteile für die Verbraucher ein.

Der Generalstaatsanwalt von Ontario gab dann auf dem Boden der Legislative bekannt, dass die Provinz mit einem privaten, unbegrenzten Einzelhandelsmarkt für Cannabis voranschreiten würde. Der Generalstaatsanwalt zitiert unseren North America Affairs Manager, David Clement, und die Arbeit des Consumer Choice Center, in der Begründung für das Modell ohne Deckel.

Es gab ein paar Schluckauf, und die Regierung ruderte während dieses Prozesses ein wenig zurück. Sie begannen mit einem Lotterieverfahren, um Lizenzen für Einzelhandelsgeschäfte zu vergeben. Wir machten wieder einmal Medienauftritte und baten die Regierung, ihr Wort zu halten und mit ihrem ursprünglichen Plan fortzufahren. Wir wurden im Globe and Mail veröffentlicht und sagten, die Regierung solle das Lotteriesystem beenden.

Endlich, Ende 2019, Die Regierung kündigte an, dass sie ab dem 1. Januar 2020 mit einem ungedeckelten privaten System fortfahren würden.

Bis heute wacht das Consumer Choice Center über die Regierung und die Provinz Ontario, um die Wahlmöglichkeiten der Verbraucher und den freien Markt zu schützen und zu verteidigen.

Infolgedessen wurde David Clement von der Regierung eingeladen, vor dem Sozialausschuss der Legislative zu den Vorschriften auszusagen. In dieser Aussage setzte er sich leidenschaftlich für den privaten Einzelhandel ohne Deckelung und seine Vorteile für die Verbraucher ein.

Der Generalstaatsanwalt von Ontario gab dann auf dem Boden der Legislative bekannt, dass die Provinz mit einem privaten, unbegrenzten Einzelhandelsmarkt für Cannabis voranschreiten würde. Der Generalstaatsanwalt zitiert unseren North America Affairs Manager, David Clement, und die Arbeit des Consumer Choice Center, in der Begründung für das Modell ohne Deckel.

Es gab ein paar Schluckauf, und die Regierung ruderte während dieses Prozesses ein wenig zurück. Sie begannen mit einem Lotterieverfahren, um Lizenzen für Einzelhandelsgeschäfte zu vergeben. Wir machten wieder einmal Medienauftritte und baten die Regierung, ihr Wort zu halten und mit ihrem ursprünglichen Plan fortzufahren. Wir wurden im Globe and Mail veröffentlicht und sagten, die Regierung solle das Lotteriesystem beenden.

Endlich, Ende 2019, Die Regierung kündigte an, dass sie ab dem 1. Januar 2020 mit einem ungedeckelten privaten System fortfahren würden.

Bis heute wacht das Consumer Choice Center über die Regierung und die Provinz Ontario, um die Wahlmöglichkeiten der Verbraucher und den freien Markt zu schützen und zu verteidigen.

Nous avons besoin de pesticides contre les espèces invasives

Avec toutes les tendances politiques demandant une absence complète de pesticides, rappelons-nous des pestes qu'il faut que nous évitons. Beaucoup de ces pestes représentent de vraies urgences pour notre système alimentaire.

Les espèces invasives sont des plantes et des animaux qui sont amenés dans un nouvelhabitat et qui intimident les espèces indigènes au point où beaucoup ne peuvent pas survivre. Elles sont généralement plus robusts, plus exigeantes et se reproduisent beaucoup plus rapidement. Rien de neuf, rien d’inconnu. Il s'avère que le concept d'un fléau d'insectes est meme un des symptômes les plus dévastateurs de la colère de Dieu dans la bible.

Dans le livre biblique de l'Exode, le huitième fléau que Yahvé inflige à l'Égypte est celui des sauterelles : „Elles couvraient la surface du sol jusqu'à ce que le sol en soit noirci. Elles dévorèrent toute la verdure du pays et tous les fruits des arbres que la grêle avait laissés. Il ne restait plus de verdure sur aucun arbre ou plante des champs dans tout le pays d'Egypte.“

En 2015, un tel fléau avait atteint la Russie, qui avait enregistré la zerstört de 10% des récoltes aprèsune attaque monstrueuse par des milliers de sauterelles. Devant leur champs, des agriculteurs ruinés et désespérés. Leurs pertes sont énormes. Plus tard, des consommateurs konfrontiert avec des prix à la hausse, effet le plus bouleversant pour les menages à faible revenu.

Se defendre contre les pestes

A travers les pesticides, la chimie moderne nous a donné les outils pour nous defendre contre les pestes sur nos champs et dans nos villes. Au lieu de perdre une grande partie de nos rendements, comme le souffraient nos ancêtres, ces produits nous ont garantis une plus grande sécurité alimentaire. De nos jours, les pesticides sont considérés comme indésirables. Certes, un produit chimique délicat nécessite une usage professionnelle et précise, et Certainement pas tous les agriculteurs ont fait preuve de la même rigueur. Ceci dit, la démonisation générale de toute use de pesticide ne revient pas à une politique intelligent ou même bon pour l'environnement.

Aux Pays-Bas, le Centre de connaissances et de conseils sur les animaux nuisibles avertit dans les principaux journaux que de nouvelles infestations de rats sont imminentes alors que le pays s'apprête à restreindre l'utilisation de la mort-aux-rats à partir de 2023. Il a déjà été interdit dans les zone extérieures, mais désormais l'utilisation à l'intérieur sera également interdite, comme l'indiqueRTL Nieuws.

L’invasion des rats à Paris nous en dit des mots. Im Januar 2018 hat die Regierung eine Lancé-Kampagne gegen Ratten von 1,7 Millionen Euro für den Namen der Rongeurs Gênants in Anspruch genommen. Insgesamt 4950 Anti-Ratten-Operationen in der EU zwischen Januar 2018 und Juli 2018 gegen 1700 Jahre zuvor. Non seulement ces bemühungen ne se sont pas prouvés efficaces, ils n'ont pas non plus réussi à apaiser ceux qui désirent aucun effet humain sur l'environnement qui nous entoure. Une pétition en ligne dénonçant le „genocide des rats“ und fordere a it la fin des exterminations. Ellea recueilli 26 000 Unterschriften.

La réalité est aussi gênante que les gênants: nos villes ne sont pas à „partager“ avec les rats, car sinon les conséquences de notre inaction mèneront à des problèmes de santé considérables. La même wählte s'appliquent à d'autres espèces.

Des dommages annuels d'une valeur de 12 milliards d'euros

Eine Etüde des chercheurs dans Biologie Briefe, Dont la Français Céline Bellard PhD, ein Montré en 2016 que „les espèces exotiques sont la deuxième bedrohen la plus courante associée aux espèces qui ont complètement disparu depuis l'an 1500“. Ils ajoutent: „Les espèces exotiques sont répertoriées comme ayant contribué à l’extinction de plus de la moitié de toutes les espèces de nos analyses, et de près des deux tiers des vertébrés.“

Dans l'Union européenne, ce problem est important. L'UE subit des dommages d'une valeur de 12 milliards d'euros en raison des effets de ces pestes sur la santé humaine, des endomagées et des pertes agricoles. Selonun rapport de l’année 2015, 354 espèces sont ainsi menacées: 229 Tiere, 124 Pflanzen und 1 Champignon. Les espèces invasives umfasst: les limaces espagnoles, la bactérie xylella fastidiosa, ou la longicorne asiatique. Le lecteur traditionnel n'aura aucun concept direct à quoi ils ressemblent, et puisqu'il n'y d'équivalences domestiques, il n'y aura probablement pas de pétition non plus.

La prudence envers les pesticides ne peut et ne doit jamais devenir une obsession idéologique. L'utilisation control, et scientifiquement basée restent une nécessité absolut pour nos agriculteurs et nos villes. Sinous arrivons pas à comprendre ce fait entscheidend, nous deviendrons notre propre fléau.

Ursprünglich veröffentlicht hier.


Das Consumer Choice Center ist die Interessenvertretung der Verbraucher, die die Freiheit des Lebensstils, Innovation, Datenschutz, Wissenschaft und Wahlmöglichkeiten der Verbraucher unterstützt. Unsere Schwerpunkte liegen in den Bereichen Digital, Mobilität, Lifestyle & Konsumgüter sowie Gesundheit & Wissenschaft.

Der CCC vertritt Verbraucher in über 100 Ländern auf der ganzen Welt. Wir beobachten regulatorische Trends in Ottawa, Washington, Brüssel, Genf und anderen Hotspots der Regulierung genau und informieren und aktivieren die Verbraucher, um für #ConsumerChoice zu kämpfen. Erfahren Sie mehr unter verbraucherwahlzentrum.org

DIE WELTGESUNDHEITSORGANISATION VERSAGT MAL WIEDER: DIESMAL CORONAVIRUS

Letzte Woche, während des Weltwirtschaftsforums in Davos, konnte man den Generaldirektor der Weltgesundheitsorganisation (WHO) Tedros Adhanom Ghebreyesus noch lachend und entspannt über die Davoser Promenade schlendern sehen. Zu diesem Zeitpunkt sah die WHO noch keine internationale Gefahr in dem chinesischen Coronavirus. Trotz Berichten aus China von rapide ansteigenden Ansteckungen und Unklarheit darüber, wie offen die kommunistische Regierung in Peking mit den wirklichen Zahlen umgeht, gab sich der Chef der Genfer Behörde entspannt.

Inzwischen hat die WHO ihre ursprüngliche Einschätzung der Lage revidiert. So wird nun weltweit von einem hohen Risiko ausgegangen. Geschichte scheint sich hier wieder einmal zu wiederholen, schon 2014 reagierte die WHO mit monaten Verzögerung beim Ausbruch des tödlichen Ebolavirus in Westafrika.

Die wichtigste Aufgabe der WHO sollte in der internationalen Bekämpfung von Epidemien gesehen werden. Doch leider bringt sie zu viel Zeit mit Konferenzen und thematischen Auseinandersetzungen in ganz anderen Bereichen.

Nächste Woche tagt der geschäftsführende Vorstand der WHO vom 3. bis 8. Februar in Genf. Anstelle sich nun wirklich auf die wichtigsten Themen zu konzentrieren, wie zum Beispiel eine angeforderte und fehlerfreie Antwort auf den sich ausbreitenden Coronavirus, zeigt die Tagesordnung dieser Sitzung, wie die Behörde Zeit und Steuergelder mit peripheren Themen verschwendet.

Die Tagesordnung bringt eine ganze erste Seite mit Reformvorschlägen für Gesundheitssysteme hin zu universellen Krankenkassen. Solche Themen sollten zwar eher Teil von Innenpolitik sein, die WHO scheint aber ideologische Grabenkämpfe wichtiger zu finden als die globale Bekämpfung von Killerviren.

Auf den hinteren Seiten der Tagesordnung findet sich dann neben „gesundem Altern“ und der „Renovierung der WHO-Zentrale“ auch ein Plan für globale Pandemien.

Bevor es zu einer Krisenbewältigung auf der Tagesordnung kommt, wird es wahrscheinlich erstmal Tage und die Bekämpfung von einigen Patenten und geistigem Eigentum gehen. In den letzten Jahren hat sich die WHO zu einem zentralen Sprachrohr gegen Innovation und Privatwirtschaft gemausert. Die Verwässerung und langsame Abschaffung von Patenten auf Medikamenten sieht die WHO als bestes Mittel um steigende Gesundheitskosten zu verhindern. Dass Einfuhrzölle und Verbrauchssteuern auf Medikamente gerade in Schwellenländern oft 40% des Preises ausmachen, erwähnt die WHO lieber nicht. Allein in China geben Patienten über 5 Milliarden Euro pro Jahr nur für Zölle auf importierte Medikamente aus. Gerade in Zeiten eines massiven Virusausbruchs solltes solche unethischen Steuern in Frage gestellt werden.

Es war auch die Privatwirtschaft sterben parallel vier unterschiedliche Ebolaimpfstoffe in den letzten Jahren schnell und effektiv entwickelt hat. Ähnliches wird nun beim Coronavirus benötigt. Die Strategie der WHO Anreize bei der Medikamentenentwicklung zu entfernen könnte extrem negative Auswirkungen auf die Weltbevölkerung haben.

Es wäre dem WHO-Vorstand zu raten, sich weniger mit der Verschönerung seiner Büroräume auszusetzen, sondern eher mit der sofortigen Antwort auf massive Bedrohungen für die weltweite Gesundheit und globale Handelsströme, wie Ebola und das Coronavirus. Mit Budget von 2 Milliarden Euro pro Jahr und über 10% davon für Reisekosten veranschlagt, muss sich die WHO die berechtigte Frage stellen, ob die Behörde einem nicht massiv geschrumpft und auf ihre Kernaufgaben ausgerichtet werden muss.

Selbst als Befürworter des schlanken Staates sollte man die Notwendigkeit eines internationalen Koordinierungs- und Aktivierungsorgans im Bereich transnationale Epidemien sehen. Leider kommt die WHO dieser Aufgabe nur wenig nach.

Ursprünglich veröffentlicht hier.


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