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Tag: 10. Juni 2019

Juuls neuestes Spiel, um Washington, DC zu überleben: Gewinnen Sie schwarze Gesetzgeber

„Es ist an der Zeit, dass sich jemand an die Gemeinschaften wendet, die am meisten Hilfe benötigen“, sagte Jeff Stier, Senior Fellow am Consumer Choice Center und führender Verfechter des Dampfens, in einem Interview mit The Daily Beast.

Aber Stier räumte ein, dass die Strategie neben den potenziellen Vorteilen für die öffentliche Gesundheit auch einen politischen Vorteil hat.

„Wenn Sie Argumente wie ich oft über die Wahlmöglichkeiten der Verbraucher vorbringen, finden diese Argumente an der E-Zigaretten-Front nicht immer Anklang bei den Menschen, die eine unverhältnismäßig große Anzahl von Rauchern repräsentieren“, sagte Stier. „Sie dürfen Rand Paul also nicht dasselbe Argument vorbringen wie einem Kongressabgeordneten in der afroamerikanischen Gemeinschaft.“

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STELLUNGNAHME: Craft Beer-Gesetz ein Gewinn für Verbraucher, aber wir brauchen mehr Alkoholreform

Der stellvertretende Direktor des Consumer Choice Center, Yaël Ossowski, begrüßte den Schritt, sagte aber, dass mehr für eine echte Alkoholreform in North Carolina getan werden müsse.

„Dieses neue Gesetz wird es Brauereien ermöglichen, mehr Produkte im ganzen Bundesstaat zu expandieren und zu versenden, wodurch die Verbraucher in North Carolina einen besseren Zugang zu ihren bevorzugten handwerklichen Bieren erhalten. Das ist ein großer Gewinn für die Wahlmöglichkeiten der Verbraucher“, sagte Ossowski.

„Aber wir müssen noch weiter gehen, wenn wir eine echte Alkoholreform wollen. Sowohl im Repräsentantenhaus als auch im Senat gibt es Gesetzentwürfe, die Likörverkostungen vor Ort grünes Licht geben, es den Menschen endlich ermöglichen würden, ihren Alkohol online zu kaufen, und die Obergrenze dafür, wie viel Brennereien an Verbraucher verkaufen können, aufheben würden.

„Eine weitere große Priorität sollte sein Beendigung des staatlichen Monopols für den Verkauf von Spirituosen und das veraltete ABC-System, das die Kosten für die Verbraucher erhöht, Kapital falsch zuweist, das von Privatunternehmen besser genutzt wird, und Politikern und Verwaltungsbeamten als Wirtschaftsplanern zu viel Autorität statt Regulierungsbehörden einräumt.

„North Carolina in das 21. Jahrhundert zu führen, wenn es um die Alkoholpolitik geht, sollte eine Priorität für die Gesetzgeber der Bundesstaaten sein, und die jüngsten Schritte aus Raleigh sind ein willkommenes Zeichen“, sagte Ossowski.

Das Consumer Choice Center ist die Interessenvertretung der Verbraucher, die die Freiheit des Lebensstils, Innovation, Datenschutz, Wissenschaft und Wahlmöglichkeiten der Verbraucher unterstützt. Unsere Schwerpunkte liegen in den Bereichen Digital, Mobilität, Lifestyle & Konsumgüter sowie Gesundheit & Wissenschaft.

Der CCC vertritt Verbraucher in über 100 Ländern auf der ganzen Welt. Wir beobachten regulatorische Trends in Ottawa, Washington, Brüssel, Genf und anderen Hotspots der Regulierung genau und informieren und aktivieren die Verbraucher, um für #ConsumerChoice zu kämpfen. Erfahren Sie mehr unter verbraucherwahlzentrum.org.

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Könnte CBD traditionellen Einzelhändlern entrissen werden?

Yael Ossowski, stellvertretender Direktor des Consumer Choice Center, beschrieb sich selbst als „auf der Seite der Verbraucher“ und forderte die FDA auf, einige Standards und Vorschriften festzulegen, aber auch „Unternehmen und Marken zuzulassen. Nur so können Verbraucher zwischen guten und schlechten Produkten unterscheiden.“

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Mehr Lebensmittelgeschäfte in Toronto werden bald Schnaps führen

David Clement, North American Affairs Manager des Consumer Choice Centre (CCC) in Toronto, sagte, dass die Ankündigung ein Schritt in die richtige Richtung sei.

„Der Umzug hilft unterversorgten Regionen und maximiert gleichzeitig die Anzahl der Lebensmittelgeschäfte, die im Rahmen des Master Framework Agreement (MFA) zulässig sind. Es ist positiv, diese Änderungen zu sehen, während die Provinz den Prozess der Abschaffung der MFA durchläuft und den Alkoholverkauf in Convenience-Stores ermöglicht“, sagte Clement.

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Exporteur l'agroécologie en Afrique est unmoral [Tribüne]

Vers la fin du mois de juin, le „World Food Preservation Center“, en coopération avec l’Organisation des Nations Unies pour l’alimentation et l’agriculture (ONUAA), tiendra la première „Conférence internationale sur l’agroécologie transformant les systèmes agricoles et alimentaires en Afrique“, à Nairobi, Kenia. Das Ziel dieser Konferenz ist die Förderung der biologischen Landwirtschaft und der Nicht-OGM im Kader der „transformation sozio-ökonomischen“ Gesamtheit Afrikas. Eine malavisée réforme und non-scientifique, die eine Auswirkung auf die Parteien Afrikas und die Entwicklung hat, die auf dem Plus der Innovation beruhen.

La Faszination für l'agriculture biologique n'est pas nouvelle. Le gouvernement français augmente les subventions aux Exploitations Agricoles Biologiques dans le but d'atteindre 15% de production bio d'ici 2022. L'Allemagne et le Luxemburg se sont fixés des objectifs de 20% de production biologique d'ici 2025 et 2030 respektive.

Même la communauté internationale du développement a adhéré au concept, mais elle l'a porté à un tout autre niveau. Dirigés par l'Organisation des Nations Unies pour l'alimentation et l'agriculture (ONUAA), les programmes de développement et d'aide reposent de plus en plus sur l'adoption de l'agroécologie, qui prend l'agriculture biologique comme point de départ et ajoute une série de théories sociales et économiques visant à réaliser la „transformation totale“ de la production agricole, et meme la société dans son ensemble.

Selon sa définition originale, l'agroécologie est simplement l'étude des pratiques écologiques appliquées à l'agriculture. Ce qui a commencé comme science, cependant, s'est transformé en eine Politische Doktrin, qui non seulement exclut les technologies modernes telles que le génie génétique, les pesticides de dernière génération et les engrais synthétiques, mais qui exalte explizitement les avantages de l'agriculture „paysanne“ und „indigène“. Dans de nombreux cas, l'agroécologie décourage meme la mécanisation comme moyen de libérer les pauvres, et a une feindseligkeit à l'égard du commerce international.

Il ne faut cependant pas oublier que toutes les „transformations“ ne sont pas bonnes. Elles peuvent être également mauvaises, voire catastrophiques. Une étude récente menée par des militants pro-agroécologie a montré que l'application de leurs principes à l'Europe réduirait la productivité agricole de 35% en moyenne. Für ces Aktivisten, c'est positif, car de toute façon nous mangerions déjà trop en Europe. Il est difficile de voir comment une baisse pareille de la productivité parmi les régions les plus pauvres de cette planète – un pourcentage élevé de personnes souffrent actuellement de malnutrition – pourrait être autre choose qu'une calamité.

Issu d'une famille paysanne, je ne peux qu'être abasourdi à l'idée de débarrasser l'agriculture de la mécanisation. Mes ancêtres ont travaillé plus de 60 heures par semaine de dur labeur manuel et c'est l'agriculture moderne qui a pu les rendre plus productifs et leur donner du temps libre : quelque choose dont ils n'avaient jamais pu profiter auparavant.

Il n'y a rien de mal à pratiquer ce que l'on nomme aujourd'hui l'agriculture paysanne" sur une base purement volontaire, au sein d'une communauté de personnes qui aiment à retrouver un contact avec la nature (et/ ou s'infliger de terribles maux de dos). En fait, dans un monde occidental d'agriculture mécanisée, il est même soutenable de voir Certaines fermes fonctionner de cette façon (même si cela nécessite des subventions accrues), dans le but de satisfaire une clientèle nostalgique. Cependant, ce qui est vraiment troublant, c'est lorsque des militants de l'agroécologie et des institutions internationales censées se consacrer à la lutte contre la pauvreté sont prêts à déformer la réalité scientifique et à imposer leur idéologie à ceux qui peuvent le moins se le permettre.

Die Konferenz von Nairobi

La conférence qui se tiendra au Kenya ist eine Kombination deux événements qui devaient initialement être organisés en même temps. „Conférence de l'Afrique de l'Est sur l'intensification de l'agroécologie et du commerce écologique des produits biologiques“ und der „1. panafrikanische Kongreß über synthetische Pestizide, die Umwelt und die menschliche Gesundheit“. En parcourant la liste des organisateurs et des persons, il est à noter que les agences, institutions et organisations qui ne soutiennent pas l'agroécologie ou qui ont une véritable position scientifique à propos of herbicides et des OGM, ne seront pas présentes. Apparemment, Certaines personnes n'étaient pas censées gâcher la fête.

Et ce sera une fête. Du moins, si l'on croit que la fin justifie le fait de diffuser de fausses information sur les pesticides et les OGM.

Parmi les orateurs figurent les scientifiques Don Huber et Judy Carmen, qui ont tous deux fait des déclarations non-scientifiques – et all aussi discréditées – sur les OGM. Tyrone Hayes, der berühmteste Sohn der Affirmation, der Hauptverteidiger von Alex Jones, der Verschwörer von InfoWars, der Selon, der das Herbizid Atrazin enthält.rend les grenouilles homosexuelles“. Une telle invitation serait discréditante pour toute grande organisation, mais apparemment l'ONUAA/FAO ne semble pas s'en soucier.

Par l'intermédiaire des Nations Unies, ces politiques agroécologiques sont de plus en plus exigées par les organisations gouvernementales internationales et les ONG comme condition pour recevoir des aides financières. Maintenant qu'elle s'étend à l'Afrique, qui a désespérément besoin de mécanisation et de méthodes agricoles efficaces, il faut l'appeler pour ce qu'elle est : de l'activisme anti-science, basé sur des fantasmes écologistes. L'agroécologie, en tant que Doktrin politique, n'a pass sa place dans le discours politique fondé sur la science et sa promotion – étant donné les connaissances scientifiques dont nous disposons aujourd'hui – est immorale.

L'Occident peut bien supporter de dépenser des quantités de subventions dans des activités peuproductives. Vouloir l'imposer comme modèle dans des pays en voie de veloppement, où la malnutrition fait des ravages, est criminel.

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Umweltaktivisten und fragwürdige Methoden

Ende Juni veranstaltet das „World Food Preservation Center“ in Zusammenarbeit mit der Welternährungsorganisation der Vereinten Nationen, die erste „International Conference on Agroecology Transforming Agriculture & Food Systems in Africa“ in Nairobi, Kenia.

Ziel dieser Konferenz ist es, den ökologischen und gentechnikfreien Landbau im Rahmen einer vollständigen „sozioökonomischen Transformation“ Afrikas zu fördern. Klinget verwirrend, und ist es auch. Das technische Wort lautet „Agrarökologie“, und will sterben Landwirtschaft weltweit komplett umkrempeln. Da die Welternährungsorganisation FAO beteiligt ist, geht es um mehr als nur reine Theorie.

Die Faszination für ökologischen Landbau und Bio-Produkte ist nicht neu. Deutschland hat sich zum Ziel gesetzt, bis 2030 eine Bio-Produktion von 20% zu erreichen. Klimafreundliches Wachstum und ökologische Landwirtschaft waren auch auf der Tagesordnung von Prinz Charles und Camilla, die während eines Bayernbesuchs einen Bio-Bauernhof in Glonn besuchten.

Selbst die internationale Entwicklungsgemeinschaft hat sich dem Konzept angeschlossen – allerdings hat sie es auf eine ganz neue Ebene gehoben. Unter der Leitung der Welternährungsorganisation (FAO) basieren Entwicklungsprogramme und -hilfen auf dem ideologischen Prinzip der „Agrarökologie“, die neben biologischem Landbau auch eine Reihe von sozialen und wirtschaftlichen Theorien beinhaltet. Das Ziel: Die komplette Transformation der landwirtschaftlichen Produktion und sogar der Gesellschaft.

Nach ihrer ursprünglichen Definition ist die Agrarökologie schlicht die ökologische Untersuchunger Praktiken in der Landwirtschaft. Was als Wissenschaft begann, hat sich jedoch zu einer politischen Doktrin entwickelt, die nicht nur moderne Technologien wie Gentechnik, Pestizide und synthetische Düngemittel ablehnt, sondern ausdrücklich die Vorteile der „bäuerlichen“ und „einheimischen“ Landwirtschaft lobt. In vielen Fällen werden auch Mechanisierung internationaler Handel abgelehnt.

Es bedarf keinem Historiker um zu verstehen, dass nicht alle Transformationen gut sind. Eine aktuelle Studie von Befürwortern der Agrarökologie ergab, dass die Anwendung ihrer Prinzipien auf Europa die landwirtschaftliche Produktivität im Durchschnitt um 35 % verringern würde. Für die Aktivisten ist das positiv, da die Europäer ihrer Meinung nach ohnehin zu viel essen. Es ist schwer zu erraten, wie ein Rückgang der Produktivität um 35 % – im Anbetracht der großen Anzahl an Menschen, sterben an Hunger leider – alles andere als eine Katastrophe wäre.

Als jemand aus einer Familie, die bis zum Ende des letzten Weltkriegs Bauern waren, kann ich über die Idee, die Landwirtschaft von Mechanisierung zu befreien nur den Kopf schütteln. Meine Vorfahren arbeiteten 60 Stunden lang in schwerster Feldarbeit, und nur die moderne Landwirtschaft erlaubte ihnen produktiver zu werden und etwas Freizeit zu genießen.

Es ist nichts falsch daran, „bäuerliche Landwirtschaft“ auf rein freiwilliger Basis in einer Gemeinschaft von Menschen zu betreiben, die es genießen, eins mit der Natur zu sein. In der Welt der mechanisierten Landwirtschaft ist es sogar hilfreich, wenn einige Betriebe auf dieser Weise arbeiten, um nostalgische Kunden zufrieden zu stellen. Wirklich beunruhigend ist jedoch, wenn Agrarökologie-Aktivisten und internationale Institutionen, die sich angeblich der Armutsbekämpfung widmen, bereit sind, die wissenschaftliche Realität zu verzerren und ihre Ideologie denen aufzuzwingen, die sie sich am wenigsten leisten können.

Die Kenia Konferenz

Die Konferenz in Kenia im Juni ist eine Kombination aus zwei Veranstaltungen, die ursprünglich gleichzeitig stattfinden sollten. „The Eastern Africa Conference on Scaling up Agroecology and Ecological Organic Trade“ und der „1st All Africa Congress on Synthetic Pesticides, Environment, and Human Health“. Wenn man durch die Liste der Organisatoren und Teilnehmer blättert, ist es bemerkenswertest, dass Agenturen, Institutionen und Organisationen, die die Agrarökologie nicht unterstützen oder eine wissenschaftliche Sichtweise auf Herbizide und GVO (genetisch veränderte Organismen) haben, nicht anwesend sein werden. Anscheinend will man die Feier nicht mit wissenschaftlichen Debatten stören.

Einer der Referenten auf der Konferenz ist Gilles-Eric Séralini, ein französischer Biologe und Anti-GVO-Aktivist. Er ist bekannt für seine Studie aus dem Jahr 2012, in der er behauptete, dass Ratten, die mit gentechnisch verändertem Mais gefüttert wurden, eine größere Anfälligkeit für Tumore verzeichneten. Was folgte, prägte die „Séralini-Affäre“, bei der verschiedenen Regulierungsbehörden und Wissenschaftler die Studie wegen tiefer methodischer Mängel ablehnten. Die Studie wurde später zurückgezogen, und vier aktuelle Studien (drei von der EU und eine von der französischen Regierung) haben die Seralini-These nun vollends breiter gelegt.

Weitere Redner sind die Wissenschaftler Don Huber und Judy Carmen, die beide ähnlich widerlegte Behauptungen über GVO aufgestellt haben. Tyrone Hayes kommt, der für seine Behauptung berühmt ist, dass das Herbizid Atrazin, in eigenen Worten, „Frösche schwul macht“. Diese Behauptung wurde durch die (widerlegte) Hayes-Studie Stetig vom amerikanischen Verschwörungstheoretiker Alex Jones, der kürzlich von Facebook gebannt wurde, vertreten.

Die FAO nimmt trotz der wissenschaftlichen Fragen in Sachen Agrarökologie und der fragwürdigen Redner wohl am Ende doch an der Konferenz teil. Dass letztere in Kenia stattfindet, ein Land das dringenden Bedarf an effizienterer Landwirtschaft hat, muss hinterfragt werden. Wenn sich nämlich herausstellt, dass staatliche Gelder in einer ideologisch geprägten Stillstandspolitik in Afrika geflossen sind, und Menschen dadurch zu Schaden gekommen sind, dann muss irgendjemand die Verantwortung übernehmen.

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