fbpx

Month: January 2021

Olanda: valanga di pareri contrari al divieto di aromi nelle sigarette elettroniche

Estesa al 2 febbraio la consultazione pubblica del governo. Oltre il 98% delle risposte contro la misura restrittiva. In campo associazioni, medici e scienziati.

Di Barbara Mennitti| SIGMAGAZINE

È stata posticipata al 2 febbraio la chiusura della consultazione pubblica sulla proposta del Ministro della salute olandese Paul Blockhuis di vietare la vendita di liquidi per sigarette elettroniche con gusti diversi dal tabacco. La data per cessare la raccolta delle opinioni era fissata per ieri, ma è stato necessario concedere una proroga “a causa della richiesta popolare”, si legge sul sito del Governo. Mai, infatti, in Olanda un quesito in materia sanitaria aveva raccolto un numero così grande di partecipanti.

Read the full article here.

This recovery is at the expense of consumers

The EU’s stimulus package isn’t the right way to go.

On July 21, 2020, the twenty-seven member states of the European Union agreed on a “historic” stimulus plan. In total, 750 billion euros will be injected into the European economy. For the first time in the history of the European Union, member states have agreed to collectively take on debt to the tune of €390 billion. Borrowed on the bond markets, this sum will be paid to the States most affected by the crisis, unconditionally.

While Angela Merkel said in June 2012 that she would not agree to Eurobonds, the Covid-19 has acted as an accelerator to the political will to implement them.

European Commissioner for the Internal Market Thierry Breton welcomed with a tweet that the European recovery plan will in no way result in the creation of new taxes to be paid by European citizens before specifying that “it is only at the borders of our internal market that we will impose taxes”! As if it were not European consumers who were going to see their purchasing power cut by the amount of these taxes.

The only tax officially enacted so far is the one on non-recycled plastic. Applicable from January 1, 2021, this tax will take the form of national contributions. While it is the Member States that will be responsible for making these contributions to Europe, they could come from several sources, including a contribution from market players. In such a case, the cost will likely be passed on to consumers. The risk is also to reduce the capacity for investment and innovation of the industries concerned.

The other funding avenues considered are those of the GAFA tax – still under discussion – and the European carbon tax – which would come into force no later than January 2023. President Emmanuel Macron announced on French television that these new taxes, in addition to financing the recovery plan, will penalise “large companies and international players who do not play our policy game”. This is a very naive view of how the market economy works. In reality, it does not matter whether the tax is imposed on the consumer or the producer, the financial result remains the same: the cost is higher for the consumers and the profits lower for the producer.

While stimulus packages are prevalent, their return on investment is never guaranteed. Historically, the performance of stimulus packages has often turned out to be disappointing.

Harvard economist Alberto Alesina has spent the end of his career analysing thousands of budget adjustments in hundreds of countries. In 2010, when the debate was in full swing following the turmoil of the subprime crisis, the expert on budgetary policies explained in an opinion piece to the Wall Street Journal that the stimulus based on increased public spending was turning out to be positive. Indeed, while market players react positively to a lasting and credible drop in the level of taxation, the increase in public spending sends the opposite signal.

Another advantage attributed to the liberalisation shock is that this method allows power to be distributed to consumers instead of concentrating it in a few administrations which will make choices for others.

It is, therefore, possible to revive the economy without placing an additional tax burden on consumers. It would even be an opportunity for the “bad students” of the euro area to consolidate their public finances — the crisis has shown that countries which are already heavily indebted are the most vulnerable to an exogenous shock.

Unfortunately, it is in the opposite direction that the European Union seems to be heading: towards the increasing disempowerment of the laxest economies. How long can such an arrangement last?

Originally published here.

UE : Notre Politique Alimentaire “Durable” nuit à notre politique commerciale

L’Union européenne souhaite lancer une révolution agricole sur le continent européen. Admirable intention… si elle avait des chances de fonctionner, et surtout si elle n’était pas si dangereuse.

La Commission européenne a élaboré un plan ambitieux avec sa nouvelle stratégie nommée « Farm to Fork », « de la ferme à la fourchette ». L’objectif n’est pas moins que d’imposer une révolution de l’agriculture en Europe.

Visiblement, pour l’Union européenne (UE), l’agriculture est en grande partie responsable de la dégradation environnementale, ce qui oblige les agriculteurs à assumer une grande partie du fardeau de la lutte contre le changement climatique. L’UE a donc fixé deux objectifs principaux : 25% d’agriculture bio d’ici 2030, et une réduction de 50% des pesticides dans le même laps de temps.

Plusieurs auteurs ont souligné les effets négatifs de l’augmentation de la production d’aliments bio. En effet, l’agriculture biologique a également besoin de pesticides, et certaines études montrent qu’ils émettent plus de dioxyde de carbone que l’agriculture conventionnelle.

Sur la question des pesticides, il y a également des éléments qui sont occultés : la quantité de pesticides utilisée aujourd’hui n’est pas comparable au niveau des années 60. Les substances chimiques existantes sont actuellement approuvées par les agences de l’UE et par d’innombrables normes régulatrices produites par les Etats membres.

Les oubliés du débat

Ce que l’on oublie souvent dans le débat, c’est l’actuelle importation d’aliments « non durables ».

D’une part, l’augmentation des normes alimentaires en Europe a aggravé les effets du commerce illicite. Prenons l’exemple des importations frauduleuses d’aliments bio. Dans son rapport de 2019 intitulé « Le système de contrôle des produits biologiques s’est amélioré, mais certains défis demeurent », la Cour des comptes européenne a constaté des problèmes structurels dans le système de contrôle du commerce des aliments bio, malgré les contrôles mis en œuvre en 1991.

Dans une section sur la communication relative à la non-conformité, la Cour des comptes européenne écrit ceci :

« En Bulgarie, nous avons constaté que certains organismes de contrôle ne communiquaient à l’autorité compétente certains types de non-conformité que par le biais de leur rapport annuel.

L’autorité compétente ne l’a pas remarquée au cours de ses activités de contrôle. En République tchèque, nous avons constaté qu’en moyenne, les organismes de contrôle mettaient 33 jours en 2016 et 55 jours en 2017 pour signaler à l’autorité compétente un cas de non-conformité affectant le statut biologique d’un produit. »

Le rapport note également que les délais de communication des cas de non-conformité sont de 38 jours en moyenne dans l’Union européenne, alors que la réglementation en vigueur stipule que les rapports doivent être présentés sans délai.

Cela signifie que les produits biologiques non conformes, c’est-à-dire le commerce biologique frauduleux, continuent un mois en moyenne dans la circulation légale du marché unique européen avant d’être signalés aux consommateurs.

Si l’Union européenne et ses Etats membres sont sérieux en matière de contrôle de la qualité et d’information et de protection des consommateurs, ils ont besoin de mécanismes de détection et de signalement qui surpassent la vitesse de distribution des colis postaux.

Des mois de retard

La Cour des comptes européenne note également que les Etats membres ont pris en moyenne quatre mois de retard dans leurs rapports à la Commission européenne et que 50% de tous les rapports analysés ne contenaient pas d’informations.

La Chine est le plus grand exportateur d’aliments biologiques vers l’Union européenne (sur la base du poids, chiffres de 2018, du rapport de la CCE). Compte tenu des difficultés importantes concernant le contrôle de la qualité d’un large éventail de produits originaires de Chine, il devrait être clair que les institutions de l’UE doivent donner la priorité à l’authenticité de ces importations de denrées alimentaires.

En outre, les importations légales finiront également par entrer dans la catégorie des produits « non durables » selon les réglementations de l’Union européenne. Cela pose déjà un problème considérable avec l’adoption de l’accord de libre-échange entre le Mercosur et l’UE, et a empêché par le passé la conclusion d’accords tels que le TTIP.

L’Europe sera confrontée à un choix difficile : insister sur les normes prévues, et risquer ainsi de dresser des barrières protectionnistes, voire de créer une insécurité alimentaire, ou réévaluer la nécessité de certains objectifs environnementaux.

Certaines voix s’élèvent en faveur de la première option, qui consiste à empêcher les importations non durables par le biais de taxes sur le carbone aux frontières. Elles oublient de se demander si le retrait des importations sera vraiment la solution qui permettra de maintenir l’agriculture européenne à flot.

Les objectifs fixés dans le cadre de la stratégie « Farm to Fork » pourraient avoir des conséquences désastreuses sur l’économie dans son ensemble.

Selon une étude d’impact réalisée par l’USDA – l’agence américaine dédiée à l’agriculture [dont il faut se rappeler qu’elle n’est pas neutre en matière de politique agricole…] –, cette stratégie, si elle est adoptée par l’UE uniquement, y entraînerait une baisse de la production agricole de 7% à 12%. Cela entraînerait alors une baisse du PIB de l’UE, laquelle représenterait jusqu’à 76% de la baisse du PIB mondial. En d’autres termes, dans un tel cas de figure, les trois quarts de la baisse de productivité mondiale seraient à attribuer à l’Europe.

En outre, dans un scénario d’adoption mondiale de ces normes, la situation des prix des denrées alimentaires se détériorera considérablement, comme l’ont constaté les chercheurs de l’USDA.

L’Union européenne fait une grave erreur avec son initiative « Farm to Fork ». En plus de ne pas assurer les institutions nécessaires à la surveillance de ces mesures, une telle décision d’imposer une agriculture biologique et sans pesticide pourrait entraîner une baisse du niveau de vie des consommateurs et des agriculteurs.

Je suis d’avis que la stratégie « Farm to Fork » doit être repensée sérieusement ou faire l’objet d’un moratoire à long terme.

Originally published here.

Il faut repenser nos réglementations sur le génie génétique

Le Royaume-Uni est en train de revoir ses réglementations sur le génie génétique, une technologie innovante qui peut révolutionner l’agriculture. Si Westminster se décide pour une légalisation de cette technologie, elle ouvrira une voie de concurrence avec l’Union européenne, où ce secteur est entravé par un bon nombre d’interdictions . Cependant, l’argument principal pour la légalisation de la manipulation génétique n’est pas seulement un argument de compétitivité économique, mais simplement de connaissances et de progrès scientifiques.

L’approvisionnement alimentaire mondial pose de nombreux défis. Avec une population croissante et une société de plus en plus exigeante sur les normes de production, nous devons agir intelligemment. 

Augmenter la production ne signifie pas  que nous devons doubler la taille de nos exploitations, doubler le personnel ou doubler les coûts pour les agriculteurs, les consommateurs et l’environnement. En fait, les nouvelles technologies permettent de faire plus avec moins.

Le génie génétique n’est pas une technologie comme les autres. La modification génétique n’est pas née d’un besoin de rompre avec la nature, mais d’une nécessité d’interagir avec elle pour améliorer notre quotidien. Grâce à l’ingéniosité humaine, nous avons pu obtenir les fruits et les légumes que nous consommons aujourd’hui tous les jours. 

Ce que nous avons obtenu hier par la sélection des plantes et des croisements, nous l’obtenons aujourd’hui plus rapidement par notre connaissance scientifique et notre capacité à agir directement dans le code génétique. Les premières applications du génie génétique ont notamment permis de résoudre les problèmes d’environnements complexes et de climats difficiles. À mesure que le changement climatique progresse, ces défis ne feront que s’amplifier.

Imaginez l’état de la médecine humaine si nous avions refusé d’utiliser la chimie moderne pour concevoir des médicaments. Les infections des oreilles ou la pneumonie ont entraîné la mort de millions de personnes jusqu’à ce que la pénicilline soit largement utilisée. Ce qui est vrai en médecine s’applique également à l’agriculture moderne : l’agriculture à haut rendement a fait progresser nos sociétés, nous a permis de disposer d’un approvisionnement alimentaire plus sûr et a fourni plus de nourriture pour moins de ressources. 

Les technologies d’aujourd’hui sont incomparables avec celles d’il y a 30 ans. En fait, l’invention de l’édition de gènes a ouvert un nouveau chapitre pour l’agriculture et la médecine, nous permettant d’agir avec précision, avec des experts de confiance. Des modifications ciblées de l’ADN nous permettent de cibler et de comprendre beaucoup plus précisément les changements que nous apportons aux plantes.

Cependant, le génie génétique a également troublé les partisans de la prudence. Si certains rejettent toute avancée technologique, c’est parfois pour s’opposer à un certain “consumérisme”. Ce n’est pas le cas de la plupart des consommateurs, qui attendent des aliments sûrs à des prix socialement acceptables.

Les applications du génie génétique dans la production alimentaire sont nombreuses, représentant une véritable révolution pour le choix et la santé des consommateurs. Tomate résistante aux virus, riz résistant aux maladies, blé sans gluten, voici quelques-unes des nombreuses innovations rendues possibles par l’édition de gènes. Mais la technologie traditionnelle des OGM a déjà posé la pierre angulaire de l’innovation et a fourni un exemple remarquable mais tragique : le riz doré.

Comme l’explique l’un des créateurs de cette variété de riz, Ingo Potrykus, le problème dans les pays en développement n’est pas seulement la sous-nutrition, mais aussi la malnutrition. C’est à ce fléau qu’il a voulu s’attaquer, notamment à la carence en vitamine A, en créant un organisme génétiquement modifié pour prévenir cette carence. Il a donc créé une variété de riz enrichie en bêta-carotène, un précurseur de la vitamine A, une norme qui reste à améliorer. On estime que la carence en vitamine A rend aveugles près de 500 000 enfants et cause entre 1 et 2 millions de décès chaque année. Cela est dû au fait que dans de nombreux pays en développement,  les régimes alimentaires reposent presque exclusivement sur les variétés de riz existantes, qui n’offrent pas la diversité alimentaire nécessaire à un mode de vie sain.

En 2000, l’ancien président américain Bill Clinton se félicitait de l’invention du riz doré et avait même déclaré que 40 000 vies par jour pouvaient être sauvées grâce à sa distribution.

Le riz doré, inventé au début des années 1990, n’est toujours pas disponible dans une écrasante majorité des pays en développement, bien qu’il ait été développé à des fins humanitaires. Depuis sa conception, le riz doré a fait l’objet de vives critiques, mais il n’a jamais été démontré qu’il présentait les effets néfastes qui avaient provoqué son interdiction . Afin de contrer les critiques selon lesquelles les variétés de riz n’ont été produites que pour générer un profit, le projet “Golden Rice” l’a mis gratuitement à disposition pour un usage humanitaire. Malgré ce fait, la tragique réalité est que l’utilisation du riz doré reste rare.

La plupart des OGM actuellement utilisés sont des cultures tolérantes aux herbicides et résistantes aux insectes, notamment le soja, le maïs, le colza et le coton.

Grâce aux nouvelles technologies d’édition de gènes, les applications sont encore plus vastes et prometteuses. Des technologies telles que CRISPR ont également démontré que nous pouvions aujourd’hui soigner des maladies génétiques humaines, réduire la contamination par les mycotoxines ou même lutter contre les invasions de criquets. 

Les possibilités d’innovation offertes par le génie génétique sont très étendues et devraient susciter notre enthousiasme et notre soutien. Nous devons permettre aux scientifiques européens de participer à la révolution génétique et les faire collaborer avec les agriculteurs pour mettre au point les innovations du futur. Les récentes innovations en matière d’édition génétique nous permettent de produire plus de papier avec moins de ressources et de rendre le saumon moins sujet aux maladies. Grâce au génie génétique, nous pouvons à la fois relever le défi du climat et celui de l’augmentation de la population.

[BR] Advertências sanitárias (63281)

O Consumer Choice Center está contribuindo com recomendações que identificamos em diversos países do mundo sobre Advertências sanitárias na embalagem de produtos fumígenos.

Colaboramos com informações que irão ajudar os consumidores a fazerem as melhores escolhas em seus hábitos em prol de uma sociedade mais saudável, mas ao mesmo tempo que respeite a liberdade de escolha dos consumidores e do livre mercado.

Contribuímos no passado com o Ministério da Saúde do Governo da Dinamarca, com a agência Nacional de Saúde (NHS) do Reino Unido e com a agência reguladora dos Estados Unidos da América (FDA). 

Estamos à disposição para apresentar nossas idéias neste assunto.

Proibição na divulgação e publicidade

No Reino Unido, as evidências científicas existentes apontam para o fato de que a suscetibilidade ao fumo entre os jovens diminuiu após a introdução da proibição da exibição do tabaco em pequenas e grandes lojas. 

Uma diminuição na suscetibilidade ao fumo não significa necessariamente um declínio nas taxas de tabagismo, uma vez que essa diminuição também se correlaciona com uma série de outros fatores, tanto do lado regulatório quanto educacional, bem como inovações como produtos redutores de danos. Um efeito colateral negativo de uma proibição de exibição pode ser que fumar é percebido como um ato sinistro e secreto, o que encoraja certos jovens a pegá-lo. De forma comparável, as substâncias entorpecentes ilícitas também são compradas em grande número por jovens, sem qualquer publicidade ou exibição. Sabemos por meio de evidências em países que legalizaram ou descriminalizaram essas substâncias (particularmente no caso da cannabis) que as taxas de consumo dos jovens se normalizam à medida que o manuseio da substância atinge aceitação social.

Não seria aconselhável que o governo Brasileiro recriasse os maus efeitos colaterais da proibição no caso do tabaco. As evidências científicas apresentadas pela Organização Mundial da Saúde (OMS) apontam para o exemplo da Nova Zelândia, onde a proibição da exibição coincidiu com uma diminuição da prevalência do tabagismo de 9% para 7%. No entanto, correlação não significa causalidade. A medida também tem sobreposição com as medidas regulatórias e educacionais, bem como com inovações, como produtos redutores de danos.

Somando-se a este ponto, também acreditamos que é imprudente para o governo Brasileiro tratar os cigarros eletrônicos e outros produtos de redução de danos da mesma forma que os cigarros de combustão convencionais. Acreditamos que produtos redutores de danos, como cigarros eletrônicos, representam uma forma inovadora de parar de fumar. A abordagem permissiva do Reino Unido aos cigarros eletrônicos mostrou um impacto positivo. De acordo com o NHS, entre 2011 e 2017, o número de fumantes no Reino Unido caiu de 19,8% para 14,9%. Ao mesmo tempo, o número de usuários de cigarros eletrônicos aumentou: quase metade desses consumidores usa cigarros eletrônicos como meio de parar de fumar.

Embora nem todos os líquidos do vaporizador contenham nicotina, a substância química viciante é a principal atração para os fumantes que desejam parar de fumar. Em comparação com outras alternativas, como os adesivos e medicamentos da Terapia de Reposição de Nicotina, a vaporização foi considerada mais eficaz para ajudar os fumantes a parar de fumar. 

Também discordamos da avaliação apresentada na avaliação de impacto que afirma:

“Os consumidores habituais de produtos de tabaco sabem quais produtos e marcas preferem; eles não precisam de lembretes visuais.”

Fora do fato de que tal abordagem paralisa a existência de concorrência leal – particularmente no que se refere a entradas de novos produtos – esta conclusão dificultaria a mudança dos usuários de tabaco convencional para alternativas de redução de danos, uma vez que estariam menos expostos a estes produtos.

Dada a quantidade insuficiente de evidências sobre a questão da eficácia e os riscos claros que o Consumer Choice Center listou em uma resposta sobre o impacto da proibição de exibição, não acreditamos que as medidas constituam uma forma eficaz de proteger crianças e jovens de começar a fumar e apoiar aqueles que desejam parar.

Pacotes padronizados (no label)

Com base na experiência existente no campo das embalagens simples de tabaco, discordamos da implementação de tal medida.

A Austrália foi o primeiro país a introduzir embalagens simples. O governo australiano afirma que foi um sucesso, mas um estudo de 2016 da Universidade RMIT de Melbourne descreveu a política como um fracasso total. Ele mostrou que a avaliação do governo sobre a política era tendenciosa e falhou em representar com precisão os dados que coletou e foi realizada pelos mesmos grupos de defesa que haviam convocado a política em primeiro lugar. As taxas de tabagismo realmente diminuíram na Austrália desde que a política de embalagem comum foi introduzida em 2012. Mas estavam já caindo antes disso. Na verdade, o declínio na taxa de fumantes diminuiu desde que as embalagens comuns chegaram. As embalagens lisas foram introduzidas ao mesmo tempo que os altos aumentos de impostos sobre produtos de tabaco, mas nenhum dos dois parece ter causado um grande impacto nas taxas de fumantes.

Então, por que a embalagem simples teve tão pouco efeito? Talvez porque um dos poucos beneficiários da apólice pareça ser os falsificadores. Como os maços comuns são mais fáceis de copiar do que as alternativas de marca, o comércio de cigarros ilícitos está prosperando. Na Austrália, de 2012 a 2017, a proporção de cigarros vendidos ilegalmente aumentou de 12 por cento para 17 por cento. É difícil dizer se as embalagens simples ou os aumentos de impostos são os maiores responsáveis ​​por esse aumento. Mas é certo que embalagens lisas facilitam o trabalho de quem vende cigarros ilegais e mais baratos para consumidores de baixa renda. Em 2018, o governo australiano prometeu reprimir a economia paralela e o comércio de tabaco ilícito era seu maior alvo.

É uma história semelhante na França, que introduziu a embalagem comum em janeiro de 2017. Nos primeiros seis meses da apólice, houve um ligeiro aumento nas vendas de cigarros de 0,9 por cento, em comparação com o mesmo período do ano anterior. Além disso, as vendas de tabaco de enrolar aumentaram 3,6 por cento nos primeiros três meses de 2017, mesmo após a introdução de um novo imposto sobre o produto. O governo francês planeja aumentar o preço dos cigarros para € 10 por maço em três anos. Mas, mais uma vez, mesmo que isso consiga diminuir as vendas nas tabacarias locais, aumentará a probabilidade dos consumidores mudarem para cigarros ilícitos. De acordo com as estimativas atuais, um terço dos cigarros já são vendidos no mercado negro da França.

Nossos relatórios:

[BR] Regularização de produtos fumígenos (63283)

O Consumer Choice Center está contribuindo com recomendações que identificamos em diversos países do mundo sobre Regularização de produtos fumígenos, em particular, produtos de redução de danos à saúde como os vaporizadores.

Colaboramos com informações que irão ajudar os consumidores a fazerem as melhores escolhas em seus hábitos em prol de uma sociedade mais saudável, mas ao mesmo tempo que respeite a liberdade de escolha dos consumidores e do livre mercado.

Contribuímos no passado com o Ministério da Saúde do Governo da Dinamarca, com a Agência Nacional de Saúde (NHS) do Reino Unido e com a agência reguladora dos Estados Unidos da América (FDA). 

Vaporização (Vaping):

Quando se trata de políticas de vaporização, é importante ter em mente que a vaporização foi inventada como uma alternativa mais segura ao fumo convencional e, portanto, seu principal público-alvo são os consumidores de tabaco. Existem muitas variáveis ​​que contribuem para as taxas de tabagismo entre os jovens, e muitos estudos recentes que concluíram que a vaporização é uma porta de entrada para o fumo não levaram isso em consideração. Por exemplo, um estudo descobriu que adolescentes que estavam menos satisfeitos com sua vida, em geral, eram mais propensos a buscar experiências arriscadas e têm uma tendência maior de usar substâncias ilícitas regularmente. Os legisladores devem, portanto, se concentrar na solução de questões como comércio ilícito e saúde mental e garantir que as restrições de idade sejam cumpridas. 

O principal órgão de saúde do Reino Unido, Public Health England, disse repetidamente que fumar e fumar são 95% menos nocivos do que fumar. A mesma conclusão foi tirada pelo Ministério da Saúde da Nova Zelândia e Ministério da Saúde do Canadá, que lançou iniciativas públicas implorando que os fumantes voltem a usar vaporizadores.

Sabores e Vaporizadores:

Os sabores desempenham um papel fundamental em ajudar os fumantes a parar de fumar. A legislação sobre sabores vaporizados deve levar este fato em consideração. Um estudo publicado no New England Journal of Medicine em 2019 (https://www.nejm.org/doi/10.1056/NEJMoa1808779) designou participantes em grupos de cigarros eletrônicos e de reposição de nicotina e descobriu que a vaporização era duas vezes mais eficaz do que produtos de reposição de nicotina para ajudar os fumantes a parar de fumar. Crucialmente, os participantes do grupo de cigarros eletrônicos foram incentivados a fazer experiências com líquidos eletrônicos de diferentes dosagens e sabores. Entre os participantes do estudo que não pararam totalmente de fumar, os do grupo do cigarro eletrônico tinham maior probabilidade de reduzir a ingestão de fumo do que os do grupo da reposição de nicotina. Resultados da pesquisa do Um estudo de pesquisa longitudinal da Escola de Saúde Pública de Yale descobriu que “em relação aos sabores de dos produtos vaping (vaporizadores/cigarros eletrônicos), não foi associado ao aumento da iniciação do tabagismo pelos jovens, mas foi associado a um aumento nas chances de cessação do tabagismo adulto”.

Riscos à Saúde:

Nicotina, também encontrada em cigarros eletrônicos e usada na terapia de reposição de nicotina convencional, não aumenta o risco de doenças graves (ataque cardíaco, derrame) ou mortalidade. O Serviço Nacional de Saúde Britânico mantém a seguinte visão: “Embora a nicotina seja a substância que vicia nos cigarros, ela é relativamente inofensiva. Quase todos os malefícios do fumo vêm dos milhares de outros produtos químicos presentes na fumaça do tabaco, muitos dos quais são tóxicos.

Uma análise mais detalhada do resultado da pesquisa mostra que apenas 2,1% dos não fumantes indivíduos pesquisados ​​usavam cigarros eletrônicos com frequência. A Ação sobre Tabagismo e Saúde (ASH) UK relata descobertas semelhantes e afirma que as taxas de tabagismo entre os jovens estão em níveis mais baixos e o uso de cigarros eletrônicos pelos jovens é raro, e a maioria dos usuários são fumantes ou ex-fumantes. 

Public Health England estabeleceu já em 2015 que a vaporização é 95% menos prejudicial – e confirmou em 2020 que a vaporização tem uma pequena fração dos riscos do tabagismo. A mesma conclusão foi tirada peloda Ministério da SaúdeNova Zelândia e Saúde do Canadá, que lançou iniciativas públicas implorando que os fumantes voltem a usar cigarros eletronicos (vaporizadores/vaping). Vaping foi endossado por Joachim Schüz, chefe de meio ambiente e radiação da agência de pesquisa do câncer da OMS, a Agência Internacional de Pesquisa sobre o Câncer, durante seu discurso no Comitê do Meio Ambiente, Saúde Pública e Segurança Alimentar do Parlamento Europeu em fevereiro de 2020. Em sua opinião, os cigarros eletrônicos “não são tão prejudiciais” quanto os cigarros de tabaco e podem ajudar os fumantes pesados ​​a parar de fumar.    

Adultos que usam vaping e e-cigarros como um meio para parar de fumar estão melhorando muito suas chances de vida longa, saudável e uma vida produtiva porque escolhendo vaping eles têm a oportunidade de mudar e parar de fumar. Um estudo descobriu que o aumento no uso de cigarros eletrônicos entre os fumantes adultos nos Estados Unidos foi associado a um aumento estatisticamente significativo na taxa de cessação do tabagismo em nível populacional. Outro estudo, conduzido pelo professor Peter Hajek da Queen Mary University de Londres, descobriu que os produtos a vapor são quase duas vezes mais eficazes para parar de fumar do que a terapia de reposição de nicotina. 

Ninguém argumenta que não existem riscos para a saúde. No entanto, os riscos associados à vaporização devem ser comparados com aqueles relacionados ao fumo convencional. Também está estabelecido que  o risco de câncer devido aos cigarros eletrônicos em comparação com o fumo é inferior a meio por cento. Portanto, a vaporização é uma ferramenta importante para melhorar a saúde pública.

Vaporização e Menores de Idade:

A principal motivação por trás das proibições de sabores proposta é proteger os menores, que são supostamente atraídos pela miríade de sabores do vapor. Mas considerando que todos os menores que usam esses produtos os estão adquirindo fora do mercado legal, é claro que o impacto mais imediato será sobre os vapers adultos responsáveis ​​que preferem esses sabores. 

O último CDC nos números dos EUA mostra que 20,8% dos alunos do ensino médio vaporizaram pelo menos uma vez nos últimos 30 dias. Mas quase metade desses estavam vaporizando cannabis em vez de nicotina, geralmente produtos adquiridos ilegalmente.

Conforme já mencionado, apenas 2,1% dos não fumantes indivíduos pesquisados ​​usavam cigarros eletrônicos com frequência. Os dados da Action on Smoking and Health (ASH) UK relatam descobertas semelhantes e afirmam que as taxas de tabagismo entre os jovens estão em níveis mais baixos e o uso de cigarros eletrônicos pelos jovens é raro e a maioria dos usuários são fumantes atuais ou ex-fumantes. 

Concordamos com o relatório de que limites de idade e restrições de compra para adolescentes são necessários. Os menores não devem ser autorizados a comprar produtos de vaporização, por isso é importante criar e manter as condições sob as quais não haja incentivos para que procurem cigarros eletrônicos em outro lugar. Os regulamentos de vaporização devem ser inteligentes e garantir que as restrições de idade necessárias sejam implementadas. Reduzir as atividades do mercado negro e o comércio ilícito são vitais para reduzir a vaporização por menores. No entanto, a recomendação de proibir os sabores causará mais danos do que quaisquer benefícios. A proibição dos sabores teria um efeito profundamente negativo na sociedade, empurrando os fumantes de volta aos cigarros ou ao mercado negro, o que já aconteceu, por exemplo, em alguns estados dos Estados Unidos que implementaram tais proibições, como mostra este relatório.

Conclusão:

Para desenvolver uma estrutura de vaporização coerente, não é suficiente olhar para um lado da moeda. Como foi mencionado, há uma evidência científica esmagadora provando que [1] “Os cigarros eletrônicos foram mais eficazes para parar de fumar do que a terapia de reposição de nicotina” e [2] que “O aumento substancial no uso de cigarros eletrônicos entre os fumantes adultos nos EUA foi associado a um aumento estatisticamente significativo na taxa de cessação do tabagismo no nível da população. ”

Além disso, uma revisão sistemática recente da Cochrane de mais de 50 estudos e mais de 12.000 participantes descobriu que os cigarros eletrônicos com nicotina podem ajudar mais pessoas a parar de fumar do que a terapia tradicional de reposição de nicotina (como gomas ou adesivos) ou cigarros eletrônicos sem nicotina .

[1] – https://onlinelibrary.wiley.com/doi/10.1111/add.14656 

[2] – https://www.bmj.com/content/358/bmj.j3262 

Concordamos absolutamente que os cigarros eletrônicos não são isentos de riscos. No entanto, vemos como uma característica principal que falta neste parecer preliminar uma comparação em termos do nível de dano exibido pelos cigarros eletrônicos em comparação com os cigarros tradicionais. Há fortes evidências de vários estudos de que os cigarros eletrônicos são em grande medida menos prejudiciais do que os cigarros tradicionais. 

Os sabores desempenham um papel fundamental para ajudar os fumantes a parar. A legislação sobre sabores vaporizados deve levar este fato em consideração. Resultados da pesquisa do Um estudo de pesquisa longitudinal da Escola de Saúde Pública de Yale descobriu que “em relação aos sabores de tabaco vaping, vaping cigarros eletrônicos sem sabor de tabaco não foi associado ao aumento da iniciação do tabagismo pelos jovens, mas foi associado a um aumento nas chances de cessação do tabagismo adulto”.

Um estudo da Escola de Saúde Pública de Yale descobriu que os sabores frutados e doces têm duas vezes mais chances de ajudar os fumantes a parar de fumar.

A alegação de que os não fumantes seriam introduzidos em massa ao tabagismo devido à vaporização parece não ser apoiada pelos dados do mais recente relatório da Action on Smoking and Health (ASH) do Reino Unido. Afirma que “apenas 0,3% dos nunca fumantes são vapers atuais (correspondendo a 2,9% dos vapers), ante 0,8% em 2019”.

Um estudo conduzido pela University College London em 2019 analisou dados de mais de 50.000 fumantes de 2006 a 2017 e descobriu que o uso de cigarros eletrônicos para parar de fumar estava positivamente associado às taxas de sucesso de abandono, com cada 1 por cento de aumento no uso de e -cigs associados a um aumento de 0,06% na taxa de sucesso de abandono.

Uma revisão de evidências da Public Health England descobriu que “os cigarros eletrônicos podem estar contribuindo para pelo menos 20.000 novas tentativas de abandono bem-sucedidas por ano e possivelmente muito mais, o uso de cigarros eletrônicos está associado a taxas de sucesso de abandono melhores no último ano e uma queda acelerada no taxas de tabagismo em todo o país, muitos milhares de fumantes acreditam incorretamente que vaping é tão prejudicial quanto fumar; cerca de 40% dos fumantes nem sequer experimentou um cigarro eletrônico.

Além disso, a Federação Francesa sobre Dependências (FFA) publicou um relatório oficial reconhecendo que os cigarros eletrônicos são “uma ferramenta complementar na redução de riscos que permitiu a um grande número de fumantes reduzir significativamente os efeitos negativos do tabaco”. 

Outra revisão sistemática e metanálises avaliou os achados de seis estudos, envolvendo 7.551 participantes, que relataram a cessação do tabagismo após o uso de e-cigarros constataram que o uso de e-cigarros está associado à cessação e redução do tabagismo. 

Para adicionar a este ponto, um estudo financiado pelo Cancer Research UK pela University College London (https://pubmed.ncbi.nlm.nih.gov/31117151/), no Reino Unido, descobriu que os usuários de produtos a vapor têm 95% mais chances de ter sucesso em parar de fumar do que aqueles que não usam produtos a vapor. 

Com base em dados longitudinais robustos sobre a cessação, existem estudos nesse sentido que a European Heart Network não teve em consideração. De acordo com um estudo longitudinal que avaliou o comportamento de 844 usuários de cigarros eletrônicos ao longo de 12 meses, a conclusão foi que “os cigarros eletrônicos podem contribuir para a prevenção de recaídas em ex-fumantes e a cessação do tabagismo em fumantes atuais”.

Consumer Choice Center joins group pushing back on breaking up U.S. tech companies

On January 21, the first full day of President Joe Biden’s administration, the Consumer Choice Center joined a coalition of taxpayer and consumer groups in calling on members of Congress to avoid using antitrust to break up tech firms.

Dear Leader McConnell, Leader McCarthy, and Republican Members of Congress:

On behalf of the undersigned organizations, representing taxpayers, consumers, and free market advocates across the nation, we write in strong opposition to proposals from across the ideological spectrum to change substantive antitrust standards that encourage courts to break up and destroy American technology companies. While we sometimes are concerned with the actions of these companies, as long-time supporters of free markets and free expression, we are troubled to see that some fellow conservatives would try to use the sledgehammer of big government to attack companies they may disagree with on a political or ideological basis.

This is a divisive period in our nation’s history, and with the democratization of news and information many policymakers are asking tough questions about the role technology plays in modern society. Congress may decide to legislate in the near future on matters like online consumer protection, data privacy, content moderation, and more. Regardless of what bills lawmakers introduce in the coming months — or what regulations or lawsuits are introduced by a new administration — our organizations firmly believe that the courts, not Congress, should determine whether America’s most successful companies have violated the antitrust laws. Congress should not change substantive laws to address political or ideological concerns about the companies in question. This is also the wrong message to send to entrepreneurs who are actively working to provide Americans with competitive alternatives to today’s household names.

In the past, conservatives and free market advocates agreed that the powers of the federal government are too great, and the societal and economic benefits of emerging technologies too strong, for true advocates of limited government to support politically-motivated efforts to tear apart successful firms simply because they’re big or for any number of other arbitrary reasons. These companies provide valuable services to hundreds of millions of American and global consumers. That assumption has now been challenged by recent “conservative” calls to “demand the breakup” of major technology companies. As policymakers face a White House and Congress controlled by one party for the next two years, it is imperative to avoid setting a precedent that companies who do not abide by the norms and rules of the governing party find themselves in the crosshairs of vindictive punishment down the road.

Therefore, it is worth reiterating to our allies in Congress and our colleagues throughout civil society: antitrust enforcement should never be used as a political or ideological tool. Instead, antitrust regulators and lawmakers should adhere to the prudent, decades-old consumer welfare standard, which has long been a ‘north star’ for antitrust enforcement and that — when properly applied — allows free-market economies to innovate and thrive.

Thank you for your consideration, and should you like to discuss these matters further we are at your disposal.

Sincerely,

National Taxpayers Union

Taxpayers Protection Alliance

ALEC Action

American Consumer Institute

Americans for Prosperity

Center for Freedom and Prosperity

Competitive Enterprise Institute

Consumer Choice Center

FreedomWorks

Libertas Institute

Lone Star Policy Institute

Market Institute

NetChoice

R Street Institute

Small Business & Entrepreneurship Council

TechFreedom

Free to choose: adult consumers should make their own decisions

We have created a public policy monster that lurks out from the backroom once we eye the cookie jar.

Not a day goes by without a public health campaigner knocking on your door (though currently it’s probably an email) to explain to your which product should be banned or taxed out of existence. It used to be just tobacco, due to the unique health risks associated with smoking — but with an increasing amount of consumers switching to healthier alternatives such as vaping, other products have become the focus. Whether it is alcohol, sugar, fat, or gambling, no vice goes left unchecked in the eternal strive to punish consumers for the things they like.

That is not to say that all of them come without their downsides, they clearly do. It is hardly recent wisdom that all consumption should be about moderation, and that moderation is a subjective standard that each individual has to make out for themselves.

‘54,000 obese schoolchildren’ was the slogan by which Irish politicians lobbied for a new sugar tax back in 2017. Quite evidently, the implication is all those who disagree with the measure must not be concerned about the children – despite the possibility that child obesity might not be stopped by an increase in the price of a Coke, but that it has far-reaching roots that need to be sorted out first.

The Irish measure is aligned with the recent French increase on their existing tax on soda. Then president Nicolas Sarkozy had introduced the measure, which then continued to be exploited for revenue increases. The initial tax constituted €7.53 on 100 litres of soda, or 2.51 cents for a can of 33 centilitres.

One might suggest that this is steeped in irony, considering that through parts of the European Union’s common agricultural policy, France is also subsidising sugar. Being asked to pay twice, once for the subsidisation of sugar, and then its consumption, is probably hard to swallow for the French consumer.

In a panel at the International Monetary Fund last year, Bloomberg addressed the question of regressive sin taxes. ‘Some people say, well, taxes are regressive’, he said. ‘But in this case, yes they are. That’s the good thing about them because the problem is in people that don’t have a lot of money.’

IMF managing director and chair Christine Lagarde chipped in at the end of the clip: ‘So it’s regressive, it is good. There are lots of tax experts in the room… And they all say that two things in life which are absolutely certain. One is death, the other one is tax. So you use one to defer the other one.’

‘That’s correct. That is exactly right. Well said’, adds Bloomberg.

The premise of this patronising politics is this: that the consumer is basically too inept to make decisions about his or her own life. Blinded by the irrationality of his own mind and instinct-lead urges, it can only be the benevolence of modern-day public policy that can lift him out of his distress. That, at least, seems to be the assumption of today’s regulators.

The truth, however, is of a very different kind. Despite not being particularly vocal about their opposition to sin taxes, consumers speak clearly when it comes to their market decisions. This is a line I’ve used before, but it remains as true as it’s ever been: people want to smoke, eat fatty foods and drink soda, and politicians need to start to come to grips with it. These are all products we should consume in moderation and with transparent information about its health concerns, but we should stop criticising the innate desire to have them in the first place.

We have created a public policy monster that lurks out from the backroom once we eye the cookie jar, when we should actually be completely unapologetic about the fact that we like candy, we lust after soda and that we love chocolate.

Originally published here.

COVID-19 in Europe: Is the EU losing the vaccine race?

When it comes to Covid vaccinations, Germany stands accused of buying up extra doses, while other EU countries simply aren’t taking all the doses they’re allowed.

Is the financial muscle of Germany at play here as the country is said to be looking after its own interests at the expense of others?

The Consumer Choice Center Managing Director Fred Roeder joined the Roundtable show at TRT World to discuss #COVID19 and #vaccines in #Europe.

Apakah Melarang Vape pada Masa Pandemi Merupakan Kebijakan yang Tepat?

Pandemi COVID-19 hingga saat ini masih menjadi permasalahan besar yang harus dihadapi oleh berbagai negara di seluruh dunia. Salah satu dampak dari hal tersebut adalah, perayaan tahun baru 2021 kemarin terasa sangat berbeda di berbagai kota-kota besar di banyak negara.

Tidak ada perayaan besar-besaran, pesta meriah, hingga kembang api yang mewarnai langit malam. Jutaan orang di seluruh dunia terpaksa harus tinggal di kediaman mereka, atau merayakan tahun baru di tempat yang tertutup, bersama orang-orang dekat mereka dalam jumlah yang kecil.

Untuk itu, penanganan dan pengentasan pandemi COVID-19, yang sudah memakan korban jiwa hingga lebih dari 2 juta orang di seluruh dunia, menjadi prioritas utama banyak pemerintahan di dunia. Berbagai pemerintahan di seluruh dunia mengambil berbagai langkah yang dianggap mampu untuk memitigasi dampak virus yang penyebarannya sangat mudah tersebut.Beragam kebijakan dilakukan oleh banyak pemerintahan di seluruh dunia untuk mengatasi dan memitigasi pandemi tersebut. Beberpaa kebijakan yang umum diambil oleh berbagai pemerintahan di dunia diantaranya adalah lockdown nasional untuk menutup seluruh fasilitas umum, sarana pendidikan, dan gedung perkantoran, menutup perbatasan, dan mewajibkan seluruh warga yang keluar rumah untuk mengenakan masker.

Selain itu, lockdown, menutup perbatasan, dan mewajibkan semua orang menggunakan masker bukan hanya kebijakan yang diambil oleh berbagai pemerintahan di dunia untuk memitigasi dampak dari pandemi COVID-19. Kebijakan lain yang juga dilakukan adalah melarang berbagai produk yang dianggap berpotensi meningkatkan dampak dari pandemi COVID-19. Salah produk yang menjadi sasaran dari kebijakan tersebut adalah rokok elektronik tertentu, yang juga dikenal dengan nama vape.

Di Amerika Serikat misalnya, pelarangan vape sebagai untuk memitigasi pandemi COVID-19 merupakan kebijakan yang dilakukan oleh beberapa pemerintahan di negara bagian dan juga kota memberlakukan pelarangan terhadap vape berperasa (salud-america.org, 18/09/2020). Lantas, apakah kebijakan tersebut merupakan sesuatu yang tepat? Berdasarkan penelitian yang dilakukan oleh berbagai lembaga kesehatan di seluruh dunia, rokok elektronik, atau vape, merupakan produk yang jauh lebih aman daripada rokok elektronik yang dibakar. Hasil penelitian yang dilakukan oleh lembaga kesehatan Pemerintah Inggris misalnya, Public Health England, menunjukkan bahwa vape atau rokok elektronik jauh lebih aman 95% dari rokok konvensional yang dibakar (Public Health England, 19/07/2015).

Tidak hanya itu, vape atau rokok elektronik juga terbukti dapat membantu jutaan perokok untuk berhenti merokok. Lembaga kesehatan Inggris, National Health Service misalnya, menyatakan bahwa rokok elektronik atau vape merupakan produk yang efektif untuk membantu seseorang berhenti dari kebiasaan merokoknya (National Health Service, 29/03/2019).

Hal ini tentu merupakan hal yang sangat positif. Adanya produk yang jauh lebih aman, yang dapat membantu seorang perokok untuk menghentikan kebiasaan merokoknya tentu adalah hal yang harus kita dukung dan apresiasi. Selain itu, pihak yang paling dirugikan apabila pelarangan vape diberlakukan adalah para perokok, di mana mereka tidak lagi bisa mendapatkan akses terhadap produk yang dapat membantu mereka berhenti merokok. Kebijakan tersebut membuat lebih banyak keburukan daripada manfaat (reason.org, 22/06/2020).

Selain itu, dampak unintended consequences yang dapat terjadi bila kebijakan tersebut diberlakukan adalah, bila vape dilarang, maka akan lebih banyak produk-produk vape ilegal yang sangat berbahaya bagi konsumen, karena tidak melalui proses regulasi oleh pemerintah. Hal ini tentu merupakan sesuatu yang sangat berbahaya. Bila produk ilegal vape membanjiri pasar, terlebih lagi pada masa pandemi seperti sekarang, maka akan lebih banyak orang-orang sakit, dan rumah sakit serta sarana kesehatan akan semakin sulit menampung mereka, karena sudah dipenuhi oleh para pasien COVID-19 (Newsday.com, 04/05/2020).

Dampak dari beredarnya vape ilegal terhadap kesehatan publik bukan sesuatu yang dapat kita abaikan begitu saja, dan sudah pernah terjadi di beberapa tempat, salah satunya di Amerika Serikat. Di negeri Paman Sam, pada tahun 2019, terjadi kasus orang-orang yang terkena penyakit dan gangguan pernafasan yang disebabkan oleh konsumsi produk-produk vape ilegal. Setidaknya ada 35 orang yang meninggal disebabkan karena konsumsi produk ilegal tersebut (The Washington Post, 26/10/2019).

Sebagai penutup, kebijakan pelarangan vape, apalagi di masa pandemi COVID-19, adalah sesuatu yang berbahaya. Kebijakan ini bukan hanya akan menghilangkan kesempatan bagi jutaan perokok untuk mengakses produk-produk yang dapat membantu mereka berhenti merokok, namun juga berpotensi akan meningkatkan produk-produk vape ilegal yang berbahaya bagi konsumen, yang akan semakin memberatkan sarana kesehatan yang sudah dibebani oleh banyaknya pasien COVID-19.

Originally published here.

Scroll to top
en_USEN